Cet ancien terril charbonnier de 13,99 ha et dont le sommet culmine à 185 m d’altitude, est un témoin du passé minier de Liège. La nature y a repris le dessus. On y observe de nombreuses carlines vulgaires.
Ce site d’un grand intérêt géologique permet de pratiquer l’escalade (La Ferrata et la Dalle).
Cette lande d’une vingtaine d’hectares se situe dans la réserve naturelle du Sart Tilman, faisant partie de l’Université de Liège.
Site de Grand Intérêt Biologique de 36.80 ha.
Cette réserve naturelle privée est agréée depuis le 16 octobre 1997.
Cette exploitation minière de 1 ha, abandonnée suite à la fermeture du charbonnage en 1932, est caractérisée par une grande diversité de milieux végétaux, dont une centaine d’espèces différentes.
Cet ancien terril charbonnier de 14,90 ha est un témoin du passé minier de Liège. La nature a repris le dessus, la végétation étant composée surtout de bouleaux verruqueux et de saules marsault. Il offre un panorama exceptionnel sur la vallée.
Cet ancien terril charbonnier de 29,32 ha et culminant à 195 m d’altitude est un site naturel de grand intérêt biologique et est essentiellement boisé par des bouleaux verruqueux et des saules marsault. Il offre un panorama exceptionnel sur Liège.
Cette ancienne collégiale d’origine romane datant du 10è siècle. Il a été ravagé par un incendie en 1312.
Devant le Grand Curtius, deux canons rappellent que Liège a eu sa fonderie de canons. On y fondait aussi des boulets.
La collégiale est dûe à Notger.
Elle faisait partie du système défensif de Liége, comme en témoigne la tour massive qui était une tour de guet.
A la fois romane, gothique et rococo, elle a gardé d
Cette Collégiale est connue pour être la préférée de Notger.
On dit que Notger y a été inhumé mais mais on n’a jamais retrouvé son tombeau.
Au 10ème siècle, la Collégiale est fondée sur le modèle
La Collégiale fondée par l’évêque Notger (en 979) est, aujourd’hui, considérée comme un chef-d’oeuvre en péril.
Ce site champêtre situé partiellement dans le centre historique de Liège compte plus de 60 monuments classés au patrimoine matériel de la Région wallonne. Il comporte 13 km de promenades balisées.
Cette église néo-gothique fut inaugurée en 1905.
On y trouve la statue de Sainte-Dorothée, la patronne des maraîchers et des jardiniers, ce qui est très rare, à Liège. Elle fut décapitée au 3è siècle.
Le verger de hautes tiges et le terrain boisé faisant partie du quartier de Pierreuse sont classés au Patrimoine de la Région wallonne depuis le 12 avril 1999.
Cette ferme a été construite dans la seconde moitié du 16è siècle. Il appartient actuellement au CPAS de Liège.
Cet édifice baroque teinté de classicisme est de plan rigoureusement symétrique. Les décorations de façade sont de type traditionnelles. A l’intérieur, le style est à tendance rococo.
Cette célèbre rue aménagée en escalier de 373 marches est la plus longue du genre en Europe.
Cette haute obélisque qui domine le sommet de la Montagne de Bueren a été érigée en l’honneur du 14è Régiment de ligne de l’armée belge qui a combattu lors de la première guerre mondiale.
Ce monument est dédié à 1250 enfants de Liège tombés au champ d’honneur durant les deux guerres mondiales.
Cette stèle, avec un bas-relief de la Vierge Marie, dédiée aux victimes liégeoises de la première guerre mondiale, comporte 11 noms auxquels sont venus s’ajouter de part et d’autre 8 noms de militaires et de résistants de la seconde.
Ce musée créé en 1913 possède une des plus riches collections concernant les wallons, du 19è siècle à nos jours. Un théâtre de marionnettes avec des personnages du répertoire traditionnel liégeois : Tchantchès, Nanèsse, Roland, etc.
Ce musée ouvert en 2012 présente des appareils d’éclairage utilisés dans le monde depuis la préhistoire jusqu’à nos jours. Porté par Philippe Deitz en faveur de la Ville, il collectionne les luminaires anciens depuis l’âge de 15 ans.
Ce palais prestigieux comporte 2 cours intérieures, dont une, accessible aux visiteurs, est entourée de galeries reposant sur des colonnes décorées de manière particulière.
Il s’agit d’un bâtiment de style néogothique qui témoigne de l’histoire liégeoise.
Construit de 1849 à 1853, cette aile est le siège du gouvernement provincial.
Ancienne forteresse, ce site maintes fois remanié est occupé depuis des siècles par des activités houillères et militaires. Le parc s’est vu aménagé en 1908 après le déclassement de la citadelle.
Ce pont pédestre sur la Meuse, appelé aussi Passerelle de la Régence, relie Outremeuse et la Rue de la Régence au niveau de l’Université.
Il est constitué de 2 travées de 52 m de long et de 5,80 m de large.
Une table de pique-nique au bas de la Rue Pierreuse.
Cette place est dédiée à Saint-Lambert, l’évêque martyre.
Très connue à Liège, il s’y trouve le Palais de Justice.
Un point de vue vers la Rue de Campine et la Rue Jean Haust, des quartiers du nord de Liège.
Ce pont relie actuellement les deux rives de la Meuse à hauteur de la cité de Droixhe.
Les piles de ce pont très connu à Liège sont décorées de quatre statues symbolisant la naissance de la Cité liégeoise par une mère et son enfant, un chevalier évoque le moyen-âge.
Deuxième port fluvial européen pour le tonnage (en 2004 : plus de 22 millions de tonnes manutentionnées), derrière le port rhénan de Duisbourg (Allemagne) et devant le Port autonome de Paris.
Cet espace vert situé derrière le palais des pinces-évêques font partie de l’ensemble des Coteaux de la Citadelle. "Minimes" provient du nom du couvent en ruines présent à cet endroit.
Cet ancien terril charbonnier de 14,90 ha est un témoin du passé minier de Liège. La nature a repris le dessus, la végétation étant composée surtout de bouleaux verruqueux et de saules marsault. Il offre un panorama exceptionnel sur la vallée.
Cet ancien terril charbonnier de 29,32 ha et culminant à 195 m d’altitude est un site naturel de grand intérêt biologique et est essentiellement boisé par des bouleaux verruqueux et des saules marsault. Il offre un panorama exceptionnel sur Liège.
Cet édifice de style néo-classique est classé patrimoine protégé de Wallonie.
La grande salle à l’italienne dont l’hémicycle est entièrement recouverte de velours et de bois pour la qualité acoustique.