Une table de pique-nique située dans le Parc du Pachis, au nord-ouest du village.
Une table de pique-nique au cœur du village, dans un recoin de verdure le long de la petite route qui traverse celui-ci.
Plusieurs tables de pique-nique, dont deux sous abri, au milieu du parc de l’éco-lieu, au cœur du village.
Une table de pique-nique le long d’un sentier qui fait partie du Domaine de Oisefagne.
Une table de pique-nique en plein cœur du village.
Une table de pique-nique située juste devant la halle aux minerais, face à l’Etang des Forges Hautes de Mellier.
Une table de pique-nique à l’intérieur du labyrinthe de la biodiversité.
Cette aire de pique-nique est située le long du Ravel de l’ancienne ligne 618 reliant Martelange à Bodange via le village de Radelange, juste derrière ce dernier.
On présente dans ce bel ensemble en bois, les métiers de la forêt et l’utilisation du bois.
Cette petite chapelle situé au nord de la Forêt d’Anlier entre Fauvillers et Louftemont, a été bâtie en 1887 par la famille Pierrard de Fauvillers comme chapelle votive.
Cette chapelle a été construite en 1852. Elle remplace l’ancienne chapelle castrale qui était attenante au château. Le mobilier provient de celle-ci.
Ce site touristique valorise l’activité en forêt sous quatre angles : ludique, didactique, sportif et convivial. Il a été inauguré le 30 octobre 2021 sur base d’un projet datant de 2018.
Il s’agit d’une église, à première vue, plus gaumaise qu’ardennaise.
Elle posséde une tour carrée et un toit pyramidal surmonté d’un coq.
Ce parcours vita comporte une vingtaine d’exercices pour les familles ou les sportifs.
Une table de pique-nique le long d’un sentier qui fait partie du Domaine de Oisefagne.
Une plaine de jeux situé le long d’un sentier du domaine de Oisefagne.
Un poste d’observation doté de nombreuses informations didactiques avec une vue sur l’étang.
Une petite tour d’observation à la lisière du bois, avec une vue vers le village de Hotte.
Cette stèle commémore la résistance des Chasseurs Ardennais face aux soldats allemands le 10 mai 1940. Avec une septantaine d’hommes, le commandant Bricart a tenu tête à l’armée allemande, permettant aux autres compagnies de se retirer.