Un chêne planté à la mémoire de Stéphane Danloy, garde forestier décédé en décembre 2018.
Ce sentier didactique (Waldlehrpfad) décrit de nombreuses espèces botaniques régionales (allemand-français-néerlandais).
Ce petit arboretum est implanté à l’extrémité ouest de la Forêt du R’master, au départ d’un parcours didactique.
Un petit chêne vénérable assez trapu.
Un chêne remarquable le long du sentier qui relie Amcômont à La Chapelle.
Un chêne vénérable dans la forêt entre Beaumont et Logbiermé.
Un hêtre remarquable à un croisement de chemins forestiers.
Un ancien arboretum qui n’est malheureusement plus entretenu.
Ce chêne pédonculé est un vestige de la forêt du 18è siècle.
Elle disparut quasiment entièrement suite à l’utilisation abusive du bois.
Cette borne entaillée au burin à sa base supérieure marquait autrefois une légère déviation vers la droite de la ligne frontalière. Elle est située à 1030 m de la borne 99 (Poteau) et à 150 m de la Croix du Français.
Une borne bien conservée à l’entrée de la sapinière, légèrement décalée par rapport à l’ancienne frontière Prusse-Belgique.
Ces bornes-frontières belgo-prussiennes marquent l’ancienne ligne frontière établie suite aux décisions du congrès de Vienne en 1815.
Ces bornes-frontières belgo-prussiennes marquent l’ancienne ligne frontière établie suite aux décisions du congrès de Vienne en 1815.
Cette chapelle néo-gothique en briques, recouverte entièrement d’ardoises blanches date de 1876. Elle fait l’objet d’un pèlerinage les lundi de Pentecôte et d’un salut à la Vierge Marie le 15 août.
Cette chapelle fut construite en 1958.
Cet édifice néo-roman en moellons d’arkose et pierre de France date de 1880, à la place d’une chapelle de 1703. Elle est consacrée à Saint-Fiacre, le patron des jardiniers.
Un Christ sur croix de bois verni, fiché sur une dalle en pierre de taille posée sur un mur en moellons de grès.
Une petite croix de chemin forestier en bois.
Cette croix en bois verni surmontée d’une toiture à deux pans, est située au sommet du Col de Mont-le-Soie, à 556 m d’altitude.
Un Christ sur croix de bois.
Cette croix en fer forgé réparée, datant apparemment du 19è siècle, se situe au bord du chemin forestier qui quitte Petit Thier vers le Nord.
Cette croix en bois, peinte en jaune, a été érigée en souvenir de la mort d’un soldat français l’année de sa mort, en 1812. Elle est entretenue et renouvelée par la propriétaire de la parcelle boisée de sapins.
Une croix en schiste ardoisier au pied d’un frêne, en mémoire de Henry Gallo, foudroyé à l’âge de 28 ans, le 15 mai 1848.
Cette petite croix de carrefour forestier du Chêneux est située à une altitude de 520 m.
Il s’agit d’une croix votive érigée par son épouse, à la mémoire de Jean-Joseph Rasquin (né en 1830), qui a disparu en exerçant son métier de colporteur de tissus.
Cette croix est dédiée au brigadier des Douanes Schmitz, retrouvé maculé de sang le 8 juillet 1843, avec son fusil de service à ses côtés.
Ce sanctuaire existe depuis 1704.
En 1958, l’église a été reconstruite en moellons et calcaire, par l’architecte R. Toussaint.
Ferme en moëllons d’arkose qui enserre une cour intérieure datant de 1765 et classée depuis 1978.
Un ancien arboretum qui n’est malheureusement plus entretenu.
Ce monument consistant en un gros bloc d’arkose avec 2 plaques gravées a été inauguré le 24 avril 2005.
Une table de pique-nique abritée dans un lieu calme, juste derrière le monument aux morts.
Cette table de pique-nique est située dans un recoin paisible du bois, près d’une ancienne borne-frontière qui séparait autrefois la Belgique et la Prusse.
La salle des fêtes de Petit-Thier