Cette ancienne église abbatiale est de style Louis XVI. La façade est dominée par deux tours. Le carillon de 35 cloches a été fondu par le malmédien Martin Legros en 1786.
Dans cette chapelle classée, on y trouve une chaire de vérité (fin 17è), 2 confessionnaux (fin 17è) ainsi qu’une Vierge à l’enfant, sculpture de l’école de Jean Delcour.
Cette chapelle du 18è siècle a été restaurée et transformée en funérarium.
D’architecture d’aspect un peu sévère, elle est à rapprocher de celle de la cathédrale.
Le socle ancien de cette croix fait corps avec des murets modernes, le tout rappelle un autel.
Ce grand crucifix indique l’emplacement de l’autel de l’ancienne église Saint-Géréon et ce, conformément à la décision de la congrégation des Rites du 27 septembre 1600.
Calvaire moderne "A Crucifix" lié à la légende de St-Remacle et érigé sur une source.
La légende dit que Saint Remacle, apôtre des Ardennes, renversa l’autel de Diane, qui se trouvait à cet endroit e
Il s’agit d’un des derniers témoins des fortifications de 1601.
Elle se compose d’une ancienne porte de la ville et d’une tour forte.
Cet édifice a été construit en 1901 grâce à un don de Jules Steinbach, un puissant industriel papetier.
Cette bâtisse à la façade décor néo-classique enduite, classée en 1973, abrite le musée du papier.
Cette maison constitue le seul exemple malmédien de l’architecture patricienne du premier quart du 18è siècle. Il s’agit d’une construction en briques enduites et pierres pour les soubassements.
Ce musée est situé dans un bâtiment datant du 19è siècle. Il concerne la vie populaire et le folklore.
On y trouve aussi une collection des masques du Cwarmé, des documents d’archives et des photographies.
Cet ancien monastère fondé en 1708 abrite notamment les bureaux de l’Office communal du Tourisme depuis 1985.
Buste en bronze dédié à la mémoire de l’ Abbé Peters, abbé à Comblain-au-Pont, résistant pendant la seconde guerre mondiale.
Il combat la propagande de la "Hitler jugend".
Il aide plusieurs jeunes d
Ce monument érigé en 1781 était le symbole de l’autorité du prince.
Une vaste plaine de jeux avec de nombreux modules au sein du parc des tanneries en plein cœur de la ville.
Ce bâtiment en pierre et taille de France a été construit en 1901 à la demande de Jules Steinbach en l’honneur de sa fille Juliette. Il est orné de bas-reliefs. Il abrite la justice de paix et certains services communaux.