Cette chapelle date de 1954. Elle porte plusieurs dénominations suivant qu’on désigne le propriétaire ou les localisations.

Ce sanctuaire en pierre de tailles protégé par une haie date de 1931. Il a été cité en 1943.

Cette chapelle est en fait ce qu’il reste de l’ancienne église paroissiale Saints-Pierre et Paul (1100). Cette dernière a été détruite en même temps que le château de Logne en 1521. Seuls le choeur et la nef furent épargnés.

Cette chapelle classée est millésimée 1684 et a été construite grâce à la contribution des habitants.
A l’intérieur se trouve un autel baroque à retable (18è) et une statue du titulaire du 16è.

Chapelle en calcaire, surmontée d'un petit clocheton, fondée en 1791 par le curé de Heyd, la chapelle Saint-Donat est un simple volume en calcaire, surmonté d’un petit clocheton.
Elle est millésimée

Cette chapelle a été construite durant la 1è guerre mondiale (1915) en prière pour une protection du Roi et des soldats belges au combat. On peut y lire :
SAINT-RAHI
PROTEGEZ
NOTRE
ROI
ET NOS
SOLDATS

Dénommée aussi "Tchapèle dè Rave", cette chapelle fut édifiée en 1923 par Joseph Mossay et Amélie Gillard en remerciement à Saint-Roch après une épidémie épizootique (frappant les animaux).

Cette chapelle, à laquelle est adjointe une potale, a été restaurée en 2005 par l’ASBL Présence. On prie Sainte-Apolline pour soulager les maux de dents.

Un beau point de vue sur l’Aisne au niveau de sa confluence avec l’Ourthe.

Il s’agit de la dernière carrière de calcaire et dolomies encore en exploitation dans la commune de Durbuy. Elle a été créée en1946.

Cette chapelle classée est millésimée 1684 et a été construite grâce à la contribution des habitants.
A l’intérieur se trouve un autel baroque à retable (18è) et une statue du titulaire du 16è.

Cette chapelle a été construite durant la 1è guerre mondiale (1915) en prière pour une protection du Roi et des soldats belges au combat. On peut y lire :
SAINT-RAHI
PROTEGEZ
NOTRE
ROI
ET NOS
SOLDATS

Dénommée aussi "Tchapèle dè Rave", cette chapelle fut édifiée en 1923 par Joseph Mossay et Amélie Gillard en remerciement à Saint-Roch après une épidémie épizootique (frappant les animaux).

Cette chapelle, à laquelle est adjointe une potale, a été restaurée en 2005 par l’ASBL Présence. On prie Sainte-Apolline pour soulager les maux de dents.

Ce château de style classique perché sur des terrasses a été construit en 1776 par Jean-Baptiste de Hayme, plusiers fois bourgmestre de Liège. Avec son parc somptueux, il fait partie d’un projet de rénovation depuis 2009.

Il s’agit d’un centre de vacances du Commissariat général au Tourisme.
Il est construit en moellons de grès et calcaire par Gilles Bouvet, seigneur de Villers, décédé en 1623.

Cette exploitation élève des chèvres alpines chamoisées. On y fabrique toute une gamme de fromages fermiers.
Visitable librement ou accompagné, elle propose un parcours balisé avec des panneaux didactiques.

Un Christ en croix posée sur un piédestal en pierre calcaire.

Christ en croix sous auvent.

Cette croix calcaire porte l’épitaphe : "ICI EST MORT D’UN ACCIDENT AUGUSTE SILVESTRE;
OUFFET LE 30 MAI 1937; IL AVAIT 21 ANS".

Cette église en moellons de calcaire, toute en longueur à 4 travées, a été bâtie en 1766, à l’initiative du curé Debras. Elle a été consacrée en 1769.

Cette église de style néo-gothique a été édifiée en 1860 sur les plans de l’architecte Bouvrie.

Cette église néo-gothique construite en 1854 remplace un bâtiment plus ancien datant vraisemblablement du 17è siècle.

Cette église de style éclectique en moellons calcaires a été édifiée en 1878, à la place d’une chapelle qui datait de 1520.

Cette ferme date du 16è siècle. Elle appartient actuellement à la Fédération du Tourisme de la province de Liège.

Cette ferme vend des produits fermiers dont du beurre, du fromage, de la glace et du yaourt.

Plusieurs gîtes de groupe à louer, doté de chambres de différentes capacités pouvant héberger au total jusqu’à 204 personnes.

Cette grotte protohistorique située au pied d’une falaise de calcaire est l’une des plus importantes de l’époque Magdaléenne (paléolithique supérieur).

Un parc arboré jalonné de bancs et doté d’un pavage en forme de labyrinthe.

Le poids de cette pierre est d’environ 6,5 tonnes.
Ce menhir a été mis à jour lors de fouilles effectuées en 1999.

Ce monument a été érigé en mémoire des 13 personnes du village décédées durant les deux guerres mondiales.

Ce musée présente les découvertes faites lors des fouilles du Château fort de Logne. Il est ouvert du 1/7 au 31/8, tous les jours de 13:00 à 18:30.
D’avril à octobre : les Week-ends et jours fériés de 14:30 à 18:30.

Plusieurs tables de pique-nique accessibles dans le domaine du château de Villers-Sainte-Gertrude.

Sur une petite aire ombragée sous les sapins, deux tables de piques accueillantes au niveau de la résurgence de la Lembrée.

Une plaine de jeux dans le vaste parc arboré du domaine.

Une Vierge protégée par une niche en moellons.

La Lembrée est un ruisseau qui prend sa source sur les plateaux fagnards de Harzé et Werbomont. Elle se jette dans l’Ourthe au niveau du Domaine de Palogne.

Ce château étale d’imposantes ruines, témoignage de l’architecture médiévale militaire, comportant de nombreux vestiges d’époque.

Ce site de grand intérêt biologique s'étend sur près de 10 ha.

Une sculpture de Pierre Closset, verviétois ayant participé à de nombreux symposiums internationaux, évoquant la philosophie du carpe diem : prendre son temps, profiter du moment présent au lieu de courir et tirer des plans sur la comète.