Petite chapelle à l’orée du bois en souvenir des victimes de l’épidémie de peste de 1636. Elle fait l’objet d’un culte à la Vierge, consolatrice des affligés.
2 maisons habitées subsistent à Saint-Vi
Petite chapelle à l’orée du bois en souvenir des victimes de l’épidémie de peste de 1636. Elle fait l’objet d’un culte à la Vierge, consolatrice des affligés.
2 maisons habitées subsistent à Saint-Vincent. Les morts sont enterrés le long d’un bois de chênes d’où l’apparition de l’appelation "Chenois". Une niche avec une statuette de la Vierge est placée à cet endroit en souvenir des défunts.
La nef est à 3 pans.
La baie d’entrée est millésimée 1837
La grille en fer forgé (1950)
Un pélérinage annuel des paroissiens de Saint-Vincent a lieu le 5è dimanche après Pâques.
A l’intérieur, le plafond est à voussure avec deux baies en plein cintre encadrent le choeur.
1636 Une épidémie de peste ravage le Luxembourg.
Révolution française La statuette est détruite. Elle est alors remplacée.
1837 La paroisse érige un petit sanctuaire destiné à protéger la statuette de la Vierge.
1838 La chapelle est inaugurée.
1934 La chapelle est restaurée.
1938 La chapelle est agrandie.
Chapelle de style classique édifiée en 1927.
La nef unique est à 2 travées.
Le choeur est à 3 pans.
Il y a une petite sacristie sur la droite.
Le portail est de style 18è et est surmonté d’une nic
Cette chapelle de style néo-gothique (1868) a été construite sur une grand place herbeuse selon les plans de l’architecte Jamot d’Arlon et par l’entrepreneur Feltus de Buzénol.
Il s’agit d’une imposante croix en fer forgé.
Grande croix en bois.
Chapelle de style classique édifiée en 1927.
La nef unique est à 2 travées.
Le choeur est à 3 pans.
Il y a une petite sacristie sur la droite.
Le portail est de style 18è et est surmonté d’une nic
Château, ancienne propriété de la Seigneurie de Villemont fondée en 1270, à l’emplacement d’une ancienne villa gallo-romaine.
Ce cimetière franco-allemand a été édifié par les Allemands en mai 1917. Il regroupe 527 militaires français et 298 militaires allemands.
Cette croix en pierre est également appelée Croix Moufan. Elle est située à Maidgibois et entourée par 7 épicéas remarquables (8 à l’origine).
Cette église a été construite en 1602. Elle est dédiée à Notre-Dame de l’Assomption, selon le vœu des Pères jésuites du Luxembourg.
La sacristie a été ajoutée en 1736.
Une église de style néo-classique du 19è siècle.
Elle se caractérise par 2 autels latéraux de style baroque (13è), des stalles en chêne (13è), une statue en bois de Saint-Donat (17è) et une peinture de Frère Abraham Gilson d’Orval.
Eglise dédiée à Saint-Roch construite sur bas d’une ancienne chapelle du début du 16è.
A l’intérieur, on peut y trouver des statues en bois dont Sainte Scholastique, Saint Etienne et Saint Raymond.
Lavoir ouvert classé, entouré d’un mur d’enceinte rehaussé de motifs en fer forgé. Il a été construit en 1882 lorsque la première conduite d’eau apparaît à Tintigny.
Le fronton en pierre bleue suppor
Ce bâtiment classé et fermé en pierre sinémurienne (une strate du Jurassique inférieur) est surmonté d’un toit à 2 pans.
Il date de 1873.
Abreuvoir comportant un bac à ciel ouvert abrité par un saule remarquable.
L’alimentation est fournie via un tuyau en fer muni d’un robinet.
Ancien fourneau du 17è.
En 1633, Henry le Comte est propriétaire du fourneau et de la forge de Buzenol-Montauban.
Cette imposante maison de maître entourée d’une cour comportant de haut murs percés d’une porte cochère. Un pigeonnier la surplombe.
Stèle placée en 1971 par les autorités militaires françaises en mémoire du cimetière du Ménil construit après la bataille de Rossignol (22 août 1914).
Une table de pique-nique située à côté du cimetière militaire du Radan.
Point de vue remarquable sur la Semois, le village de Termes, la Croisette de Suxy et de Rossignol.