Le Rocher du Faix du Diable

Trois-Ponts

Un hommage aux soldats belges qui ont combattu durant l’offensive des Ardennes.

On peut y lire :

1944 - 1945
The men
of the 517th Parachute
Regimental Combat Team
United States of America

Lest we forget.....
In gratitude we honour those brave Belgians who
fought with us in the Ardennes
during the Battle of the Bulge and
those faithful Belgians who keep
the memories of our joint fight for freedom and our friendship alive

Avec gratitude nous rendons ici
hommage a la bravoure de ces Belges
qui combattirent avec nous pendant
l’offensive Allemande des Ardennes
et a la fidélité de tous ces Belges
qui nous témoignent leur profonde
amitié et perpétuent le souvenir de
notre lutte commune pour la liberté.

Ce château a été reconverti en gîte d’étape (Kaleo).

Ce vaste amas de roches en grès est lié à une légende : celle qui raconte que le diable, furieux de la construction du monastère de Stavelot par Saint-Remacle, portait sur son dos ce rocher pour le détruire.

On retrouve la même légende concernant la Pierre du Diable à Stavelot, un rocher similaire :

Saint-Remacle a fondé l’Abbaye de Stavelot en 651.

Mais le diable est jaloux de son oeuvre et souhaite la détruire en y jetant dessus un énorme rocher.

Mis au courant de son projet, Saint-Remacle n’a d’autre choix que de l’en éloigner.

Il se déguise donc en moine, emporte un sac plein de vieilles chaussures et part à la rencontre du diable.

Le projet de ce dernier est déjà en cours ! Il porte sur lui l’énorme rocher et en profite pour demander si Stavelot est encore loin.

Saint-Remacle lui montre alors son sac rempli de chaussures et lui dit : "Regardez toutes les paires de chaussures que j’ai usées depuis Stavelot ! OUI ! C’est TRÈS loin !!"

Complètement découragé, le diable laisse la pierre sur le côté et rebrousse chemin.

OUF ! L’Abbaye de Stavelot est sauvée et la Pierre du diable restera à jamais dans la Roanneuse !

Une croix de carrefour en bois portant un Christ doré.

Une croix de chemin.

L’église primitive date de l’époque de la construction de l’Abbaye de Stavelot, vraisemblablement au même emplacement que l’actuel bâtiment.