Ces deux croix posées à l’ombre de deux pins et d’un chênes datent du 19è siècle.
La première croix en fonte est décorée de rosaces stylisées surmontant un important socle calcaire. Sur celui-ci, on peut y lire : "PRIEZ POUR/ L’AME DE/CHARLES MER/ CIAL DE VERLA/INE DECEDE ICI/LE 5 JUILLET/ 1859 AGE DE 25l ANS RIP/".
La seconde croix métallique avec un Christ en fonte est millésimée 1880. Elle porte les lettres gravées F.D. évoquant vraisemblablement Ferdinand Demblon.
La plaque a été restaurée en 2002 par le SI de Sy-Vieuxville.
Potale de 19è sur tronc du tilleul.
Christ en croix.
Christ en croix métallique sise entre deux arbres le long de la route peu avant le sentier de la Croix du Curé.
Un Christ en croix posée sur un piédestal en pierre calcaire.
Christ en croix un peu au delà de la chapelle.
Christ en croix située près de la borne fontaine.
Une croix en fer portant un Christ peint en blanc qui s’élève devant l’ancienne poste du village sur un muret en pierre de taille. Elle est millésimée 1768.
Une croix en bois portant un petit Christ en fonte noir, au carrefour de trois chemins.
Christ en croix sous auvent.
Cette potale en calcaire comporte une croix en fer date du milieu du 19è siècle. L’inscription qu’elle comporte est : "S. M. DEDIEU PRIEZ POUR NOUS, NOUS QUI AVONS RECOURS A VOUS 18A V M"
Un Christ en croix au pied d’un hêtre.
Cette croix en fer est surplombée d'une anse métallique reposant au sommet de deux marches en béton au pied du talus.
Cette croix fut érigée en mémoire du curé de Xhignesse, assassiné en 1778.
Croix de style baroque datant de 1788, située à l'ombre d'un vieux tilleul.
Elle repose sur une base récente en moellons.
Une ancienne croix en bois de rogations, peinte en blanc et ne comportant plus de Christ.
Cette potale haute en calcaire date du milieu du 19è.
Croix en calcaire.
Cette croix en fer forgé a été élevée en 1840 à la fin de l’exploitation du minerai de fer dans la région.
Croix érigée à la mémoire de J.T. Senni et de Marie-Louise Mercier décédés en 1844 à Filot.
Cette croix calcaire porte l’épitaphe : "ICI EST MORT D’UN ACCIDENT AUGUSTE SILVESTRE;
OUFFET LE 30 MAI 1937; IL AVAIT 21 ANS".
Au n°2 de cette place maison datée de 1752 sur le linteau droit surmonté d’une petite potale (Le terme potale en Belgique, désigne une niche contenant une statuette protectrice) moulurée.
Cette petite potale est située au coeur du hameau.
Placée en retrait dans le jardin du presbytère, cette potale date de 1846.
Barbecue couvert.
Se situe à proximité de la pompe-abreuvoir et du tunnel sous voirie.
Cette chapelle date de 1954. Elle porte plusieurs dénominations suivant qu’on désigne le propriétaire ou les localisations.
Statue de la Vierge abritée dans un petit monument en pierre comportant l’inscription :
"Reconnaissance à Marie, Reine de l’Univers 1948".
Cette chapelle a été construite en 1954.
Elle fut déplacée dans les années 1970 pour faire place à un rond-point.
Cette chapelle est en fait ce qu’il reste de l’ancienne église paroissiale Saints-Pierre et Paul (1100). Cette dernière a été détruite en même temps que le château de Logne en 1521. Seuls le choeur et la nef furent épargnés.
Croix érigée à la mémoire d’un berger tué par la foudre avec 120 moutons de son troupeau en 1865.
Cette chapelle de style ogival date de 1868.
Son origine est liée au manoir, qui possédait vraisemblablement une chapelle castrale.
Elle contient une ancienne pierre tombale : celle de Jean Everard,
Dénommée aussi "Tchapèle dè Rave", cette chapelle fut édifiée en 1923 par Joseph Mossay et Amélie Gillard en remerciement à Saint-Roch après une épidémie épizootique (frappant les animaux).
Ce vaste complexe architectural comprend le château, le parc, la chapelle St-Etienne, un ancien cimetière, le colombier du 17è siècle et une ferme castrale semi-clôturée avec dépendances du 18è.
Siège de l’Administration communale de Hamoir, il fut cité en amont du confluent de I’Ourthe et du Néblon dès 1425.
Ensemble carré dont la construction aux transformations succesives s’étendent du 17è au 19è. Une ferme carrée est adossée au château.
La tour-porche néo-gothique s’ouvre sur une cour intérieure bordé
Cimetière qui recèle le monument funéraire du compositeur Pierre-Auguste Dupont, auteur d’une cinquantaine de numéros d’opus publiés en partie de son vivant.
Ce cimetière datant de l'époque mérovingienne a été découvert en 1938 par le cantonnier du village.
L'ensemble recèle 190 tombes datant du 5è au 7è siècle.
Christ en croix métallique sise entre deux arbres le long de la route peu avant le sentier de la Croix du Curé.
Un Christ en croix posée sur un piédestal en pierre calcaire.
Christ en croix située près de la borne fontaine.
Christ en croix sous auvent.
Cette potale en calcaire comporte une croix en fer date du milieu du 19è siècle. L’inscription qu’elle comporte est : "S. M. DEDIEU PRIEZ POUR NOUS, NOUS QUI AVONS RECOURS A VOUS 18A V M"
Un Christ en croix au pied d’un hêtre.
Cette croix en fer est surplombée d'une anse métallique reposant au sommet de deux marches en béton au pied du talus.
Cette croix fut érigée en mémoire du curé de Xhignesse, assassiné en 1778.
Cette potale haute en calcaire date du milieu du 19è.
Croix érigée à la mémoire de J.T. Senni et de Marie-Louise Mercier décédés en 1844 à Filot.
Cette croix calcaire porte l’épitaphe : "ICI EST MORT D’UN ACCIDENT AUGUSTE SILVESTRE;
OUFFET LE 30 MAI 1937; IL AVAIT 21 ANS".
Ecole communale de My.
Ce bâtiment de style néo-gothique en briques et en calcaire date de 1868.
Elle a été construite sur les plans de l’architecte Bouvy de Marche.
Elle remplace un bâtiment de style roman plus ancien.
Cet édifice en moellons calcaires date de 1531.
Il fut vraisemblablement bâti à la place d’un bâtiment plus ancien d’origine romane.
Cette église de style néo-roman a été construite au 19è siècle. Elle remplace un bâtiment plus ancien tombé en ruines et menaçait de s’effondrer.
Ferme en L en moellons calcaires qui date du 18è.
Cette ferme date du 16è siècle. Elle appartient actuellement à la Fédération du Tourisme de la province de Liège.
Une ferme du 19è siècle partiellement clôturée. En contrebas se trouve un étang. Il s’agit probablement d’une ancienne dépendance de l’Abbaye de Bernardfagne.
Cette ferme en moellons de grès et calcaire datant principalement du 18è siècle a été acquise par la Province de Liège et est à présent un centre récréatif.
Ce bâtiment carré en moellons calcaire date des 18è et 19è siècles. Il est attenant au château Ange Wibin-Gillard et comporte 4 ailes.
Cette ferme est datée de 1795 par ancres.
Cette borne-fontaine date du 19è.
Elle marque comme d’autres les traces du passage de Saint-Remacle.
Elle est alimentée par un chantoir, une cavité naturelle dans laquelle s’engouffre l’eau.
Une pompe carrée en fonte qui date de la fin du 19è.
Cette ferme perpendiculaire en moellons de grès et calcaire date de la fin du 18è siècle. Elle appartenait à l’abbaye de Stavelot.
Cette grotte fait partie du réseau hydrogéologique de la Lembrée. La
cavité se développe sur plus de 2 km et présente une dénivellation de 45 m.
Bâtiment en moellons calcaires qui date de la seconde moitié du 19è.
Ce bâtiment, qui date de la seconde moitié du 19è est élevé en moellons de calcaires.
Cette imposante et haute maison d’angle en moellons de calcaire de la 1è moitié du 18è siècle.
Bâtisse modeste du 18è, maison natale de Jean Del Cour.
Une autre maison plus vaste et située 100 mètres plus loin se targue elle aussi d'être la maison natale de Jean Del Cour mais ce n'est pourtant
Cette maison en moellons de grès et de calcaire date de 1774.
Cette maison en moellons calcaires date de la seconde moitié du 18è siècle.
Elle a été bâtie sur un noyau plus ancien qui date du 17è siècle.
Groupe de maisons en moellons calcaires datant des 17è et 19è siècles.
Il fut légué en 1735 par Henry-Louis de Harre et sa sœur au desservant de la chapelle de Filot.
Cette maison en moellons de calcaire du début du 18è siècle abrite le Syndicat d’Initiative de Hamoir.
Cette habitation en moellons calcaires date du 3è quart du 18è siècle.
Certaines maisons de ce quartier remarquable, pour la plupart en moellons, datent du 17è. D’autres ont été bâties au 19è.
Groupe de 3 habitations en moellons de calcaire. Il date de 1772.
Ensemble de maisons remarquables située sur un quai le long de l'Ourthe.
Une remarquable allée de marronniers qui traverse le Bois de Pierreux .
A l’entrée de l’allée du Château de Ville, il commémore les résistants PACCHIOTTI Louis et RENAVILLE Alphonse qui ont été fusillés à cet endroit par les Allemands le 9 septembre 1944.
Monument dédié aux combattants des deux guerres.
Monument dédié aux morts de la seconde guerre mondiale.
Une plaque commémorative a été ajoutée en mémoire d'un parachutiste qui a été gravement blessé en janvier 1945.
Monument inauguré en août 1920 et érigé par souscription publique en hommage aux combattants de la 1è guerre mondiale.
Pierre commémorative du jumelage franco-belge datant de 1961, avec Saulxures sur Moseltte qui se situe dans le département des Vosges (88) à quelques 350 Km de Hamoir.
Epinal se trouve à 44 Km de Sau
Ce moulin aujourd'hui disparu était déjà cité en 1378.
L’origine de ce moulin à grains, bâti en pierres et à deux étages, remonte à 1536.
Le Moulin de la Lembrée a été rénové et est utilisé comme maison de vacances.
Ce musée présente les découvertes faites lors des fouilles du Château fort de Logne. Il est ouvert du 1/7 au 31/8, tous les jours de 13:00 à 18:30.
D’avril à octobre : les Week-ends et jours fériés de 14:30 à 18:30.
Ce parc communal contient plusieurs arbres remarquables, notamment un séquoïa géant mais aussi un Ailante glandulosa originaire de Chine.
Pierre avec les blasons des communes jumelées avec Hamoir :
- Saulxures sur Moselotte (France)
- Wenigumstadt (Bavière Allemagne)
Une table de pique-nique sous les tilleuls, en sortie du village.
Sur une petite aire ombragée sous les sapins, deux tables de piques accueillantes au niveau de la résurgence de la Lembrée.
Cette plaine jouxte le parc communal et les bureaux de l'administration communale
Un panorama sur le village de Ferrières, la ferme de la Housse et l’église Saint-Martin.
Une vue générale sur le hameau de Sy au-dessus d’un rocher abrupt : le Rocher de Nandouire.
Un point de vue sur l’Ourthe sur le promontoire du Rocher de la Cathédrale.
Au n°2 de cette place maison datée de 1752 sur le linteau droit surmonté d’une petite potale (Le terme potale en Belgique, désigne une niche contenant une statuette protectrice) moulurée.
Cette petite potale est située au coeur du hameau.
Placée en retrait dans le jardin du presbytère, cette potale date de 1846.
Cette statuette de la Vierge est sertie dans une niche en pierre de taille posée sur un muret en pierres. Devant celui-ci s’étale un petit parterre fleuri.
Cette habitation en retrait de la rue, en moellons de grès et de calcaire, dans une petite cour encadrée de murs en moellons de grès, date du second tiers du 19è siècle.
La Lembrée est un ruisseau qui prend sa source sur les plateaux fagnards de Harzé et Werbomont. Elle se jette dans l’Ourthe au niveau du Domaine de Palogne.
Ce rocher fut gravi pour la première fois en 1930 par le Roi Albert I et Xavier de Grunne.
Ce château étale d’imposantes ruines, témoignage de l’architecture médiévale militaire, comportant de nombreux vestiges d’époque.
Séquoia géant dans le parc communal à Hamoir.
La circonférence du tronc de l’arbre est 3,55 m mesurée à une hauteur de 1,50 m.
La hauteur est de 35 m.
Ce site de grand intérêt biologique s'étend sur près de 10 ha.
Arbre de la Justice sur lequel étaient autrefois pendus les condamnés à mort.
La tombe d’un avocat controversé, capitaine d’artillerie pour la France.
Il est né français en 1758 puis fut naturalisé liégeois. Il est décédé en 1849.
Il fut aussi nommé procureur général impérial pour le département de l’Ourthe par
Ce tunnel piétonnier a été creusé sous la Route de la Famenne. Il relie la Rue des Roches et Sur le Mont pour éviter de traverser la grand’route.