Cette petite potale est située au coeur du hameau.
Potale de 19è sur tronc du tilleul.
Christ en croix.
Ces deux croix posées à l’ombre de deux pins et d’un chênes datent du 19è siècle.
Cette croix porte un Christ torsadé, sur une croix de bois avec un pied peint en brun, forgé par René Maquoi d’après un modèle fourni par la famille Billy.
Le tout est fixé sur une croix de bois avec un pied peint en brun.
Un Christ en croix posée sur un piédestal en pierre calcaire.
Christ en croix située près de la borne fontaine.
Une croix en fer portant un Christ peint en blanc qui s’élève devant l’ancienne poste du village sur un muret en pierre de taille. Elle est millésimée 1768.
Ce Christ en croix sur socle calcaire et pierres mémoires commémore la mort de professeurs et d’élèves durant la guerre.
Une croix en bois portant un petit Christ en fonte noir, au carrefour de trois chemins.
Une croix élevée dans un petit monument et près de laquelle sont plantés des hêtres séculaires. Elle date de 1880.
Cette potale en calcaire comporte une croix en fer date du milieu du 19è siècle. L’inscription qu’elle comporte est : "S. M. DEDIEU PRIEZ POUR NOUS, NOUS QUI AVONS RECOURS A VOUS 18A V M"
Un Christ en croix au pied d’un hêtre.
Cette croix en fer est surplombée d'une anse métallique reposant au sommet de deux marches en béton au pied du talus.
Cette croix, située au carrefour des routes Ferrières - Saint-Roch et Rouge Minière - Grimonster date de 1828.
Croix de style baroque datant de 1788, située à l'ombre d'un vieux tilleul.
Elle repose sur une base récente en moellons.
Une ancienne croix en bois de rogations, peinte en blanc et ne comportant plus de Christ.
Cette potale haute en calcaire date du milieu du 19è.
Croix en calcaire.
Cette croix d’occis qui s’élève dans le talus est dédiée à L. Eloi, décédé à cet endroit le 22 septembre 1858.
Cette croix en fer forgé a été élevée en 1840 à la fin de l’exploitation du minerai de fer dans la région.
Cette croix en pierre de taille est dédiée au garde-champêtre Victor Lamer, tué par un coup de feu à cet endroit le 18 octobre 1928 à minuit, à l’âge de 66 ans.
Croix érigée à la mémoire de J.T. Senni et de Marie-Louise Mercier décédés en 1844 à Filot.
Cette potale date de 1756.
Barbecue couvert.
Se situe à proximité de la pompe-abreuvoir et du tunnel sous voirie.
Une zone de barbecue avec des tables de pique-nique.
La salle des fêtes du village.
Une petite chapelle en moellons de calcaire, située au carrefour entre Lognoul et le Houpet. Elle est millésimée 1897 et a été bâtie par le forgeron Michel Chabot qui habitait à côté.
Cette chapelle date de 1954. Elle porte plusieurs dénominations suivant qu’on désigne le propriétaire ou les localisations.
Statue de la Vierge abritée dans un petit monument en pierre comportant l’inscription :
"Reconnaissance à Marie, Reine de l’Univers 1948".
Cette chapelle a été construite en 1954.
Elle fut déplacée dans les années 1970 pour faire place à un rond-point.
Cette chapelle de style ogival date de 1868.
Son origine est liée au manoir, qui possédait vraisemblablement une chapelle castrale.
Elle contient une ancienne pierre tombale : celle de Jean Everard,
Cette chapelle date de 1878. Sous un plafond plat centré d’un ombilic en stuc, deux pilastres de maçonnerie supportent une table d’autel en pierre.
Cette petite chapelle arrondie en moellons de grès date de 1935. Elle comporte un portail garni de roses et possède des vitraux façonnés par un maître-verrier liégeois.
Ce vaste complexe architectural comprend le château, le parc, la chapelle St-Etienne, un ancien cimetière, le colombier du 17è siècle et une ferme castrale semi-clôturée avec dépendances du 18è.
Demeure de style éclectique en pierres et colombages édifiée en 1850 et présentant plusieurs parties distinctes.
Centre de vacances "Vacances vivantes" ASBL (Groupes de 20 personnes minimum).
Ensemble carré dont la construction aux transformations succesives s’étendent du 17è au 19è. Une ferme carrée est adossée au château.
La tour-porche néo-gothique s’ouvre sur une cour intérieure bordé
Potale de 19è sur tronc du tilleul.
Christ en croix.
Cimetière qui recèle le monument funéraire du compositeur Pierre-Auguste Dupont, auteur d’une cinquantaine de numéros d’opus publiés en partie de son vivant.
Ces deux croix posées à l’ombre de deux pins et d’un chênes datent du 19è siècle.
Cette croix porte un Christ torsadé, sur une croix de bois avec un pied peint en brun, forgé par René Maquoi d’après un modèle fourni par la famille Billy.
Le tout est fixé sur une croix de bois avec un pied peint en brun.
Christ en croix située près de la borne fontaine.
Une croix en fer portant un Christ peint en blanc qui s’élève devant l’ancienne poste du village sur un muret en pierre de taille. Elle est millésimée 1768.
Une croix en bois portant un petit Christ en fonte noir, au carrefour de trois chemins.
Cette potale en calcaire comporte une croix en fer date du milieu du 19è siècle. L’inscription qu’elle comporte est : "S. M. DEDIEU PRIEZ POUR NOUS, NOUS QUI AVONS RECOURS A VOUS 18A V M"
Un Christ en croix au pied d’un hêtre.
Cette croix en fer est surplombée d'une anse métallique reposant au sommet de deux marches en béton au pied du talus.
Croix de style baroque datant de 1788, située à l'ombre d'un vieux tilleul.
Elle repose sur une base récente en moellons.
Une ancienne croix en bois de rogations, peinte en blanc et ne comportant plus de Christ.
Cette potale haute en calcaire date du milieu du 19è.
Cette croix d’occis qui s’élève dans le talus est dédiée à L. Eloi, décédé à cet endroit le 22 septembre 1858.
Cette croix en fer forgé a été élevée en 1840 à la fin de l’exploitation du minerai de fer dans la région.
Cette croix en pierre de taille est dédiée au garde-champêtre Victor Lamer, tué par un coup de feu à cet endroit le 18 octobre 1928 à minuit, à l’âge de 66 ans.
Croix érigée à la mémoire de J.T. Senni et de Marie-Louise Mercier décédés en 1844 à Filot.
Ecole communale de My.
Ce bâtiment de style néo-gothique en briques et en calcaire date de 1868.
Elle a été construite sur les plans de l’architecte Bouvy de Marche.
Elle remplace un bâtiment de style roman plus ancien.
Cet édifice en moellons calcaires date de 1531.
Il fut vraisemblablement bâti à la place d’un bâtiment plus ancien d’origine romane.
Cette église de style pseudo-gothique a été reconstruite en 1878 et achevée en 1881, d’après les plans de l’architecte J. Rémont. Le clocher qui était en mauvais état a été remplacé par une structure légère en inox.
Ferme en L en moellons calcaires qui date du 18è.
Cette ferme du 18è siècle est bâtie en moellons de calcaire. La porte est en anse de panier de briques et la toiture est en ardoises.
Cette ferme en moellons de grès et de calcaire possède une pierre aux armes millésimée 1750 de François de Faymonville, prieur de Bernardfagne (Saint-Roch).
Cette ferme pédagogique en moellons de calcaire produit du beurre, du lait, de la glace et du fromage.
L’architecture est de type semi-clôturé.
La cour intérieure pavée est accessible par un porche-colombier datant du 18è siècle.
Une ferme du 19è siècle partiellement clôturée. En contrebas se trouve un étang. Il s’agit probablement d’une ancienne dépendance de l’Abbaye de Bernardfagne.
Ce bâtiment carré en moellons calcaire date des 18è et 19è siècles. Il est attenant au château Ange Wibin-Gillard et comporte 4 ailes.
Cette ferme est datée de 1795 par ancres.
Cette borne-fontaine date du 19è.
Elle marque comme d’autres les traces du passage de Saint-Remacle.
Elle est alimentée par un chantoir, une cavité naturelle dans laquelle s’engouffre l’eau.
Une pompe carrée en fonte qui date de la fin du 19è.
Cette gentilhommière a été construite probablement à la fin du 16è siècle. Elle est dotée d’une façade de deux niveaux élevée en moellons de calcaire au rez-de-chaussée et en briques à l’étage.
Quatre gîtes dans une ferme d'élevage bovin et de culture.
Cette ferme perpendiculaire en moellons de grès et calcaire date de la fin du 18è siècle. Elle appartenait à l’abbaye de Stavelot.
Ce jardin clos restauré à l’initiative de l’association locale Qualité-Village-Ferrières situé à côté de l’église Saint-Martin contient plusieurs croix et monuments funéraires en fonte et en calcaire remarquables.
Cette bâtisse en moellons de calcaire avec un toit en ardoise, date du 19è siècle et a été agrandie vers 1915-1917.
La porte centrale est accessible par un perron.
Avant la fusion, ce bâtiment comprenait également l’école communale.
Bâtiment en moellons calcaires qui date de la seconde moitié du 19è.
Ce bâtiment, qui date de la seconde moitié du 19è est élevé en moellons de calcaires.
Cette maison en moellons de grès et de calcaire date de 1774.
Cette maison en moellons calcaires date de la seconde moitié du 18è siècle.
Elle a été bâtie sur un noyau plus ancien qui date du 17è siècle.
Groupe de maisons en moellons calcaires datant des 17è et 19è siècles.
Il fut légué en 1735 par Henry-Louis de Harre et sa sœur au desservant de la chapelle de Filot.
Cette habitation en moellons calcaires date du 3è quart du 18è siècle.
Certaines maisons de ce quartier remarquable, pour la plupart en moellons, datent du 17è. D’autres ont été bâties au 19è.
A l’entrée de l’allée du Château de Ville, il commémore les résistants PACCHIOTTI Louis et RENAVILLE Alphonse qui ont été fusillés à cet endroit par les Allemands le 9 septembre 1944.
Ce monument est dédié aux morts de la première guerre mondiale.
Monument dédié aux combattants des deux guerres.
Ferrières est jumelé avec Chablis en Bourgogne-Franche-Comté (France) depuis le 28 juin 1964. Ce monument a été placé à l’occasion du cinquantième anniversaire du jumelage. La petite place de Ferrières porte d’ailleurs son nom.
Ce monument où s’élève une grande statue de Jésus a été élevé en 1922 par la paroisse de Ferrières, en reconnaissance de ce qui a été épargné durant la première guerre mondiale.
Cet ancien moulin sur la Lembrée en moellons de grès schisteux chaulés est couvert d’une bâtière de chèrbins (ardoises très épaisses en forme d’écaille).
Il est entré en activité au 17è siècle et les a cessées à la 2è guerre mondial
L’origine de ce moulin à grains, bâti en pierres et à deux étages, remonte à 1536.
Le Moulin de la Lembrée a été rénové et est utilisé comme maison de vacances.
Cette ancienne ferme et ancien moulin banal fut acheté en 1597 à Marie de Harzé.
Il était alimenté par le Ruisseau d’Insegotte.
Ce musée est établi dans un hôtel de maître datant du début du 20è siècle.
Il possède une collection de plus de 1000 jouets datant de la fin du 19è aux années 50.
Une table de pique-nique sous les tilleuls, en sortie du village.
La Place s’appelait, jadis « Li Pieri ». En 1823, elle porte le nom de « Li Bâti », pour être actuellement Place de Chablis.
Un panorama sur le village de Ferrières, la ferme de la Housse et l’église Saint-Martin.
Un point de vue sur la région de Ferrières.
Cette statuette de la Vierge est sertie dans une niche en pierre de taille posée sur un muret en pierres. Devant celui-ci s’étale un petit parterre fleuri.
Cette habitation en retrait de la rue, en moellons de grès et de calcaire, dans une petite cour encadrée de murs en moellons de grès, date du second tiers du 19è siècle.
Arbre de la Justice sur lequel étaient autrefois pendus les condamnés à mort.
Tilleul plus que centenaire le long de la voirie menant de Filot à Xhoris.
Ce tunnel piétonnier a été creusé sous la Route de la Famenne. Il relie la Rue des Roches et Sur le Mont pour éviter de traverser la grand’route.