Cette église romane date du 10è siècle. Ses principales caractéristiques sont sa tour sans clocher orientée vers le village et un cimetière avec point de vue sur la campagne gaumaise.
A l’intérieur, on y trouve un bénitier gothique (16è), des stalles (18è) et 3 statues en bois polychrome (17è) (Ste Scholastique, contre les convulsions des enfants; St-Roch, contre la peste et St-Donat, contre les orages violents).
Aussi appelé la Cathédrale des Champs, cet édifice de style gothique a été bâti au 14è. Il est classé comme monument historique depuis 1840. Un pèlerinage s’y déroule chaque 16 juillet depuis le 12è siècle avant même sa construction.
Cette église de style néo-classique ou Empire (comme les temples gréco-romains, typiques avec leurs colonnes et leur tympan triangulaire) date de 1834.
Cette église de style néo-roman est dédiée à Saint-Martin de Tours, reconstruite en 1948 par l’architecte Joseph Remy d’Arlon.
Cette église a été reconstruite entre le 11è et le 13è siècle à la place d’un bâtiment plus ancien (9è siècle) qui avait été incendié.
Edifice néo-roman à trois nefs construit entre 1862 et 1867.
Il a été bâti sur le lieu d’un sanctuaire plus ancien qui datait du 17è.
Cette église, construite en 1860, a permis aux paroissiens d’éviter de se rendre à la messe à Rouvroy, le lieu étant souvent inondé.
Cette église a été construite entre 1853 et 1856, avec la contribution de l’Abbé Denis. Ce dernier faisait partie de l’armée de Napoléon III durant la guerre de Crimée, ce qui a influencé le style orthodoxe, caractérisé par un dôme.
Ce calvaire élevé en 1832 à l’initiative de Jean-Baptiste Lhommel, a servi plus tard de sépulture à deux artilleurs francais, tués entre Couvreux et Montquintin durant la 1è guerre mondiale. La croix de bois a été remplacée en 1978.
Cet ancien château fort féodal en trapèze, avec 3 autres tours circulaires, parti d’une simple tour de défense, s’est développé à partir de 1255, à l’initiative de Raoul de Latour, fils cadet du seigneur de Latour, du comté de Chiny.
Ce calvaire du 18è siècle a vraisemblablement été érigé par Etienne Danloup et Odile Genin, la fille du meunier de Radru, en remerciement d’une grâce accomplie : l’arrivée d’un enfant. C’étaient des tenanciers de cabaret au village.
Cette église, construite en 1860, a permis aux paroissiens d’éviter de se rendre à la messe à Rouvroy, le lieu étant souvent inondé.
Habitée autrefois par la famille de Franque, on raconte que cette maison aurait dû accueillir le roi de France Louis XVI lors de sa fuite après la Révolution française, mais avant, celui-ci fut arrêté le 20 juin 1791 à Varennes-en-Argonne.
Cette ferme tricellulaire (corps de logis, grange, étable) en grès calcaire et chaulée, est liée à l’ancien château féodal. Elle se caractérise par son toit en pente légère recouvert de tuiles "canal" à la romaine.
Une table de pique-nique proche de l’intersection de la Rue du Château-Fort et du chemin vicinal vers Couvreux, à l’abri de la circulation, dans le chemin en question.
Large point de vue sur la crête frontalière belgo-française.