Dans le cimetière juxtaposé se trouve le tombeau de la famille de Gustave Trasenster, grand dirigeant de la métallurgie d’Ougrée-Marihaye, reproduction à l’identique de l’admirable pavillon de la reine Jeanne, découvert aux Baux de Provence.
Dans le cimetière, on y trouve également des tombes de 5 soldats anglais du Commonwealth. Ils sont morts à cause d’une intoxication au CO en décembre 1918.
La chapelle de Winamplanche est édifiée. Jusqu’à la construction de celle de Desnié, les habitants de Desnié la fréquentent.
Une chapelle primitive est édifiée à Desnié.
Henri Willem Chaudoir, un riche propriétaire des environs, fait dont de la "Terre Sounet", une terre de 30 verges, pour construire une chapelle et une habitation pour un prêtre, à condition que la chapelle soit construite dans les 2 ans.
Le chapitre cathédral donne son autorisation et les travaux sont entrepris.
Des réparations urgentes sont faites à la chapelle.
La chapelle primitive est érigée en succursale et devient paroisse indépendante, vu l’augmentation de la poulation.
Arrivée du curé à Desnié. Il s’agit de l’abbé Lonchay, précédemment vicaire à Ferrières.
L’ancienne chapelle est démolie. La nouvelle église est construite sur les plans de l’architecte Marquet de Francorchamps.
L’église est achevée. L’inauguration a lieu en avril.
L’église est consacrée par l’évêque de Liège, Monseigneur de Montpellier.
Le clocheton est acheté.
Le curé François Henri Michel est nommé.
Autorisation est donnée d’ajouter un clocher digne de ce nom.
Les cloches de l’église sont réquisitionnées par l’occupant pour servir de matière première aux Allemands.
Les cloches sont récupérées sur un bateau coulé par la résistance de Verviers et sont rapatriées à Anvers.
Cette église datant de 1859 a été construite sur les plans de l’architecte provincial Delsaux. Elle comporte une seule nef voûtée en croisées d’ogives surbaissées appuyées sur des culs-de-lampe à motif sculpté.
Cette église a été bâtie en 1860 à la place d’une ancienne chapelle totalement détruite lors d’un grand incendie dans le village, qui a eu lieu en 1857.
Cet arbre commémore la victoire de 1918 dans le site classé du calvaire de Desnié et a été planté par les écoliers de Desnié en 1919.
Une plaque commémorative rappelle le geste des écoliers.
Cascade formée par un ru provenant de Desnié et se jetant dans la Ru du Fond de Creppe, dans la vallée de Tolifaz.
Poneys et chevaux de manège, élevage sur 15 hectares de prairies ardennaises : chevaux de sport, demi-sang belges.
Leçons et promenades pour tous niveaux.
Elle fut construite suite au voeu formulé par le curé de Desnié lors de sa messe du 18 décembre 1944.
Cette chapelle classée appartenait probablement à l’ancien domaine de Hautregard (1671).
Charme dont les troncs enchevêtrés forment un oeil.
Cette charmille exceptionnelle, la plus longue de Belgique (573 m) et parmi les plus grandes d’Europe est composée de 4700 plants de charmes, dont 60 à 70 % sont centenaires.
Ce château de style Tudor néo-médiéval comporte des murs à créneaux et mâchicoulis postiches.
Ce château de style Louis XV est flanqué d’une tour comparable à un clocher à bulbe.
Cette croix en calcaire a été érigée en 1819, rappelant le décès à cet endroit de la femme du châtelain du Haut Marais, à la suite d’une chute de cheval.
Cette croix évoque la mort de 4 habitants décédés en 1675. Les 4 victimes mentionnées pourraient être un épisode tragique de cette petite guerre pour l’utilisation de la forêt qui servait aussi de vaine pâture.
Ce repère était déjà présent avant 1848 pour délimiter la paroisse de Desnié.
Cette église datant de 1859 a été construite sur les plans de l’architecte provincial Delsaux. Elle comporte une seule nef voûtée en croisées d’ogives surbaissées appuyées sur des culs-de-lampe à motif sculpté.
Cette église a été bâtie en 1860 à la place d’une ancienne chapelle totalement détruite lors d’un grand incendie dans le village, qui a eu lieu en 1857.
Cette éolienne de 300 Kw a été placée en 2005 par André Noirhomme.
Bienvenue au Chemin de Traverse, votre raccourci personnel et privilégié vers un séjour inoubliable en famille ou entre amis, au cœur de l’Ardenne belge à Desnié, sur la commune de Theux en Belgique.
Cet ensemble de constructions en moellons de grès et calcaire date des 18è et 19è siècles.
Cette gentilhommière fut construite à partir de 1908.
Lébioles est le Ciergnon spadois par la magie de son site boisé et sa solitude. Il a reçu des gens éminents de la littérature française et belge.
Ce monument est dédié aux combattants de l’armée secrète, qui a effectué de nombreuses opérations de résistance à Bronromme entre 1943 et 1944.
Tombeau de la famille de Gustave Trasenster, grand dirigeant de la métallurgie d’Ougrée-Marihaye, reproduction à l’identique de l’admirable pavillon de la reine Jeanne.
Lieu de repos et de pique nique après la montée du Ninglinspo ou de la balade sur la Porallée.
Haut lieu de la résistance pendant la seconde guerre mondiale, le site a servi de point de réception de parachutages d’armes par les maquisards de l’armée secrète.
Les deux frères Pinson confectionnent des mannes et des "bodets" pour les fabriques de laine de Verviers. (Le bodet vaut le double d’une banse).
Ce rocher situé à la rencontre du Ruisseau du Fond de Creppe avec le Ruisseau de l’Eau Rouge est constitué de schiste.