Ferme datant de 1846.
Elle a été reconvertie grâce à un collectif qui promeut à la fois la culture et l’agriculture, grâce à sa position privilégiée en pleine nature.
Un théâtre d’une centaine de pl
Ferme datant de 1846.
Elle a été reconvertie grâce à un collectif qui promeut à la fois la culture et l’agriculture, grâce à sa position privilégiée en pleine nature.
Un théâtre d’une centaine de places accueillent des spectacles 3 à 4 fois l’année dans un fenil réaménagé.
L’élevage n’est pas en reste dans la ferme : une quarantaine de brebis y sont élevées.
Il s’y trouve également une salle de conférences.
Un jardin planté d’arbres avec des écriteaux qui les identifient, près de la Chapelle du Bonlieu.
Ce bâtiment datant de 1839 a été réhabilité afin d’accueillir des expositions sur deux niveaux.
Ce centre a été créé en 1984. Au départ nomade selon une volonté politique, il est passé par Jamoigne avant de s’implanter à Buzenol. Il propose la création d’œuvres monumentales et environnementales temporaires.
Selon la tradition populaire, un des comtes de Chiny, Louis Il, victime d’un accident de chasse ou d’une maladie soudaine fut soigné et guéri au presbytère de Rouvroy.
Une petite croix en bois posée sur un socle en béton, proche de la Chapelle du Bonlieu.
Cette croix est située au croisement de la N87 Virton - Etalle et de la N879 Marbehan - Tintigny - Ethe - Ruette.
Cette source située à 2 km au sud de Buzenol, en rive gauche du Gros Ruisseau, a des propriétés pétrifiantes, dues au calcaire présent en grandes quantités. Le site s’étend sur environ 0.7 ha.
Les vestiges de ce donjon massif et carré. Celui-ci a vraisemblablement été abandonné au 5è siècle. La légende l’attribue aux Quatre Fils Aymon.
Cette forge s’est développée le long du Gros Ruisseau entre 1507 et 1858 à partir d’un haut-fourneau. Elle connaîtra son apogée au 18è siècle.
Révélée par le carbone 14, le premier rempart de cette forteresse date du néolithique, soit environ 4000 ans avant Jésus-Christ. Il s’agit des plus anciennes traces humaines retrouvées en Province de Luxembourg.
Cette gare était située sur l’ancienne ligne de chemin de fer 155 qui reliait Marbehan à Ecouviez (F) en passant par Virton.
Elle a été désaffectée en 1938. La suppression de la ligne a suivi une bonne dizaine d’années plus tard, en 1951.
Ce musée à l’architecture moderne semi-enterré, dessiné par le belgo-polonais Constantin Brodzki et son associé scénographe Corneille Hannoset, influencé par l’archéologue Louis Lacoste, abrite des découvertes archéologiques.
Une table de pique-nique couverte, en face de l’ancienne gare de Buzenol.
Une table de pique-nique abritée, en plein bois, à une centaine de mètres de la Chapelle du Bonlieu.
Une table de pique-nique sous abri le long du Ravel de l’ancienne ligne 155.
Ce carrefour a été renommé en l’honneur de Joseph Jordant, garde forestier.
Il était membre de l’armée secrète. Fait prisonnier durant la guerre, il est décédé le 28 décembre à Buchenwald.
Cette table de pique-nique couverte est située en plein bois au croisement du sentier des songes et du chemin en direction de la Chapelle du Bon Lieu.
Cette réserve naturelle a été créée à l’initiative d’une dizaine de propriétaires forestiers en 1995, sous la forme d’une ASBL : Vallée de Laclaireau.
La légende attribue cette forteresse aux Quatre Fils Aymon, du duc Aymon. Celle-ci se passe au Moyen-Âge, au 12è siècle. Ils sont Renauld, Allard, Guichard et Richard et se sont opposés à Charlemagne.
Ce sentier passe par 7 étangs de la Vallée des Zigomars. Ce sont des lutins protecteurs des fées, dont la grotte se situe un peu plus au nord-est. Des artistes y ont édifié leurs œuvres poétiques.
Ce site archéologique domine le Gros Ruisseau de 70 m. les fouilles ont révélé un complexe archéologique d’un grand intérêt.
Dans de grandes baies vitrées sont exposés des fragments sculptés de stèles funéraires gallo-romaines.
Ce surplomb rocheux en grès siliceux est empli de petites grottes, creusées par l’érosion naturelle au jurassique.
La galerie principale a une longueur de 15 m.