Fontaine avec un bac en pierre flanqué de deux tilleuls.
Autrefois, les couples qui s'étaient mariés l'année précédente se rassemblaient auprès de cette fontaine. Le cortège était ouvert par des violoneux. Lorsque le groupe arrivait à la fontaine, le couple marié en dernier lieu devait en nettoyer le réservoir. Puis la fête se poursuivait longuement.
Source captée et conduite dans ce bac abreuvoir.
Borne fontaine carrée en calcaire du 19è.
Cette borne-fontaine date du 3è tiers du 19è.
Borne fontaine en fonte, de la fin du 19è siècle.
Elle porte la signature du Fondeur J. J.Dewandre.
Borne-fontaine en fonte du 19è, avec bec verseur.
Borne-fontaine assez haute et un bec verseur dans bac abreuvoir.
Cette imposante cascade artificielle, surmontée d’une balustrade ornée de dauphins et d’angelots, fut construite en 1862.
La croyance populaire voulait que cette fontaine ait des propriétés thérapeutiques oculaires.
Cette borne-fontaine date du 19è.
Elle marque comme d’autres les traces du passage de Saint-Remacle.
Elle est alimentée par un chantoir, une cavité naturelle dans laquelle s’engouffre l’eau.
Fontaine dédiée à Pierre David, premier bourgemestre de Verviers.
Elle est l’oeuvre de l’architecte Clément Viroux.
Elle fut inaugurée lors du voyage de Léopold Ier à Verviers.
Borne fontaine en fonte avec levier et bac abreuvoir.
Cette fontaine à auge basse est construite sous 2 marroniers (1832).
Le massif quadrangulaire de calcaire est surmonté d’une urne de fonte.
Cette ancienne fontaine Montefiore, consistant en un bac en pierre surmonté d’un petit édifice en calcaire, a été placée en 1889.
Cette fontaine est attenante à la Chapelle Notre-Dame de l’Epine, construite par Emile Deblon, fermier du village.
Jusqu’au 18è, le château était bordé d’une douve emplie d’eau.
Cette eau provient du ruisseau de l’Hermiterie et est canalisée jusqu’à la fontaine.
Fontaine (19è) composée de trois auges et d’un massif quadrangulaire de calcaire, orné d’une moulure et terminé en pyramide.
Cette fontaine a été réalisée à la demande de Madame Hortense Montefiore-Levi et placée le 6 octobre 1895.
Accolée à la clôture murée du presbytère, typique fontaine, de la 2è moitié du 19è.
Pompe et bac abreuvoir.
Cette fontaine monumentale date de 1130.
Elle est toujours très utile aux habitants d'Exbomont.
Cette fontaine se situe au centre du hameau, en contrebas d'une balustrade longeant la rue en provenance de Hamoir.
Son origine est très lointaine. Elle alimentait les habitants et permettait de refr
Fontaine installée le 22 mars 2002 sur une idée des services clubs verviétois, réunis au sein d’une asbl "Verviers Fontaine 2000" créée en 1999.
Il s’agit d’un ancien ensemble constitué d’une fontaine, d’un abreuvoir et d’un bac pour lavandières.
Elle captait une abondante eau de très bonne qualité.
Ancienne pompe à eau en fonte du 19è de forme pyramidale et en hauteur. Elle est munie d'un bras levier.
Cette ancienne borne-fontaine en fonte, de la fin du 19è, porte le nom de son fondeur J. Dewandre.
Cette pompe carrée en moellons a été placée en 1891 pour assurer l'alimentation en eau du hameau de Ham.
Une borne-fontaine en fonte sur socle calcaire de fin du 19è siècle, entourée de marronniers.
Cette source est située à quelques mètres de la source de la Sauvenière. Les propriétés de ses eaux sont légèrement différentes de celles de cette dernière.
Cette source minérale ferrugineuse carbogazeuse froide est située à 410 m d’altitude.
Ce pouhon situé à 444 m, dont l’eau ferrugineuse a un goût acide avec une odeur de souffre. Il est cité pour la première fois en 1559.
Ce pouhon, élevé à la fin du 19è, est composé de métal et de verre.
La pyramide en verre a été ajoutée en 1988 par l’architecte spadois Marcel Geenen.
Cette source est également appelée Source duc de Wellington et rend hommage à Arthur Wellesley duc de Wellington qui séjourna à Spa en 1818, soit 3 ans après sa victoire à la bataille de Waterloo.
Ce puits carré en brique date du 19è.
Il est percé d'une porte à linteau de calcaire.
Au pied d'un petit chemin en pente reliant la Rue de la Grotte à la Rue des Ploppes.
Selon l’histoire de Mariette Beco, à qui la Vierge est apparue, cette source lui a été montrée par Marie le 18 janvier 1933. Préalablement destinée au bétail, elle lui dit qu’elle le serait dorénavant aux malades de toutes les nations.
Cette source minérale ferrugineuse carbogazeuse froide est mentionnée pour la première fois sous le nom de "Barisair" en 1438. Des bassins furent très tôt adjoints à la source.
Cette célèbre source minérale produit une eau ferrugineuse naturellement pétillante. Elle est située à une altitude de 400 m.
Elle est aussi appelée "l’Enragée".
Cette source est ainsi nommé en hommage à la seconde reine des Belges, Marie-Henriette de Habsbourg-Lorraine. Le pavillon a été construit en 1922 et inauguré en 1933 par la reine Élisabeth.
Les eaux de cette source ferrugineuse et carbo-gazeuse sont issues de la Fagne de Malchamps. Les rotondes vitrées dont une abrite la source datent de 1884.
Cette source produit une eau ferrugineuse d’excellente qualité provenant de 23 griffons captés par un puits artésien d’une profondeur de 19,60 m. L’altitude en surface avoisine les 305 m.