Cette source est également appelée Source duc de Wellington et rend hommage à Arthur Wellesley duc de Wellington qui séjourna à Spa en 1818, soit 3 ans après sa victoire à la bataille de Waterloo.
Le comte Georges d’Artet de Neufmoustier découvre près de sa villa une source ferrugineuse et des mofettes d’acide carbonique. Il devient propriétaire du terrain d’une superficie de 9 500 m².
Il capte la source avec le docteur Achille Poskin, spécialiste en hydrologie et médecin à Spa.
Georges d’Artet de Neufmoustier concède au Syndicat des Eaux Minérales de Spa le droit d’exploiter les eaux minérales de la source à ses frais avec une location par bail et une redevance de 2 centimes par bouteille vendue.
L’eau est commercialisée sous les marques Royale Spa, Duc de Fer et La Soyeureuse.
Edouard Libotte-Thiriar, un industriel liégeois, achète la source à Georges d’Artet de Neufmoustier. Il constitue avec 26 autres personnes la SA La Royale Spa.
L’usine d’embouteillage qui se trouvait boulevard des Anglais est construite près de la source.
Plus de 8 millions de bouteilles sont vendues en Belgique et à l’étranger.
La société concurrente Spa Monopole achète la SA La Royale Spa.
Les 65 m³ journaliers de la source Wellington servent à alimenter l’établissement des Bains de Spa en plus des eaux de la source Marie-Henriette qu’il reçoit depuis 1867.
Spa Monopole cède la propriété de la source à la ville de Spa en échange d’une prolongation de sa concession.
Les anciens bâtiments de l’usine d’embouteillage de la Royale Spa sont démolis.
Le petit kiosque est démonté.
Cette imposante cascade artificielle, surmontée d’une balustrade ornée de dauphins et d’angelots, fut construite en 1862.
La croyance populaire voulait que cette fontaine ait des propriétés thérapeutiques oculaires.
Cette fontaine est attenante à la Chapelle Notre-Dame de l’Epine, construite par Emile Deblon, fermier du village.
Cet ancien puits a été restauré en 1980. Il est placé dans un grand enclos à plan incliné, avec bacs et abreuvoirs qui servaient aux lavandières et au bétail. Un sotê, témoin de la Fête des Vieux Métiers, veille sur la fontaine depuis 2001.
Il s’agit d’un ancien ensemble constitué d’une fontaine, d’un abreuvoir et d’un bac pour lavandières.
Elle captait une abondante eau de très bonne qualité.
Cette source est située à quelques mètres de la source de la Sauvenière. Les propriétés de ses eaux sont légèrement différentes de celles de cette dernière.
Cette source minérale ferrugineuse carbogazeuse froide est située à 410 m d’altitude.
Ce pouhon situé à 444 m, dont l’eau ferrugineuse a un goût acide avec une odeur de souffre. Il est cité pour la première fois en 1559.
Ce pouhon, élevé à la fin du 19è, est composé de métal et de verre.
La pyramide en verre a été ajoutée en 1988 par l’architecte spadois Marcel Geenen.
Cette source minérale ferrugineuse carbogazeuse froide est mentionnée pour la première fois sous le nom de "Barisair" en 1438. Des bassins furent très tôt adjoints à la source.
Cette source est ainsi nommé en hommage à la seconde reine des Belges, Marie-Henriette de Habsbourg-Lorraine. Le pavillon a été construit en 1922 et inauguré en 1933 par la reine Élisabeth.
Les eaux de cette source ferrugineuse et carbo-gazeuse sont issues de la Fagne de Malchamps. Les rotondes vitrées dont une abrite la source datent de 1884.
Cette source produit une eau ferrugineuse d’excellente qualité provenant de 23 griffons captés par un puits artésien d’une profondeur de 19,60 m. L’altitude en surface avoisine les 305 m.
Hôtel situé au bord du Lac de Warfaaz.
Une table de pique-nique le long du Ravel.
Cette source produit une eau ferrugineuse d’excellente qualité provenant de 23 griffons captés par un puits artésien d’une profondeur de 19,60 m. L’altitude en surface avoisine les 305 m.