Les eaux de cette source ferrugineuse et carbo-gazeuse sont issues de la Fagne de Malchamps. Les rotondes vitrées dont une abrite la source datent de 1884.
La source est mentionnée pour la première fois. On la dénommait alors la Source de la Frayneuse.
La source qui n’est jusqu’alors que peu connue acquiert une popularité telle que l’on y construit des bains plus importants.
Une seconde source est découverte. Elle sert à alimenter la piscine de l’établissement des Bains.
Plusieurs bassins parfois couverts sont aménagés. Ils alimentent un réservoir pour les curistes.
Une des deux sources disparaît à cause du forage de la Source Marie-Henriette.
De nouveaux bâtiments sont conçus par les architectes L.-J. Devivier et W. Hansen.
Les nouveaux bâtiments sont achevés.
La voirie est réaménagée aux abords du site.
Cette imposante cascade artificielle, surmontée d’une balustrade ornée de dauphins et d’angelots, fut construite en 1862.
La croyance populaire voulait que cette fontaine ait des propriétés thérapeutiques oculaires.
Cette fontaine est attenante à la Chapelle Notre-Dame de l’Epine, construite par Emile Deblon, fermier du village.
Cet ancien puits a été restauré en 1980. Il est placé dans un grand enclos à plan incliné, avec bacs et abreuvoirs qui servaient aux lavandières et au bétail. Un sotê, témoin de la Fête des Vieux Métiers, veille sur la fontaine depuis 2001.
Il s’agit d’un ancien ensemble constitué d’une fontaine, d’un abreuvoir et d’un bac pour lavandières.
Elle captait une abondante eau de très bonne qualité.
Cette source est située à quelques mètres de la source de la Sauvenière. Les propriétés de ses eaux sont légèrement différentes de celles de cette dernière.
Cette source minérale ferrugineuse carbogazeuse froide est située à 410 m d’altitude.
Ce pouhon situé à 444 m, dont l’eau ferrugineuse a un goût acide avec une odeur de souffre. Il est cité pour la première fois en 1559.
Ce pouhon, élevé à la fin du 19è, est composé de métal et de verre.
La pyramide en verre a été ajoutée en 1988 par l’architecte spadois Marcel Geenen.
Cette source est également appelée Source duc de Wellington et rend hommage à Arthur Wellesley duc de Wellington qui séjourna à Spa en 1818, soit 3 ans après sa victoire à la bataille de Waterloo.
Cette source minérale ferrugineuse carbogazeuse froide est mentionnée pour la première fois sous le nom de "Barisair" en 1438. Des bassins furent très tôt adjoints à la source.
Cette source est ainsi nommé en hommage à la seconde reine des Belges, Marie-Henriette de Habsbourg-Lorraine. Le pavillon a été construit en 1922 et inauguré en 1933 par la reine Élisabeth.
Cette source produit une eau ferrugineuse d’excellente qualité provenant de 23 griffons captés par un puits artésien d’une profondeur de 19,60 m. L’altitude en surface avoisine les 305 m.
Une table de pique-nique le long du Ravel.
Hôtel, feu de bois avec vue sur le Lac de Warfaaz et la colline de Balmoral.