Bienvenue au Chemin de Traverse, votre raccourci personnel et privilégié vers un séjour inoubliable en famille ou entre amis, au cœur de l’Ardenne belge à Desnié, sur la commune de Theux en Belgique.
Nichée au sein d’un petit hameau paisible, cette maison du 19e siècle compte pas moins de 8 chambres et 6 salles de bains, pour accueillir des groupes jusqu’à 22 personnes.
En outre, ses grands espaces de vie au rez-de-chaussée permettent de passer d’excellents moments tout au long de l’année, de même que son jardin et sa terrasse à l’ombre de la vigne…
Cet arbre commémore la victoire de 1918 dans le site classé du calvaire de Desnié et a été planté par les écoliers de Desnié en 1919.
Une plaque commémorative rappelle le geste des écoliers.
Cascade formée par un ru provenant de Desnié et se jetant dans la Ru du Fond de Creppe, dans la vallée de Tolifaz.
Poneys et chevaux de manège, élevage sur 15 hectares de prairies ardennaises : chevaux de sport, demi-sang belges.
Leçons et promenades pour tous niveaux.
Elle fut construite suite au voeu formulé par le curé de Desnié lors de sa messe du 18 décembre 1944.
Cette chapelle classée appartenait probablement à l’ancien domaine de Hautregard (1671).
Charme dont les troncs enchevêtrés forment un oeil.
Ce château de style Tudor néo-médiéval comporte des murs à créneaux et mâchicoulis postiches.
Ce château de style Louis XV est flanqué d’une tour comparable à un clocher à bulbe.
Cette croix en calcaire a été érigée en 1819, rappelant le décès à cet endroit de la femme du châtelain du Haut Marais, à la suite d’une chute de cheval.
Cette croix évoque la mort de 4 habitants décédés en 1675. Les 4 victimes mentionnées pourraient être un épisode tragique de cette petite guerre pour l’utilisation de la forêt qui servait aussi de vaine pâture.
Ce repère était déjà présent avant 1848 pour délimiter la paroisse de Desnié.
Dans le cimetière juxtaposé se trouve le tombeau de la famille de Gustave Trasenster, grand dirigeant de la métallurgie d’Ougrée-Marihaye, reproduction à l’identique de l’admirable pavillon de la reine Jeanne, découvert aux Baux de Provence.
Cette église datant de 1859 a été construite sur les plans de l’architecte provincial Delsaux. Elle comporte une seule nef voûtée en croisées d’ogives surbaissées appuyées sur des culs-de-lampe à motif sculpté.
Cette église a été bâtie en 1860 à la place d’une ancienne chapelle totalement détruite lors d’un grand incendie dans le village, qui a eu lieu en 1857.
Cette éolienne de 300 Kw a été placée en 2005 par André Noirhomme.
Cet ensemble de constructions en moellons de grès et calcaire date des 18è et 19è siècles.
Cette gentilhommière fut construite à partir de 1908.
Lébioles est le Ciergnon spadois par la magie de son site boisé et sa solitude. Il a reçu des gens éminents de la littérature française et belge.
Ce monument est dédié aux combattants de l’armée secrète, qui a effectué de nombreuses opérations de résistance à Bronromme entre 1943 et 1944.
Tombeau de la famille de Gustave Trasenster, grand dirigeant de la métallurgie d’Ougrée-Marihaye, reproduction à l’identique de l’admirable pavillon de la reine Jeanne.
Lieu de repos et de pique nique après la montée du Ninglinspo ou de la balade sur la Porallée.
Les deux frères Pinson confectionnent des mannes et des "bodets" pour les fabriques de laine de Verviers. (Le bodet vaut le double d’une banse).
Ce rocher situé à la rencontre du Ruisseau du Fond de Creppe avec le Ruisseau de l’Eau Rouge est constitué de schiste.