Hôtel situé au bord du Lac de Warfaaz.
Cette maison remarquable a été construite en 1905.
Il s’agit du puits d’une ancienne galerie d’exploitation d’ardoises.
Elle fut ouverte par la Société forestière du Gospinal en 1863.
Cette cascatelle a été inaugurée en 1899 par la Reine Marie-Henriette et Léopold II.
Elle est située à un peu plus loin en aval de son pendant : la Cascade Léopold II, inaugurée au même moment.
Cette chapelle en colombages munie d’un clocheton a été érigée en 1993 par un fermier local : Emile Deblon.
Elle est un refuge pour les promeneurs. Elle possède un triptyque dans son arcade en pierre abritant 3 icônes.
Ce château de style anglo-normand datant de 1912 a été conçu par l’architecte Charles Castermans et par l’entrepreneur Viatour au sommet du terrain abrupt d’une dizaine d’hectares surplombant le Lac de Warfaaz.
Ce château est relié au château-ferme de Sart par une allée rectiligne.
Cette demeure en briques et calcaire devant laquelle s’étend un jardinet date de la seconde moitié du 18è siècle. Elle a été agrandie en 1880 vers l’arrière. On y a adjoint une annexe et une tour.
Ce château qui date de 1908 est actuellement occupé par le CERAN (un centre de formations linguistiques).
Une croix de chemin en bois verni.
Une croix en bois peinte en blanc.
Cette église de style pré-roman carolingien en moellons de grès a été construite de 1952 à 1954 sur les plans de R. Vanhoutte, un architecte gantois.
Cette église en moellons de grès est harpée de calcaire aux angles.
Elle date de 1842, sous l’égide de l’architecte Heinen, en remplacement d’une chapelle devenue trop petite.
Cette église datant du 12è ou du 13è siècle a vu sa tour et son clocher classés le 2 septembre 1988.
Les murs sont en moellons de grès et calcaire (1847).
Cet édifice mononef de style néo-gothique a été construit en 1934-1935 sur les plans de l’architecte spadois Paës.
Cette maison remarquable du centre du village est à l’origine d’une légende locale.
Château du 16è, avec cour intérieure, situé au centre d’une propriété de 50 ha.
Cette fontaine est attenante à la Chapelle Notre-Dame de l’Epine, construite par Emile Deblon, fermier du village.
Cet ancien puits a été restauré en 1980. Il est placé dans un grand enclos à plan incliné, avec bacs et abreuvoirs qui servaient aux lavandières et au bétail. Un sotê, témoin de la Fête des Vieux Métiers, veille sur la fontaine depuis 2001.
Il s’agit d’un ancien ensemble constitué d’une fontaine, d’un abreuvoir et d’un bac pour lavandières.
Elle captait une abondante eau de très bonne qualité.
Cette grotte a été érigée par les habitants en reconnaissance de la protection de la Sainte Vierge durant la dernière guerre malgré deux enfants de la paroisse morts en captivité en Allemagne.
Ce gué traversable avec un véhicule à moteur, grâce à son assise empierrée, est très fréquenté car il permet le passage du hameau de Belleheid (ravitaillements, logement...) vers un vaste parking en rive droite de la Hoëgne.
Il s’agit d’un imposant immeuble bourgeois du 18è siècle en briques rouges.
A l’intérieur subsistent des colombages et des caves voûtées.
Fermette en pierres (début 19è).
Elle a abrité clandestinement le Prince Charles de Belgique, recherché par les Allemands, frère du Roi Léopold III, sous le pseudonyme de Monsieur Richard, de juin à
Cette maison classée date de 1616. A cette époque, la place comportait plusieurs maisons de style gothique. Sur la place avait lieu un marché tous les samedis et deux foires l’année.
Une élégante maison en briques datant du 19è siècle. Actuel Office du Tourisme.
La balance communale sur le pignon est avec laquelle était pesé le bétail autrefois (placé en 1980 dans le cadre de la Fête des Vieux Métiers).
Ce moulin situé le long de la Hoëgne fut construit en 1850 à l’emplacement d’un moulin à vent datant de 1476.
Il fut reconstruit suite à un incendie en 1908.
Cette passerelle pédestre est située juste à côté du Gué de Belleheid et permet le passage au parking les pieds au sec.
Très fréquenté à la bonne saison, grâce à ses commerces de ravitaillement.
Cette passerelle en bois sur la Hoëgne permet un changement de rive.
La première passerelle en bois sur la Hoëgne en aval du Gué de Belleheid, en direction de l’ancien moulin Thorez.
Pavillon de chasse et reposoir.
Ce perron a été édifié en 1458. Il est le symbole des libertés et franchises communales.
La pomme de pin surmontant sa colonne de pierre évoque la cohésion du peuple et son indépendance.
Une table de pique-nique située en retrait de la route Tiège-Royompré-Surister.
Une passerelle en bois située entre Parfondbois et Moulin Thorez, au niveau de l’ancienne zone d’exploitation de la tourbe de Solwaster.
Cette passerelle en bois enjambant la Hoëgne se situe juste en contrebas du puits de l’ancienne ardoisière Lu Hayîre, pour simplement changer de rive.
La dernière passerelle en bois sur la Hoëgne en amont de Belleheid.
Une passerelle en bois sur la Hoëgne, un peu en amont de sa confluence avec le Ruisseau de Chevrèsse.
Cette potale est intégrée dans un muret en grès, surmonté d’une croix en fer forgé.
Une taverne rustique et décontractée située le long de la Hoëgne, près du Gué de Belleheid.
Après avoir traversé le hameau "Le Wayai", ce ruisseau se jette dans le ruisseau de Wayai.
Affluent de la Hoëgne.
Ici, de la tourbe, aux bienfaits thérapeutiques dûs à son pH très bas, était extraite par la société fermière Spa Monopole, pour les besoin des cures des Thermes de Spa.