Cette maison constitue le seul exemple malmédien de l’architecture patricienne du premier quart du 18è siècle. Il s’agit d’une construction en briques enduites et pierres pour les soubassements.
Les baies des fenêtres sont liaisonnées avec déharpements, celles des portes sont en plein cintre, inscrites dans le rectangle.
L’imposante toiture d’ardoise, à croupets en dessous d’un niveau à la Mansart.
La Correspondance des façades antérieure et postérieure avec enrichissements, côté rue (fronton et consoles à l’entrée, bardeaux d’appui en cordon unissent les cinq travées de chaque étage, lucarnes richement ornées au premier étage de la toiture).
Date inscrite sur le fronton de la porte d’entrée : 1724
Plusieurs auteurs affirment sans citer leurs sources que sa campagne de construction se situe entre 1714 et 1724.
La maison est édifiée à l’initiative de Quirin Joseph Dester par l’architecte : Laurenz Mefferdatis d’Aix-la-Chapelle. Conseiller du Prince-Abbé, Quirin Joseph Dester la vend à Hubert Cavens, ancien Bourgmestre.
La fille de Quirin Joseph Dester, Anne-Elisabeth se marie avec Nicolas Mostert d’Eupen et reçoit la maison en cadeau de noces. Par la suite, elle appartient aux époux Villers-Mostert puis à mademoiselle Simone Villers.
La maison est miraculeusement épargnée des bombes lors de l’offensive.
L’habitation devient la propriété de l’ Administration Communale de Malmedy.
Cet édifice a été construit en 1901 grâce à un don de Jules Steinbach, un puissant industriel papetier.
Cet important bâtiment néo-classique a été construit de 1912 à 1914 (époque prussienne) sur les plans de l’architecte allemand Schultze. Il est le siège actuel du Ministère des Finances.
Cet ancien monastère fondé en 1708 abrite notamment les bureaux de l’Office communal du Tourisme depuis 1985.
Monastère fondé en 1950 où l’on vit selon les règles de Saint-Benoît.
Elle comporte depuis 1968 un atelier de fabrication de peintures et produits pour la protection des arbres (société SEMA VINYL).
Ce bâtiment en pierre et taille de France a été construit en 1901 à la demande de Jules Steinbach en l’honneur de sa fille Juliette. Il est orné de bas-reliefs. Il abrite la justice de paix et certains services communaux.
Cette ancienne église abbatiale est de style Louis XVI. La façade est dominée par deux tours. Le carillon de 35 cloches a été fondu par le malmédien Martin Legros en 1786.
Dans cette chapelle classée, on y trouve une chaire de vérité (fin 17è), 2 confessionnaux (fin 17è) ainsi qu’une Vierge à l’enfant, sculpture de l’école de Jean Delcour.
Cette chapelle du 18è siècle a été restaurée et transformée en funérarium.
D’architecture d’aspect un peu sévère, elle est à rapprocher de celle de la cathédrale.
Ce crucifix se situe sur le chemin de croix du Père Albert de Dinant, prédicateur à Malmedy et auteur du choix des stations.
Le socle ancien de cette croix fait corps avec des murets modernes, le tout rappelle un autel.
Ce grand crucifix indique l’emplacement de l’autel de l’ancienne église Saint-Géréon et ce, conformément à la décision de la congrégation des Rites du 27 septembre 1600.
Il s’agit d’un des derniers témoins des fortifications de 1601.
Elle se compose d’une ancienne porte de la ville et d’une tour forte.
Cet édifice a été construit en 1901 grâce à un don de Jules Steinbach, un puissant industriel papetier.
Cette bâtisse à la façade décor néo-classique enduite, classée en 1973, abrite le musée du papier.
Ce musée est situé dans un bâtiment datant du 19è siècle. Il concerne la vie populaire et le folklore.
On y trouve aussi une collection des masques du Cwarmé, des documents d’archives et des photographies.
Cet ancien monastère fondé en 1708 abrite notamment les bureaux de l’Office communal du Tourisme depuis 1985.
Buste en bronze dédié à la mémoire de l’ Abbé Peters, abbé à Comblain-au-Pont, résistant pendant la seconde guerre mondiale.
Il combat la propagande de la "Hitler jugend".
Il aide plusieurs jeunes d
Ce monument érigé en 1781 était le symbole de l’autorité du prince.
Une vaste plaine de jeux avec de nombreux modules au sein du parc des tanneries en plein cœur de la ville.
Ce bâtiment en pierre et taille de France a été construit en 1901 à la demande de Jules Steinbach en l’honneur de sa fille Juliette. Il est orné de bas-reliefs. Il abrite la justice de paix et certains services communaux.