Cet ancien monastère fondé en 1708 abrite notamment les bureaux de l’Office communal du Tourisme depuis 1985.
Devant le monastère, trois monuments ont été érigés à la mémoire des militaires victimes des deux guerres mondiales.
Dans le jardinet jouxtant l’ancien presbytère, se détache sur un tronc le médaillon du paysagiste Jean Nicolas Ponsart, ami de Madou.
Cet édifice a été construit en 1901 grâce à un don de Jules Steinbach, un puissant industriel papetier.
Cet important bâtiment néo-classique a été construit de 1912 à 1914 (époque prussienne) sur les plans de l’architecte allemand Schultze. Il est le siège actuel du Ministère des Finances.
Cette maison constitue le seul exemple malmédien de l’architecture patricienne du premier quart du 18è siècle. Il s’agit d’une construction en briques enduites et pierres pour les soubassements.
Monastère fondé en 1950 où l’on vit selon les règles de Saint-Benoît.
Elle comporte depuis 1968 un atelier de fabrication de peintures et produits pour la protection des arbres (société SEMA VINYL).
Ce bâtiment en pierre et taille de France a été construit en 1901 à la demande de Jules Steinbach en l’honneur de sa fille Juliette. Il est orné de bas-reliefs. Il abrite la justice de paix et certains services communaux.
Ce calvaire fut érigé par le capucin Albert de Dinant en 1728.
Cette ancienne église abbatiale est de style Louis XVI. La façade est dominée par deux tours. Le carillon de 35 cloches a été fondu par le malmédien Martin Legros en 1786.
Cette chapelle du 18è siècle a été restaurée et transformée en funérarium.
D’architecture d’aspect un peu sévère, elle est à rapprocher de celle de la cathédrale.
Ce crucifix se situe sur le chemin de croix du Père Albert de Dinant, prédicateur à Malmedy et auteur du choix des stations.
Ce grand crucifix indique l’emplacement de l’autel de l’ancienne église Saint-Géréon et ce, conformément à la décision de la congrégation des Rites du 27 septembre 1600.
Il s’agit d’un des derniers témoins des fortifications de 1601.
Elle se compose d’une ancienne porte de la ville et d’une tour forte.
Cet édifice a été construit en 1901 grâce à un don de Jules Steinbach, un puissant industriel papetier.
Cette bâtisse à la façade décor néo-classique enduite, classée en 1973, abrite le musée du papier.
Cette maison constitue le seul exemple malmédien de l’architecture patricienne du premier quart du 18è siècle. Il s’agit d’une construction en briques enduites et pierres pour les soubassements.
Ce musée est situé dans un bâtiment datant du 19è siècle. Il concerne la vie populaire et le folklore.
On y trouve aussi une collection des masques du Cwarmé, des documents d’archives et des photographies.
Ce monument érigé en 1781 était le symbole de l’autorité du prince.
Pont composé de 5 arches en calcaire et grès arkose (18è).
Ce bâtiment en pierre et taille de France a été construit en 1901 à la demande de Jules Steinbach en l’honneur de sa fille Juliette. Il est orné de bas-reliefs. Il abrite la justice de paix et certains services communaux.