Devant le Grand Curtius, deux canons rappellent que Liège a eu sa fonderie de canons. On y fondait aussi des boulets.
Le 21 septembre 1807, la princesse Pauline, soeur de l’empereur Napoléon, se rend à Chaudfontaine pour y prendre les eaux. A cette occasion, le préfet donne mission à la fonderie de canons de fondre des boulets spéciaux pour les bains de la princesse.
Les boulets sont rougis au feu puis, à l’aide d’une pince plongés dans l’eau du bain. Ils sont ensuite retirés pour que la princesse puisse jouir de son bain à la température qui lui convient.
Cette haute obélisque qui domine le sommet de la Montagne de Bueren a été érigée en l’honneur du 14è Régiment de ligne de l’armée belge qui a combattu lors de la première guerre mondiale.
Ce monument est dédié à 1250 enfants de Liège tombés au champ d’honneur durant les deux guerres mondiales.
Cette stèle, avec un bas-relief de la Vierge Marie, dédiée aux victimes liégeoises de la première guerre mondiale, comporte 11 noms auxquels sont venus s’ajouter de part et d’autre 8 noms de militaires et de résistants de la seconde.
Cette statue équestre de Charlemagne a été sculptée par Luc Jehotte et inaugurée en 1868. Le grand empereur tend le bras et les Liégeois lui font dire "Ploû-t-i?" (Pleut-il ?). Dans le piédestal, on peut voir la représentation de ses ancêtres.
Statue montrant un homme pensif : Charles Rogier, artisan de la Révolution de 1830, réconforté par une muse fort bien en chair et heureusement dédaignée par un lion tout pensif lui aussi.
Deuxième port fluvial européen pour le tonnage (en 2004 : plus de 22 millions de tonnes manutentionnées), derrière le port rhénan de Duisbourg (Allemagne) et devant le Port autonome de Paris.