Cette stèle, avec un bas-relief de la Vierge Marie, dédiée aux victimes liégeoises de la première guerre mondiale, comporte 11 noms auxquels sont venus s’ajouter de part et d’autre 8 noms de militaires et de résistants de la seconde.
Devant le Grand Curtius, deux canons rappellent que Liège a eu sa fonderie de canons. On y fondait aussi des boulets.
Cette haute obélisque qui domine le sommet de la Montagne de Bueren a été érigée en l’honneur du 14è Régiment de ligne de l’armée belge qui a combattu lors de la première guerre mondiale.
Ce monument est dédié à 1250 enfants de Liège tombés au champ d’honneur durant les deux guerres mondiales.
Cette statue équestre de Charlemagne a été sculptée par Luc Jehotte et inaugurée en 1868. Le grand empereur tend le bras et les Liégeois lui font dire "Ploû-t-i?" (Pleut-il ?). Dans le piédestal, on peut voir la représentation de ses ancêtres.
Statue montrant un homme pensif : Charles Rogier, artisan de la Révolution de 1830, réconforté par une muse fort bien en chair et heureusement dédaignée par un lion tout pensif lui aussi.
Ce site champêtre situé partiellement dans le centre historique de Liège compte plus de 60 monuments classés au patrimoine matériel de la Région wallonne. Il comporte 13 km de promenades balisées.
Cette ferme a été construite dans la seconde moitié du 16è siècle. Il appartient actuellement au CPAS de Liège.
Cette haute obélisque qui domine le sommet de la Montagne de Bueren a été érigée en l’honneur du 14è Régiment de ligne de l’armée belge qui a combattu lors de la première guerre mondiale.
Ce musée créé en 1913 possède une des plus riches collections concernant les wallons, du 19è siècle à nos jours. Un théâtre de marionnettes avec des personnages du répertoire traditionnel liégeois : Tchantchès, Nanèsse, Roland, etc.
Ce musée ouvert en 2012 présente des appareils d’éclairage utilisés dans le monde depuis la préhistoire jusqu’à nos jours. Porté par Philippe Deitz en faveur de la Ville, il collectionne les luminaires anciens depuis l’âge de 15 ans.
Ce palais prestigieux comporte 2 cours intérieures, dont une, accessible aux visiteurs, est entourée de galeries reposant sur des colonnes décorées de manière particulière.
Il s’agit d’un bâtiment de style néogothique qui témoigne de l’histoire liégeoise.
Construit de 1849 à 1853, cette aile est le siège du gouvernement provincial.
Une table de pique-nique au bas de la Rue Pierreuse.
Cet espace vert situé derrière le palais des pinces-évêques font partie de l’ensemble des Coteaux de la Citadelle. "Minimes" provient du nom du couvent en ruines présent à cet endroit.