Statue montrant un homme pensif : Charles Rogier, artisan de la Révolution de 1830, réconforté par une muse fort bien en chair et heureusement dédaignée par un lion tout pensif lui aussi.
Dans l’hôtel de ville de Liège, un grand tableau évoque cette aventure où l’on voit les Liégeois suivant Charles Rogier, qui brandit un drapeau sur lequel on peut lire "Mourir pour Bruxelles". Ce slogan laisse fort dubitatifs les Liégeois d’aujourd’hui.
Charles Rogier emmène à Bruxelles des Liégeois. Ils mènent une action déterminante pour chasser les Hollandais hors du territoire et proclamer l’indépendance de la Belgique.
Devant le Grand Curtius, deux canons rappellent que Liège a eu sa fonderie de canons. On y fondait aussi des boulets.
Cette haute obélisque qui domine le sommet de la Montagne de Bueren a été érigée en l’honneur du 14è Régiment de ligne de l’armée belge qui a combattu lors de la première guerre mondiale.
Ce monument est dédié à 1250 enfants de Liège tombés au champ d’honneur durant les deux guerres mondiales.
Cette stèle, avec un bas-relief de la Vierge Marie, dédiée aux victimes liégeoises de la première guerre mondiale, comporte 11 noms auxquels sont venus s’ajouter de part et d’autre 8 noms de militaires et de résistants de la seconde.
Cette statue équestre de Charlemagne a été sculptée par Luc Jehotte et inaugurée en 1868. Le grand empereur tend le bras et les Liégeois lui font dire "Ploû-t-i?" (Pleut-il ?). Dans le piédestal, on peut voir la représentation de ses ancêtres.
Ce bâtiment restauré englobe la cour historique d’un l’ancien couvent. Sa capacité est de plus de 200 lits.
Cette ancienne collégiale d’origine romane datant du 10è siècle. Il a été ravagé par un incendie en 1312.
Devant le Grand Curtius, deux canons rappellent que Liège a eu sa fonderie de canons. On y fondait aussi des boulets.
Cathédrale datant du 10è siècle fondée par l’évêque Eracle.
L’église gothique date du 13è.
A l’intérieur, une triple nef est bordée de chapelles, sur lesquelles est aligné le transept.
Les voûtes
Cette chapelle est adossée à une ferme datant du 14è siècle.
La collégiale est dûe à Notger.
Elle faisait partie du système défensif de Liége, comme en témoigne la tour massive qui était une tour de guet.
A la fois romane, gothique et rococo, elle a gardé d
Cette Collégiale est connue pour être la préférée de Notger.
On dit que Notger y a été inhumé mais mais on n’a jamais retrouvé son tombeau.
Au 10ème siècle, la Collégiale est fondée sur le modèle
La Collégiale fondée par l’évêque Notger (en 979) est, aujourd’hui, considérée comme un chef-d’oeuvre en péril.
Ce site champêtre situé partiellement dans le centre historique de Liège compte plus de 60 monuments classés au patrimoine matériel de la Région wallonne. Il comporte 13 km de promenades balisées.
Cette église est caractérisée par son dôme vert et son caractère imposant.
Elle a été bâtie en 1936.
Il s’agit d’une ancienne collégiale de style ottoman édifiée, en grès houiller, entre la fin du 11ème et la fin du 12ème siècle.
Son intérieur est décoré en style baroque français.
La cuve, décor
Eglise de style gothique flamboyant avec massif occidental en roman mosan.
Cette église de style néo-classique en briques à cinq travées est harpée de calcaire aux angles.
Le verger de hautes tiges et le terrain boisé faisant partie du quartier de Pierreuse sont classés au Patrimoine de la Région wallonne depuis le 12 avril 1999.
Cette ferme a été construite dans la seconde moitié du 16è siècle. Il appartient actuellement au CPAS de Liège.