Ce tronçon de 4 km du lit de l’Amblève est parsemé de gros blocs de quartzite.
Ces blocs proviennent selon la légende d’un moulin démoli par le diable, consterné d’avoir perdu l’âme du meunier suite à la ruse de l’épouse de ce dernier.
Un amas de roches qui sépare le Ninglinspo en deux.
Ce rocher situé à 280 m d’altitude a une hauteur d’environ 15 m. C’est un vestige du premier rivage marin formé de quartzites et des schistes.
Ce rocher domine une grande boucle formée par l’Amblève au lieu-dit Le Val du Promontoire.
Ce bassin poli naturellement par la rivière est situé à une altitude de 340 m.
Ce bassin, situé à une altitude de 287 m, a été poli naturellement par l’érosion de la rivière.
Ce bassin a été poli naturellement par l’érosion de la rivière.
Ce bassin, situé à une altitude de 220 m, a été poli naturellement par l’érosion de la rivière.
Ce bassin, situé à une altitude de 310 m, a été poli naturellement par l’érosion de la rivière.
Ce bassin a été poli naturellement par l’érosion de la rivière.
Point de vue sur la vallée de l'Amblève.
Cette petite cascade se situe juste avant la confluence du ruisseau la Chaudière, en provenance de la Porallée côté Jehôster, avec le Ninglinspo.
Une petite cascade d’une hauteur de un mètre sur le Ruisseau du Hornay, 400 m avant sa confluence avec le Ruisseau des Blanches Pierres, qui vont à eux deux former ensuite le Ninglinspo.
Cette chapelle classée appartenait probablement à l’ancien domaine de Hautregard (1671).
Charme dont les troncs enchevêtrés forment un oeil.
Cette charmille exceptionnelle, la plus longue de Belgique (573 m) et parmi les plus grandes d’Europe est composée de 4700 plants de charmes, dont 60 à 70 % sont centenaires.
Ce château de style Louis XV est flanqué d’une tour comparable à un clocher à bulbe.
Cette croix en calcaire a été érigée en 1819, rappelant le décès à cet endroit de la femme du châtelain du Haut Marais, à la suite d’une chute de cheval.
Cette croix évoque la mort de 4 habitants décédés en 1675. Les 4 victimes mentionnées pourraient être un épisode tragique de cette petite guerre pour l’utilisation de la forêt qui servait aussi de vaine pâture.
Remplaçant la chapelle de 1789, devenue indépendante en 1838, édifice en grès brun et calcaire de 1907.
Cet ancien four date du 18è siècle. Il a été restauré dans les années 1970.
Un vaste amas de pierres sur le Ninglinspo.
Un amas de roches qui sépare le Ninglinspo en deux.
Une grande roche plate dans le Ninglinspo.
Cet ensemble de constructions en moellons de grès et calcaire date des 18è et 19è siècles.
A ce moulin est lié une légende locale : la légende du moulin du diable.
Les rochers présents à cet endroit en attesteraient encore sa trace !
Anciennement appelé Ruisseau d’Oneux ou Ruisseau de Hornay, il s’agit du seul torrent de Belgique, coulant dans une vallée reconnue comme un véritable écrin de nature : Le vallon des Chaudières.
Un petit tourbillon formé par un rapide du Ninglinspo.
Lieu de repos et de pique nique après la montée du Ninglinspo ou de la balade sur la Porallée.
Une vue spectaculaire sur la vallée du Ninglinspo et les roches Crahay.
Ce rocher situé à 280 m d’altitude a une hauteur d’environ 15 m. C’est un vestige du premier rivage marin formé de quartzites et des schistes.
Ce rocher domine une grande boucle formée par l’Amblève au lieu-dit Le Val du Promontoire.
Tilleul dont la ramure composée de 5 grosses branches forme un vase. Le tronc de l'arbre est complètement creux depuis 1911.
Ce viaduc permet à l’autoroute E25 de franchir la Vallée de l’Amblève.
Il fut construit en 1980 par l’ingénieur René Greisch, par la collaboration des Ateliers de Construction Braine-le-Conte , Compa