Ce calvaire du 18è siècle a vraisemblablement été érigé par Etienne Danloup et Odile Genin, la fille du meunier de Radru, en remerciement d’une grâce accomplie : l’arrivée d’un enfant. C’étaient des tenanciers de cabaret au village.
Jusque dans les années soixante, le calvaire a accueilli la bénédiction des buis lors des jours des rameaux.
Le calvaire restauré et la croix changée.
Le calvaire se voit entouré d’un enclos avec un jardin planté de rosiers et d’arbustes.
Il est béni par le doyen de Virton.
Il est endommagé par les bombardements de la ligne Maginot.
Ce calvaire élevé en 1832 à l’initiative de Jean-Baptiste Lhommel, a servi plus tard de sépulture à deux artilleurs francais, tués entre Couvreux et Montquintin durant la 1è guerre mondiale. La croix de bois a été remplacée en 1978.
Il s’agit d’un sanctuaire précédé de quelques marches, dans lequel se trouve une étonnante croix en fer forgé aux lignes assez modernes, sur un socle maçonné en pierres.
Croix érigée en mémoire à la mission prêchée en 1935.
Ces manifestations et processions étaient destinées à attirer les fidèles par leur côté grandiose.
Cette croix fut érigée en 1746 sous deux tilleuls remarquables, en mémoire de F. Demasep.
Première croix menant à l’ermitage, elle était déjà mentionnée sur la carte Ferraris datant de 1771.
Cette croix millésimée à la fin du 16è ainsi qu’en 1777, est située à une altitude de 333 m.
Elle est située sur une ancienne voie qui reliait Mongwy à Montmédy.
Une petite croix en bois posée sur un socle en béton, proche de la Chapelle du Bonlieu.
Cette croix est située au croisement de la N87 Virton - Etalle et de la N879 Marbehan - Tintigny - Ethe - Ruette.
Une aire de barbecue en pleine forêt, dans la vallée du Radru, entre Torgny et Lamorteau.
Le culte à Notre-Dame de Luxembourg remonte à 1636, date de l’épidémie de la grande peste, où les 2/3 du village succombèrent à la maladie.
Cette chapelle a été construite en 1636, à la suite d’une grave épidémie de peste. La promesse est faite d’y faire chaque année une procession.
Elle est dédiée à Notre-Dame de Luxembourg, consolatrice des affligés.
Cet ancien château fort féodal en trapèze, avec 3 autres tours circulaires, parti d’une simple tour de défense, s’est développé à partir de 1255, à l’initiative de Raoul de Latour, fils cadet du seigneur de Latour, du comté de Chiny.
Croix érigée en mémoire à la mission prêchée en 1935.
Ces manifestations et processions étaient destinées à attirer les fidèles par leur côté grandiose.
Cette croix fut érigée en 1746 sous deux tilleuls remarquables, en mémoire de F. Demasep.
Première croix menant à l’ermitage, elle était déjà mentionnée sur la carte Ferraris datant de 1771.
Cette croix millésimée à la fin du 16è ainsi qu’en 1777, est située à une altitude de 333 m.
Elle est située sur une ancienne voie qui reliait Mongwy à Montmédy.
Cette église, construite en 1860, a permis aux paroissiens d’éviter de se rendre à la messe à Rouvroy, le lieu étant souvent inondé.
Cette église romane date du 10è siècle. Ses principales caractéristiques sont sa tour sans clocher orientée vers le village et un cimetière avec point de vue sur la campagne gaumaise.
Cette construction particulière s’est faite sous l’égide de Dominique Schmit, un pieux laïc qui l’a construite pour compenser un sentiment de culpabilité.
Cet ancien lavoir est composé d’une charpente en bois datant de 1901.
Il a été classé le 29 avril 1982.
Habitée autrefois par la famille de Franque, on raconte que cette maison aurait dû accueillir le roi de France Louis XVI lors de sa fuite après la Révolution française, mais avant, celui-ci fut arrêté le 20 juin 1791 à Varennes-en-Argonne.
Cet ancien moulin sur le Radru, long de 9 km, est devenu un gîte touristique.
Cette ferme tricellulaire (corps de logis, grange, étable) en grès calcaire et chaulée, est liée à l’ancien château féodal. Elle se caractérise par son toit en pente légère recouvert de tuiles "canal" à la romaine.
Cette aire de pique-nique comportant plusieurs tables est située juste à l’entrée de la réserve naturelle Raymond Mayné.
Une table de pique-nique proche de l’intersection de la Rue du Château-Fort et du chemin vicinal vers Couvreux, à l’abri de la circulation, dans le chemin en question.
Cette réserve naturelle d’une superficie de 6 ha porte le nom du passionné qui découvrit la première cigale. Son exposition au sud a permis le maintien d’une flore et d’une faune à caractère méditerranéen.
Ce vignoble est cultivé sur un sol calcaire granuleux et orienté au sud en profitant d’un microclimat chaud et sec.