Cette borne entaillée au burin à sa base supérieure marquait autrefois une légère déviation vers la droite de la ligne frontalière. Elle est située à 1030 m de la borne 99 (Poteau) et à 150 m de la Croix du Français.
Une borne bien conservée à l’entrée de la sapinière, légèrement décalée par rapport à l’ancienne frontière Prusse-Belgique.
Cette ancienne borne-frontière assez camouflée dans une sapinière marécageuse, dense et non éclaircie se trouve à 650 m de la précédente.
Cette ancienne borne-frontière a été fracturée en 3 morceaux lors d’un abattage de sapin. Elle se situe à 530 m de la précédente. Elle est située dans une sapinière appartenant à la commune de Vielsalm plantée en 1943.
Cette borne est située sur la crête du bois à une altitude de 596 m, à 210 m de la précédente.
Cette borne est caractérisée par une entaille au burin sur sa base supérieure, comme pour la borne n°100. Sa signification reste obscure.
Ces bornes-frontières belgo-prussiennes marquent l’ancienne ligne frontière établie suite aux décisions du congrès de Vienne en 1815.
Ces bornes-frontières belgo-prussiennes marquent l’ancienne ligne frontière établie suite aux décisions du congrès de Vienne en 1815.
Il s’agit d’une borne historique séparant les dépendances des fermes de Neundorf (St-Vith) et d’Amblève. On ignore sa date d’implantation mais elle fut détruite en septembre 1944 puis reconstruite en mars 2012 par la commune de Saint-Vith.
Centre récératif familial.
Une borne bien conservée à l’entrée de la sapinière, légèrement décalée par rapport à l’ancienne frontière Prusse-Belgique.
Cette ancienne borne-frontière assez camouflée dans une sapinière marécageuse, dense et non éclaircie se trouve à 650 m de la précédente.
Cette ancienne borne-frontière a été fracturée en 3 morceaux lors d’un abattage de sapin. Elle se situe à 530 m de la précédente. Elle est située dans une sapinière appartenant à la commune de Vielsalm plantée en 1943.
Cette borne est située sur la crête du bois à une altitude de 596 m, à 210 m de la précédente.
Cette borne est caractérisée par une entaille au burin sur sa base supérieure, comme pour la borne n°100. Sa signification reste obscure.
Ces bornes-frontières belgo-prussiennes marquent l’ancienne ligne frontière établie suite aux décisions du congrès de Vienne en 1815.
Ces bornes-frontières belgo-prussiennes marquent l’ancienne ligne frontière établie suite aux décisions du congrès de Vienne en 1815.
Ces vastes implantations équestres s’étendant dans une clairière de 17 ha appartiennent à la Région wallonne.
Cette chapelle néo-gothique en briques, recouverte entièrement d’ardoises blanches date de 1876. Elle fait l’objet d’un pèlerinage les lundi de Pentecôte et d’un salut à la Vierge Marie le 15 août.
Cette chapelle fut construite en 1958.
Un chêne planté à la mémoire de Stéphane Danloy, garde forestier décédé en décembre 2018.
Un Christ sur croix de bois verni, fiché sur une dalle en pierre de taille posée sur un mur en moellons de grès.
Cette croix en bois verni surmontée d’une toiture à deux pans, est située au sommet du Col de Mont-le-Soie, à 556 m d’altitude.
Un Christ sur croix de bois.
Cette croix en fer forgé réparée, datant apparemment du 19è siècle, se situe au bord du chemin forestier qui quitte Petit Thier vers le Nord.
Cette croix en bois, peinte en jaune, a été érigée en souvenir de la mort d’un soldat français l’année de sa mort, en 1812. Elle est entretenue et renouvelée par la propriétaire de la parcelle boisée de sapins.
Cette petite croix de carrefour forestier du Chêneux est située à une altitude de 520 m.
Il s’agit d’une croix votive érigée par son épouse, à la mémoire de Jean-Joseph Rasquin (né en 1830), qui a disparu en exerçant son métier de colporteur de tissus.
Ce sanctuaire existe depuis 1704.
En 1958, l’église a été reconstruite en moellons et calcaire, par l’architecte R. Toussaint.
Cette table de pique-nique est située dans un recoin paisible du bois, près d’une ancienne borne-frontière qui séparait autrefois la Belgique et la Prusse.
La salle des fêtes de Petit-Thier