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Ce cours d’eau, affluent de l’Ourthe, prend sa source à Heppenbach (Bullange) à 600 m d’altitude.
L’ Amel va ensuite se grossir du Nesselbornbach, du Hellbach et du Heckbach.
Lorsque l’Amel va traverser le village de Amel, le ruisseau prend déjà des allures de petite rivière qui, après avoir circulé dans un paysage de prairies, va devoir creuser le massif ardennais pour pouvoir poursuivre son chemin.
Après avoir dépassé Montenau, l’Amel va se tourner vers le nord pendant quelques kilomètres avant de se diriger à l’ouest et déjà son altitude a baissé de 200 m.
Du territoire germanophone où elle a vu le jour, l’Amel va changer de nom en arrivant à Ligneuville.
On parlera alors de l’Amblève.
Après Bellevaux, elle va se gonfler des eaux de la Warche, un de ses principaux affluents.
C’est ensuite Stavelot, la ville des Blancs Moussîs qui reçoit l’Amblève qui poursuit son son petit bonhomme de chemin vers Trois-Ponts et l’apport d’une belle eau, celle de la Salm.
Elle arrive alors dans un village devenu touristique grâce à elle et la Cascade créée par l’homme. Nous sommes donc à Coo qui aujourd’hui compte de très nombreuses attractions qui drainent des touristes de plus en plus nombreux.
A Targnon, c’est la Lienne qui la rejoint, mariées elles traverseront ensuite la forêt d’où majestueuse et sauvage à la fois, l’Amblève va se faufiler entre de gros blocs de pierre.
Nous sommes aux Fonds de Quarreux, le pays des légendes souvent décrit par Marcelin Lagarde. C’est un endroit aussi bien recherché par les chasseurs...d’images que par les pêcheurs et bien entendu les touristes.
A Nonceveux, elle accueille par la rive droite le Ninglinspo, un ruisseau torrentueux qui fait du coin l’un des lieux les plus recherchés de la région.
C’est en sortant des grottes de Remouchamps que le Rubicon vient se jeter dans l’Amblève, un endroit particulièrement touristique encore et où l’on trouve d’ailleurs la Maison du Tourisme d’Ourthe-Amblève.
Elle traverse ensuite Sougné, où elle rencontre à nouveau de nombreux blocs de pierre, pour se diriger vers Aywaille, important centre touristique et commercial.
Encore une petite dizaine de kilomètres et c’est à Comblain-au-Pont qu’à son tour l’Amblève va gonfler la belle Ourthe qui la conduira jusqu’à la Meuse à Liège.
Cette fontaine au débit puissant et au nom enchanteur nécessite encore quelques aménagements pour la rendre digne de son appellation.
L’une des sources de la Helle.
Elle est restée anonyme jusqu’au 19è siècle.
Son nom provient du comte de Périgny, sous-préfet de Malmedy.
Cette source d’eau ferrugineuse carbogazeuse est utilisée comme eau de table depuis plusieurs siècles par les habitants des villages proches. Elle était déjà citée dans un document de 1552. Le bâtiment de captage a été restauré en 1990.
Cette source ferrugineuse est légèrement chargée en radon (un isotope naturel et légèrement radioactif du radium).
Cette petite fontaine en pierre de taille située à 400 m d’altitude a été placée en 1964.
On cite le nom de Pia pour la première fois en 1651.
Ce petit affluent de la Hoëgne récolte les ruisseaux du Taureau et de Bolimpont au niveau du Moulin de Dison, un hameau situé au sud de Jalhay. Sa confluence se situe 500 m en amont de Royompré.
Après avoir traversé le hameau "Le Wayai", ce ruisseau se jette dans le ruisseau de Wayai.
Ce ruisseau prend sa source non loin de la RN67 dans la fagne de Brackvenn et va se jeter dans le lac d’Eupen.
La Gileppe qui alimente pour une bonne part le lac de retenue du barrage prend sa source non loin du pont de la Genêtre, sous lequel coule le Fossé d’Eupen. Elle conflue avec le Noir Ru environ 500 m en aval du Pont Noir.
La Polleur (ou Poleûr) est le nom originel de la Hoëgne. Elle conserve cette appellation depuis sa source jusqu’à la confluence avec le Ruisseau d’Herbôfaye.
Ce ruisseau au cours châtoyant prend sa source dans la Grande Fange, près des Fermes en Fagne et rejoint la Statte aux Terres Tasse en contrebas de Solwaster.
Ce torrent fagnard provient de la Fagne des Deux-Séries, constituée de tourbières dégradées à molinies. En été, elle peut se réduire à un petit filet d’eau mais à un torrent lors des orages
Ce ruisseau se jette dans la Helle vers le lieu-dit Grasbeck et sa source se situe non loin de l’Allée de Ternell.
Ce ruisseau dont le cours est particulièrement intéressant à suivre prend sa source côté Haie Henquinet près du Haut Plateau et se jette dans la Hoëgne à Parfondbois.
Cet affluent de la Warche prend naissance dans un vaste amphithéâtre sur le flanc sud du sètchamps de Botrange. Il passe par le Vieux Chêne, jaillit dans une cascade. Il est rejoint par le Ruisseau du Ghaster et se jette dans la Warche.
Ce drain a été creusé au 18è siècle pour les industriels eupenois, pour amener l’eau d’une partie du bassin hydrographique de la Gileppe vers la Soor.
Ce ruisseau prend sa source dans la Heid Firmin pour traverser la fagne et se jeter dans la Gileppe, juste avant le lac, dans sa partie sud-est.
Cet affluent de la Gileppe prend sa source à la pointe nord de Brochepierre et rejoint la Gileppe envron 500 m en aval du Pont Noir.
Ce petit affluent de la Gileppe court dans Djîlotheid sur environ 700 m avant de rejoindre le lac.
Ce ruisseau prend sa source dans la Haie du Procureur. Au Moulin de Dison, il rejoint le Ruisseau de Bolimpont pour former le Ruisseau de Dison, un affluent de la Hoëgne.
Petit affluent de la Gileppe.
Affluent de la Hoëgne.
Ce ruisseau prend sa source non loin du Stockai, sur la Route Hockai - Xhoffraix, passant par les Cot’hais, Targnon, Chôdires et se jetant dans l’Eau Rouge à hauteur du Rôsi.
Petit affluent de la Hoëgne.
Ce ruisseau se jette dans le Ruisseau de Dison.
Ce ruisseau, affluent de la Hoëgne, prend sa source près de Surister.
Ce ruisseau prend sa source au sud-ouest de Charneux pour se jeter à peine un km en aval dans la Hoëgne.
Sa source est à Hestreux et il va se jeter dans la Gileppe.
Cet affluent de la Hoëgne prend sa source dans la tourbière de Wihonfagne. Il se jette dans la Hoëgne un peu en aval des Cascatelles, entre la passerelle du Centenaire et le Pont de Belleheid.
Prenant sa source aux Wèyais, il poursuit son cours à travers La Bourgeoise jusqu’à sa confluence avec le Ruisseau de Bolimpont, puis ils deviennent tous les deux le Ruisseau de Dison.
Ce ruisseau prend sa source près de la Baraque Michel et se jette dans la Poleûr au niveau du lieu-dit "Les Mousseux".
Cette rivière prend sa source au sud de Cockaifagne (Sart-lez-Spa), affluent de la Hoëgne. Il rejoint cette dernière à Theux (Marché) en passant par Wayai (village), Nivezé, Spa, Marteau.
Cette chapelle est dûe à l’architecte Cunibert, comme l’église Saint-Antoine-l’Ermite, de Mürringen.
Cette chapelle, construite à l'abri d'un hêtre, se situe à l'emplacement d'un édifice plus ancien qui lui, datait de 1523. Le chœur et sa baie gothique de grès rouge furent repris de l'ancien bâtiment
Petite croix en pierre de taille. Elle est une réplique miniature de celle apposée au dos de l'école primaire du village.
Croix en pierre de taille située au dos de l'école primaire de Honsfeld.
Cette nouvelle église, de style néo-roman en moëllons d'arkose sous bâtière d'ardoises, érigée un peu plus loin que l'ancienne chapelle, date de 1956. Elle est l'œuvre de l'architecte Burgers.
Ancien lavoir public.
Ce monument commémore les soldats tués lors de l'offensive des Ardennes au cours d'un combat qui eut lieu le 17 décembre 1944.
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