La Polleur (ou Poleûr) est le nom originel de la Hoëgne. Elle conserve cette appellation depuis sa source jusqu’à la confluence avec le Ruisseau d’Herbôfaye.
L’une des sources de la Helle.
Elle est restée anonyme jusqu’au 19è siècle.
Son nom provient du comte de Périgny, sous-préfet de Malmedy.
Ce ruisseau au cours châtoyant prend sa source dans la Grande Fange, près des Fermes en Fagne et rejoint la Statte aux Terres Tasse en contrebas de Solwaster.
Ce ruisseau dont le cours est particulièrement intéressant à suivre prend sa source côté Haie Henquinet près du Haut Plateau et se jette dans la Hoëgne à Parfondbois.
Cet affluent de la Warche prend naissance dans un vaste amphithéâtre sur le flanc sud du sètchamps de Botrange. Il passe par le Vieux Chêne, jaillit dans une cascade. Il est rejoint par le Ruisseau du Ghaster et se jette dans la Warche.
Ce ruisseau prend sa source près de la Baraque Michel et se jette dans la Poleûr au niveau du lieu-dit "Les Mousseux".
Renseigné comme "Pavillon de chasse" cet abri est le bienvenu pour quelques moments de détente.
Cette auberge a été fondée en 1813 par le tailleur allemand Michel-Henri Schmitz. Elle a servi de point de repère au milieu des vastes tourbières environnantes où souvent, des voyageurs s’égaraient.
Un vestige de l’ancienne frontière Prusse-Belgique qui jouxte la croix des Fiancés. Cette frontière a été créée par le «Traité des limites» signé le 26 mai 1816 à Aix-la-Chapelle entre le royaume des Pays-Bas et le royaume de Prusse.
Elle est située sur une ancienne frontière entre la Belgique et la Prusse, créée par le « Traité des limites » signé le 26 mai 1816 à Aix-la-Chapelle entre la Prusse et les Pays-Bas.
Aussi appelée Pierre Quarrée, cette borne qui marquait autrefois la frontière Belgique - Prusse, établie lors du Congrès de Vienne, se situe à la Baraque Michel, côté est de la N68 Eupen - Malmedy. Elle est une réplique de la pierre originale.
Cette obélisque en pierre marquant l’ancienne limite entre la Prusse et la Belgique se situe entre la Baraque Michel et la Fontaine Périgny, près de la Croix du Prieur. Dégradée, elle a été encadrée de métal pour la renforcer.
Cet obélisque en pierre au dessus pyramidal et qui marquait autrefois la frontière entre la Belgique et la Prusse après le traité des limites de 1816, est située près de la Fontaine Périgny.
Ces bornes marquent l’ancienne frontière entre la Belgique et la Prusse décidée lors du Traîté des Limites signé le 26 mai 1816 à Aix-la-Chapelle.
Cette colonne de 4.50 m érigée en 1566 par les famille Hauptmann-Panhaus est surmontée d’une pomme de pin et d’une petite croix.
Cette butte en moellons a été érigée en 1923 à l’initiative du Baron Baltia (lieutenant-général), commissaire royal aux Cantons de l’Est. Sa hauteur de 6 m permet d’atteindre 700 m d’altitude par rapport au niveau de la mer à son sommet.
Cette chapelle dédiée à Notre-Dame de Bon Secours a été construite en 1830-1831, à l’initiative du chevalier Henri-Toussaint Fischbach, un industriel de Malmedy, en remerciement du sauvetage de son beau-père égaré dans la Fagne.
Cette colonne dont ne subsiste que le socle comporte des inscriptions en français et en allemand. Elle est constituée d’un bloc cubique de calcaire (classé).
Elle fut élevée par Bartholomeus Hauptmann en 1566.
La croix des Américains a été plantée en 1962, à la mémoire de l’équipage d’un avion américain tombé à cet endroit en 1945.
Cette croix est en mémoire d’Albert Briamont (1902-1971) qui est mort à cet endroit en luttant contre un incendie de forêt.
Cette croix a été érigée par la Jeunesse Ouvrière Chrétienne après un congrès à Rome en 1967.
Cette célèbre croix a été érigée à la mémoire de deux fiancés disparus tragiquement dans la fagne le 21 janvier 1871. La première croix érigée à leur mémoire date de 1893.
Cette croix en chêne porte un Christ en bois sculpté. Elle remplace depuis novembre 1950 une croix datant de 1566 qui avait été placée pour marquer des limites territoriales (Franchimont et Stavelot).
Cette croix située à 200 m du Mont Rigi, du côté nord de la N68 Eupen - Malmedy, a été érigée en mémoire de Jean-Joseph Gazon de Sourbrodt, mort subitement à cet endroit le 22 décembre 1856.
Cette croix, située près de la Pierre à Trois Coins à Botrange, a été érigée à la mémoire d’Olivier Gazon de Sourbrodt, mort dans les neiges de Warôneux le 23 février 1822. Elle a été remplacée en 1952.
Croix érigée à la mémoire de Pierre Pikray, de Solwaster, retrouvé enlisé dans une tourbière en 1882.
Cette fagne de 54 ha est utilisée comme réserve naturelle éducative et expérimentale par le Centre de recherche de l’Université de Liège.
Elle est parcourue par un sentier didactique de 2,5 km.
Ce toponyme wallon signifie "Lieu noir". Selon l’abbé Bastin, C’est dû à l’aspect foncé de la bruyère quaternée qui y abonde. Le Bayehon prend sa source à l’ouest de cette tourbière de près de 250 ha, le Setai attenant compris.
Cette source située au sud-est de Brochepierre est connue depuis des siècles.
Selon J. Feller, auteur du livre "Toponymie de la commune de Jalhay" son nom pourrait signifier Fontaine au pieu (pal), sans doute signalée autrefois par un poteau.
L’une des sources de la Helle.
Elle est restée anonyme jusqu’au 19è siècle.
Son nom provient du comte de Périgny, sous-préfet de Malmedy.
Cette vaste tourbière s’étend de la Baraque Michel aux sources de la Sawe.
Elle fait partie de la commune de Jalhay et de la Réserve naturelle domaniale des Hautes Fagnes depuis 1957.
Dans cette tourbière située au sud-ouest de la Baraque Michel prend naissance le ruisseau du même nom. Sa toponymie signifie "La Fagne (ou la Hêtraie) de Herbold" (nom germanique).
Cette étendue fagnarde se situe au nord de la Baraque Michel.
On désigne par le mot "Potale" un trou rempli d’eau. Il s’agit d’une ancienne fosse d’extraction de tourbe. Elle était autrefois exploitée intensément par les habitants de Jalhay.
Ce centre a pour vocation de vous faire découvrir les richesses naturelles du milieu fagnard à travers une multitude d’activités basées sur certains thèmes comme l’eau, la flore et la faune.
Sur cette haute stèle en bas-relief de bronze figure Albert Bonjean (1858-1939), avocat et écrivain verviétois, chantre fagnard très connu.
Une table de pique-nique située aux abords du parking de départ devant la Baraque Michel.
Une table de pique-nique située en retrait sur les hauteurs sud du cours de la Poleûr.
Un renfoncement pour admirer la magnifique étendue tourbeuse de cette fagne de près de 660 hectares.
Ces arbres vénérables servaient autrefois de lieu de repos (prandjlahe) aux herdiers de Sourbrodt et à leurs troupeaux.
Ou Sart Lerho. Lèrô ou Leroi. Il s’agit d’un patronyme assez répandu dans la région de Malmedy. Cette zone de tourbières se trouve au nord de la Croix des Fiancés.
Ce ruisseau dont le cours est particulièrement intéressant à suivre prend sa source côté Haie Henquinet près du Haut Plateau et se jette dans la Hoëgne à Parfondbois.
Cet affluent de la Warche prend naissance dans un vaste amphithéâtre sur le flanc sud du sètchamps de Botrange. Il passe par le Vieux Chêne, jaillit dans une cascade. Il est rejoint par le Ruisseau du Ghaster et se jette dans la Warche.
Ce ruisseau prend sa source près de la Baraque Michel et se jette dans la Poleûr au niveau du lieu-dit "Les Mousseux".
Cette stèle a été posée par les Amis de la Fagne à la mémoire de Henri Angenot, une personnalité verviétoise. (1861-1943).
Elle est située dans la Grande Fagne, très proche de la N68 Eupen - Baraque Michel - Malmedy.
Cette stèle a été édifiée à la mémoire de 4 amis de la Fagne : A. Libert (1782-1805), A. Bonjean (1858-19, J. Bastin (1870-1935), E. Toussaint (1882-1954).
Cette tour observatoire haute de 24 m s’élève au point culminant de la Belgique (694 m). Elle comporte un musée appartenant à l’Université de Liège depuis 1948 ainsi qu’un restaurant.
Il s’agit d’une zone de la Grande Fagne située 1 km à l’ouest de la Baraque Michel. Ce lieu faisait autrefois l’objet d’une intense exploitation de la tourbe par les habitants de Jalhay. On peut encore y voir des traces d’extraction.
Il s’agit d’une étendue fagnarde dont la toponymie provient du mot "gué". De nombreux gués franchissaient en effet la Helle dans les parages.