Cet ancien sanatorium en briques, pierres et béton est inspiré par des ouvrages de la vallée du Rhin. Il a été construit en 1903, à l’initiative du directeur du laboratoire bactériologique de la province de Liège Ernest Malvoz.
Six médecins avaient été dépêchés lors de l’élaboration des plans de l’architecte E. Remouchamps
Une galerie avait été aménagée afin que les curistes y prennent l’air deux fois par jour, été comme hiver.
Pour enrayer la tuberculose, on prône l’altitudothérapie. Les premiers sanatoriums apparaissent en Suisse vers 1875, il faut attendre le début du 20è pour que se créent des institutions de ce type chez nous.
La Province de Liège décide de créer un sanatorium pour tuberculeux. Borgoumont est choisipour la pureté de son air.
Le sanatorium est achevé.
La Province de Liège décide de construire un Centre de réadaptation au travail, destiné à préparer le malade à sa réinsertion.
Un nouveau bâtiment est construit pour héberger les malades en cours de rééducation.
Le centre est rebaptisé Centre Princesse Astrid de La Gleize. De grands travaux de réfections sont réalisés dans la foulée.
Le bâtiment sert de centre Fedasil pour les demandeurs d’asile.
Le bâtiment très dégradé est laissé à l’abandon.
Cet emplacement le long du Roannay est constitué de 3 tables de pique-nique abritées et d’un barbecue central avec une grille qui peut pivoter.
Cette petite croix en bois sous toiture, protégée par une grille, se situe au croisement d’Heilrimont et Moulin du Ruy.
Une croix de carrefour au cœur du village.
Cette croix de carrefour forestier en bois, ancien point de repère, a vu son Christ dérobé.
Cette croix en pierre a été érigée à la mémoire de Jacques de Bérinzenne (fils du fondateur du domaine de Bérinzenne), tué par la foudre à cet endroit le 23 août 1696, probabement au cours d’une randonnée à cheval.
En plein tournant, cette croix en bois avec toit est posée sur un socle en moellons, devant un petit parterre fleuri.
Cette église de style gothique a été bâtie en 1874, pour remplacer un ancien édifice religieux situé au niveau du cimetière de Roanne, alors siège de la paroisse.
Cette fontaine au débit puissant et au nom enchanteur nécessite encore quelques aménagements pour la rendre digne de son appellation.
Cette source d’eau ferrugineuse carbogazeuse est utilisée comme eau de table depuis plusieurs siècles par les habitants des villages proches. Elle était déjà citée dans un document de 1552. Le bâtiment de captage a été restauré en 1990.
La salle des fêtes du village.
Ces tilleuls tricentenaires se trouvent se part et d’autre de la grille d’entrée du cimetière de Moustier.