Des fouilles ont été entreprises à cet endroit en 1845 et 1872.
Elles ont révélé des vestiges datant de l’époque romaine ainsi que de l’époque médiévale.
La Via Mansuerisca passait à cet endroit et il est vraisemblable qu’il existait à cet époque un refuge (hospitum).
Il est construit à l’initiative de Natura 2000 qui parmi ses nombreux projets en faveur de la biodiversité, a décidé de mettre la Soor en valeur.
Il est construit par deux opérateurs forestiers du cantonnement de Verviers : Pierre Brandt et Patrick Bourguet.
Son nom provient de l’incendie ayant eu lieu dans les parages en 1887.
Elle est aussi appelée Route de Porfays.
Ils sont décédés à la suite d’accident ou de maladie, occupés au travail par les Allemands dans l’Hertogenwald, ou à la scierie de Perkiets. Ces travaux lourds consistant en abattage et en débardage alimentaient les troupes allemandes en bois.
Ils ont été enterrés à cet endroit jusqu’à la fin de la guerre.
Elle a été construite par l’occupant romain entre le 1er et le 4è siècle. Subsistant durant l’époque mérovingienne, on relate qu’elle avait une largeur de 6 m.
Des textes datant des 7è et 8è siècles évoquent une liaison entre deux autres voies principales : Bavay - Cologne et Trèves - Cologne.
Le réseau hydrographique supérieur a été fort transformé par un réseau de drainage. Le Fossé d’Eupen sert à détourner les eaux du bassin de la Gileppe vers celui de la Helle.
Il existait autrefois une concurrence industrielle entre la Ville d’Eupen et celle de Verviers, chacun cherchant à détourner une partie des eaux du bassin de la Gileppe, dont les eaux de la Soor faisaient également partie.