Erigé en commune (d'un bon 3000 habitants), le village est baigné par le Ton, affluent du Chiers, qui coule en France. Il s'étend le long de la N82 Arlon - Virton.
Saint-Léger est aussi le patron de son église, comme ce fut le cas de nombreux édifices religieux dès le 8è siècle, après la mort de celui-ci.
Saint-Léger est cité pour la première fois au 13è siècle sous la forme Saint-Ligier.
Au 14è, une charte affranchit le village à la plupart des charges féodales mais ses privilèges furent abolis au 18è sous le gouvernement autrichien. Les guerres entre Français et Espagnols qui suivirent a beaucoup affecté le village. La peste y avait fait également pas mal de ravages en 1636.
On cite déjà l’existence de l’ermitage du Wachet au 16è siècle. Le premier ermite mentionné est Claude de Habaru. La chapelle quant à elle date du 17è siècle.
Le Christ en croix en bois polychrome sur la façade ouest de la chapelle date du 18è siècle.
Les vitraux représentent Notre-Dame de Beauraing, une piéta, une Vierge et une éducation de la Vierge.
Une procession annuelle à la Vierge a lieu tous les 15 août. On y dresse un autel en plein air.
On cite pour la première fois l’existence de l’ermitage du Wachet.
Le premier ermite connu, Claude de Habaru, quitte l’ermitage du Wachet pour l’ermitage du Bonlieu.
La chapelle est construite.
Les reliques de la Sainte-Croix et celles de Saint-Donat sont transportées à la chapelle.
Frère Dominique fait don des reliques de Saint-André.
Le Frère Macaire, Jean-Nicolas Lichtfous est le dernier ermite du Wachet.
Joseph II interdit les ermitages.
Un garde chapelle surveille l’édifice. Il est logé gratuitement en contrepartie.
La chapelle est restaurée.
Le chemin de croix est remplacé par les 14 stations en pierre de taille actuelles, dont chacune d’entre elles a été offerte par une famille du village. Elles comportent un socle quadrangulaire, un pilier et une colonne engagée surmontée d’une niche.
Le logement de l’ermite est transformé en sacristie.
La toiture et le clocher sont renouvelés.
Cet ensemble de 14 croix représente les différentes étapes de la passion du Christ. Les stations ont été offertes par des donateurs locaux. Leur nom est inscrit à l’arrière de chaque station.
Cette église à 3 nefs de style néo-roman a été entièrement reconstruite en 1954 après la seconde guerre mondiale selon les plans de Léon Lamy d’Arlon.
L’existence de ce fourneau est déjà mentionnée en 1602. Ses propriétaires n’étaient autres que ceux du Pont d’Oye ou des Epioux. Ses activités cessèrent en 1829.
La Société Anonyme des Aciéries et Fonderies de Châtillon et Extensions est fondée. On y annexe une usine métallurgique d’Auderghem.
Malgré leur état, les frères Dominicy achètent l’usine et le matériel. On y produit des fourneaux à colonnes, des chaudières pour cuire la nourriture des cochons, des fers à gaufres, des poids en fonte ainsi que les pièces métalliques des batteuses assem
L’entreprise ferme définitivement ses portes.
Sur ce plan d’eau, il est possible de nager. On y trouve également une promenade le long du lac, une salle omnisports, une aire de repos avec pique-nique ainsi qu’une cafétéria.
Bordée d’une plage herbeuse, cette zone de baignade se situe le long du Ton, dans le Lac de Conchibois, au sud-ouest du village de Saint-Léger.
Camping situé dans la vallée de la Haute Semois.
37 emplacements camping/caravane
23 emplacements pour caravanes résidentielles
Commodités :
- Parking
- Eau chaude
- Electricité
- Douche
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