Cet édifice en briques rouges datant de 1854 abrite des orgues classées.
La Chorale Saint-Roch y entonne de beaux chants religieux.
Une vingtaine d’habitants hypothèquent des terres communes pour construire une chapelle publique.
La chapelle est achevée. Elle dépend de la vice-cure de Polleur, elle-même dépendante de la paroisse de Theux. Le prêtre est choisi par les habitants et rétribué par eux.
La vice-cure de Polleur devient paroisse succursale indépendante de Theux. Jehanster en devient une chapelle auxiliaire.
Le chapelain obtient le droit de pouvoir baptiser. Les habitants souhaitent que la chapelle soit érigée en paroisse succursale.
Les habitants obtiennent un Conseil de Fabrique.
Un nouveau presbytère est terminé d’être construit.
La nouvelle église est construite après deux ans de travail.
La flèche de la tour est ajoutée.
Cet édifice de style néo-gothique en briques (1886-1888) a été construit à la place d’un ancien château appartenant aux Groulard. Les orgues sont classées et des objets de cultes y sont exposés.
Cet édifice de style gothique en moellons de grès et calcaire, est surmonté d’un clocher hélicoïdal caractéristique. La légende veut que celui-ci ait été tordu par le diable en colère.
Cet ancien barrage sur la Hoëgne permettait d’alimenter une fine dérivation qui amenait l’eau jusqu’au Moulin de Polleur. Ce moulin aujourd’hui disparu a donné son nom à un quartier du village.
Cette cascade est formée par le Ruisseau du Bois de Tiège, qui se jette un peu plus à l’ouest dans la Hoëgne.
Cette petite chapelle en bois a été érigée par le propriétaire du bois.
Ce château a été construit au 18è siècle pour Jean-Nicolas Nélis, marchand de vins, commissaire à Theux et greffier-échevin de la cour de Jehanster.
Il est également appelé Château Simonis.
Ce château de style éclectique a été construit pour Jean Montens d’Oosterwyck-Simonis sur les plans des architectes Charles Vivroux et son père, sur un terrain qui appartenait à la famille Simonis-de Biolley, industriels verviétois.
Ce château a été réalisé par l’architecte Auguste-Charles Vivroux entre 1898 et 1900 pour Louis Simonis, industriel lainier à Verviers.
Il comporte une cour intérieure ainsi qu’une tour carrée.
Un Christ en bronze sur croix de bois verni, avec toiture à deux pans.
Cette croix en acier d’une hauteur de 12 m, ne pèse pas moins de 4 tonnes.
Elle a été érigée en 1929 par les Ateliers Delvaux fils et offerte par Mademoiselle Deblon de Polleur.
Une petite croix en pierre de taille qui se dresse face à la plaine sur un socle en amas de grès.
Cette croix en bois avec un toit à 2 pans est posée sur un bac muret arrondi et fleuri, maçonné en moellons de calcaire, à l’angle de la Rue J. Marchal et du Chemin du Bois des Récollets.
Cette petite croix est apposée sur un arbre, près du Gué d’Hélévy, entre Jehanster et Surister.
Ce Christ sur croix en bois millésimé 1889 est placé devant le parapet du ponceau d’un petit affluent de la Hoëgne, qui traverse la Place Joseph Gérard, centre du quartier du Moulin de Polleur.
Cette croix, appelée en wallon "Li creû dè p’tit Dj’han" ou aussi Croix du Faweux, a servi à baptiser le lieu désert où elle est érigée, à l’époque de la Principauté de Liège.
Cette croix en bois verni, a été érigée le 18 septembre 2006 à la mémoire de Jacques Picret décédé le 7 novembre 1940.
Cet édifice de style néo-gothique en briques (1886-1888) a été construit à la place d’un ancien château appartenant aux Groulard. Les orgues sont classées et des objets de cultes y sont exposés.
Cet édifice de style gothique en moellons de grès et calcaire, est surmonté d’un clocher hélicoïdal caractéristique. La légende veut que celui-ci ait été tordu par le diable en colère.
Gîte familial pour 8 à 9 personnes.
Ce gué est formé par le Ruisseau d’Hélévy, un affluent de la Hoëgne. Il existe une petite passerelle piétonne sur le côté pour le franchir.
Cette maison a été construite en 1852.
Cette maison a été construite en 1852. Sa vocation de maison communale se termina lors de la fusion avec Theux en 1976, dont François Gohy fut le dernier bourgmestre.
Ce monument est dédié aux victimes des deux guerres, dont huit personnes lors de la première et 24 lors de la seconde : 12 prisonniers politiques et 12 soldats.
Cette construction en moellons de grès sur la Hoëgne, en aval de Royompré, remonte au 14è siècle.
Particularité : l’alimentation en eau se fait via un petit aqueduc passant au-dessus du chemin.
Le parcours jalonné de panneaux explicatifs démarre du terminus du bus, passe par la Croix du Petit Jean et revient par Hélévy et le Chemin de Surister pour terminer la boucle. Il a une longueur de 4,650 km et comporte 10 exercices.
Cette passerelle en métal et en béton enjambe la Hoëgne pour relier Neufmarteau et le Moulin de Polleur.
Cette passerelle en métal et en béton permet de franchir la Hoëgne pour relier le Moulin Gohy au Trou Colas et Neufmarteau (en direction de Polleur).
C’est au 15è siècle qu’un perron fut remis aux différents bans du Marquisart de Franchimont (Principauté de Liège). Le lieu du perron servait à proclamer les règlements et édits.
Cette petite aire de pique-nique offre un repos bien mérité à ceux qui ont gravi la côte en provenance de Jehanster !
Une grande plaine de jeux au centre du village.
Cette stèle apposée sur le haut mur en moellons de grès du Château de Fays a été placée en hommage aux combattants des deux guerres mondiales.
Ce point de vue présente un angle intéressant du village, avec en arrière-plan le viaduc et la fenêtre de Theux (Val de Hoëgne).
Ce pont d’origine romaine en moellons calcaires enjambe la Hoëgne en plein coeur du village. Il est classé par la Commission des Monuments et Sites depuis le 24 juillet 1936.
Cette petite Vierge, protégée dans une niche bleue derrière un panneau en verre apposée sur un tronc, se situe à la lisière du Bois des Récollets.
Cette potale, apposée sur un hêtre, a été placée par les habitants du hameau d’Ewèréville en 1961.
Ewèréville signifiant "village égaré" du fait qu’il était le plus éloigné des villages attenants.
Cette statue, personnage féminin, porte le texte de la Déclaration franchimontoise des Droits de l’Homme. Elle a été placée en 1989 pour le bicentenaire du Congrès de Polleur.
Ce petit théâtre entièrement rénové est situé dans un immeuble pollinois, il s’agit d’une ancienne habitation privée en moëllons de grès et calcaire de la seconde moitié du 18è siècle.