Ce barrage hydraulique de 64 m de haut est surmonté d’un énorme lion sculpté. Il retient le Lac de la Gileppe, une vaste réserve d’eau qui alimente une bonne partie de la région verviétoise.
La hauteur totale du barrage est de 64 mètres. Avant le surhaussement, elle était de 47 mètres.
Le volume du mur est de 1,4 millions de m³ de béton et 1,2 millions de m³ d’enrochement.
Sa capacité maximale est de 26 430 000 m³ dont 24 000 000 m³ de capacité utilisable.
La superficie du lac équivaut à 130 ha. Il est alimenté par les ruisseaux de la Gileppe, la Louba et la Soor, qui ensemble forment un bassin versant de 54 km².
Son eau assure les besoins alimentaires et industriels de l’agglomération verviétoise.
On peut distribuer jusqu’à 73600 m³ par jour, permise par une pluviosité annuelle moyenne de 1250 mm.
Une centrale électrique produit la puissance de 0,633 mégawatts/heure.
Les 2 tours de prise d’eau, d’une hauteur de 75 mètres, effectuent les prélèvements au départ de capteurs situés à différents niveaux. Deux canalisations d’un débit maximal de 89 m³/seconde amènent cette eau vers un bassin d’amortissement. L’eau passe ensuite dans une centrale hydro-électrique qui produit le courant nécessaire au fonctionnement du complexe. L’excédent se dirige vers Verviers par l’aqueduc d’alimentation.
Le déversoir du barrage est composé de 2 pertuis d’une largeur de 8 mètres.
Sa fonction est d’évacuer le surplus d’eau à raison d’une capacité de 185 m³ d’eau par seconde. L’obturation est assurée par un wagon-vanne en acier de 25 tonnes suspendue au point-cadre commandée électriquement.
L’ensemble est géré par le Ministère des Travaux Publics Service des barrages.
Le gouvernement confie l’étude du barrage à Eugène Bidaut, né à Liège en 1808. Ceci à la demande des lainiers verviétois qui souhaitent une eau parfaitement pure et qui ne souhaitent plus dépendre du Barrage d’Eupen.
Mort de Bidaut. Auguste Donckier, ingénieur et docteur en sciences naturelles, est chargé de l’analyse des éléments hydrologiques et géologiques.
Le barrage est mis sous eau.
Le barrage est inauguré par Léopold II. Sa capacité est alors de 13,3 millions de m³ pour une superficie de 85,70 hectares.
Le lion sculpté par Félix-Antoine Bouré est inauguré.
Début des travaux de rehaussement du barrage.
Le surhaussement du barrage est achevé. Sa capacité passe à 26,4 millions de m³ pour 130 hectares. Il est alimenté essentiellement par la rivière de La Gileppe et son affluent la Louba. Les eaux de la Soor sont acheminées vers le lac par un tunnel.
Le roi Baudouin inaugure le barrage surhaussé.
Ce petit barrage a été conçu en 1948 pour dériver le surplus du débit moyen de la rivière dans le Lac d’Eupen.
La longueur du tunnel est de 1200 m.
Cet ancien barrage sur la Hoëgne permettait d’alimenter une fine dérivation qui amenait l’eau jusqu’au Moulin de Polleur. Ce moulin aujourd’hui disparu a donné son nom à un quartier du village.
Il a été construit en 1892, formant ainsi le Lac de Warfaaz (6 ha). Ce dernier cube 360 000 m³ et est profond de 1,50 m à 8,50 m.
Ce barrage a été inauguré en 1951. Le lac a une capacité de 25 millions de m³ d’eau et une superficie de 126 ha.
Le mur mesure près de 410 m et est haut de 63 m.
Cette petite rotonde en rondins de bois est située à l’extrême sud-est du lac et comporte une zone de bivouac.
Cet abri en bois situé sur le chemin de Herbiester au Lac de la Gileppe comporte 2 tables de pique-nique.
Il est situé à une altitude de 345 m.
5 parcours d’accrobranche de difficulté croissante jusqu’à 95 kg max. Prévoir des vêtements souples, des chaussures plates et fermées, un élastique pour les cheveux longs, des gants. Pas de pull à capuche.
Ce chemin forestier serpente à mi-hauteur entre la petite route du Hestreux et le Lac de la Gileppe, pour aboutir au Chêne du Rendez-vous.
Ce chemin forestier relie la Route de la Gileppe qui longe le lac, à la Route du Hestreux, qui relie Béthane (vallée de la Vesdre) à la N68 Eupen - Baraque Michel - Malmedy.
Située à l’extrême sud-est du lac, à sa confluence avec le ruisseau La Gileppe, la zone comporte un petit abri.
Ce hêtre remarquable à clous (plusieurs dizaines) est situé à un carrefour forestier au nord du village de Foyr.
Sa circonférence à 1.30 m de haut atteint pratiquement 3.80 m.
Entreprise fondée en 1935.
Il existe également un site à Beesten en Allemagne.
Gamme de beurres et de matières grasses pour les industriels de l’agro-alimentaire, les artisans et professionnels des
Croix érigée à la mémoire de Henri Douanier né en 1810 et décédé en 1859.
Cette petite croix en bois surmontée d'un petit auvent en métal peint en vert est située à la lisière du Bois de Goé.
D’une hauteur de 13,50 m, ce monument en grès tendre de la Vallée de la Sûre est l’oeuvre de Félix Antoine Bouré.
Fort de 183 blocs, il a une longueur de 16 m et une épaisseur de 5 m.
Ce monument a été érigé en 2010 par deux habitants de Jalhay, Jean-Claude Pauly et André Decoanne, à la mémoire de quatre membres d’équipage d’un Lancaster anglais.
Monument érigé à la mémoire des 6 aviateurs canadiens et de l'aviateur anglais, tués à Jalhay le 2 novembre 1944.
Chaque année à la fin août, le monument est fleuri, en présence des autorités de Jalh
Ainsi dénommé depuis le 19è siècle, c’était le lieu privilégié de rendez-vous des amoureux. Il a dû être abattu en 1989 après avoir tenu 350 ans, pour des raisons de sécurité. On l’a remplacé par un jeune chêne en 1993.
Roche dont un Lancaster fut le témoin de son atterrissage catastrophique la nuit du 30 au 31 mars 1944.
Une stèle est élevée un peu plus en avant.
Cette route forestière démarre au Chêne du Rendez-vous et rejoint la N68 Eupen-Malmedy à peine plus haut que la Croix Noire.
Ce petit affluent de la Gileppe court dans Djîlotheid sur environ 700 m avant de rejoindre le lac.
Cette tour panoramique a une hauteur de 77,60 m.
Sa surface vitrée comporte pas moins de 624 m².
L’ascenseur qui mène au belvédère est gratuit.
Fossé du nom de celui qui à creusé ce fossé et coupe feu.
Ce tunnel creusé entre la Soor et la Lac de la Gileppe permet à ce dernier de bénéficier de l’apport en eau de la Soor.