Monument dédié à Suzanne Boscheron, Josette Petit et Hortense Swinnen.
Ce monument est dédié aux soldats morts de la première guerre mondiale. Il a été inauguré le 10 juillet 1932.
Ce monument est dédié aux morts de la première guerre mondiale.
Ce monument est dédié aux personnes fusillées le 7 septembre 1944 à Grand Trixhe.
Ce monument est dédié à la mémoire de personnes du village tuées en septembre 1944.
Ce groupe de résistance fut créé fin 1941 par Armand Collard de Harre (alias commandant BYL).
Ferrières est jumelé avec Chablis en Bourgogne-Franche-Comté (France) depuis le 28 juin 1964. Ce monument a été placé à l’occasion du cinquantième anniversaire du jumelage. La petite place de Ferrières porte d’ailleurs son nom.
Monument commémoratif en pierre avec plaque de cuivre et inscription "A Marcel LAUNOY qu’a tchanté nosse payis 1881-1944".
Un barbecue couvert avec plusieurs tables de pique-nique dans un parc situé le long de la voirie bordant la Réserve Naturelle de la Picherotte.
Un barbecue public en retrait de la route, avec plusieurs tables de pique-nique.
Un belvédère qui offre un très beau panorama sur la région de Ferrières.
La salle des fêtes du village.
Une petite chapelle en moellons de calcaire, située au carrefour entre Lognoul et le Houpet. Elle est millésimée 1897 et a été bâtie par le forgeron Michel Chabot qui habitait à côté.
Cette statue de la Vierge s’élève sur un muret en moellons de calcaire. Elle est entourée d’un arceau décoré de roses.
Cette chapelle en pierres badigeonnées à la chaux est couverte de grosses ardoises des Forges (Chevron). Elle a été citée en 1868.
Cette petite chapelle arrondie en moellons de grès date de 1935. Elle comporte un portail garni de roses et possède des vitraux façonnés par un maître-verrier liégeois.
Un Christ en croix de bois.
Cette croix porte un Christ torsadé, sur une croix de bois avec un pied peint en brun, forgé par René Maquoi d’après un modèle fourni par la famille Billy.
Le tout est fixé sur une croix de bois avec un pied peint en brun.
Une croix en fer portant un Christ peint en blanc qui s’élève devant l’ancienne poste du village sur un muret en pierre de taille. Elle est millésimée 1768.
Une croix de dévotion en bord de route et à l’entrée du bois, qui fut recueillie et replacée par Pierrot Dethier en 1982.
Les conscrits étaient des gens dont les territoires furent conquis durant les guerres napoléoniennes, au début du 19è, et qui étaient enrôlés dans son armée.
Une ancienne croix en bois de rogations, peinte en blanc et ne comportant plus de Christ.
Cette croix d’occis qui s’élève dans le talus est dédiée à L. Eloi, décédé à cet endroit le 22 septembre 1858.
Cette croix en fer forgé a été élevée en 1840 à la fin de l’exploitation du minerai de fer dans la région.
Christ sur croix de bois dans une haie le long de la voirie.
Cette potale date du 19è siècle et a été récemment restaurée. Elle est caractérisée par sa niche de plein cintre. Elle renferme une petite Vierge à l’Enfant en fonte.
Cette église a été construite en 1846 sur les ruines d’un ermitage datant du 14è siècle. C’est encore aujourd’hui un important lieu de pèlerinage.
Cette église contient une fresque exceptionnelle de l’artiste local Pierre Petit, représentant le Lac de Tibériade sur 40 m², la barque menacée par les flots, la tempête apaisée.
Cette église de style pseudo-gothique a été reconstruite en 1878 et achevée en 1881, d’après les plans de l’architecte J. Rémont. Le clocher qui était en mauvais état a été remplacé par une structure légère en inox.
Cette ferme pédagogique en moellons de calcaire produit du beurre, du lait, de la glace et du fromage.
L’architecture est de type semi-clôturé.
La cour intérieure pavée est accessible par un porche-colombier datant du 18è siècle.
Deux anciens bacs-abreuvoirs en briques située le long du Chemin de la Fontaine.
Cette gare se situait sur la ligne de tram vicinal reliant Melreux à Comblain-la-Tour.
Cette grotte artificielle est consacrée au Cœur immaculé de Marie.
Ce jardin clos restauré à l’initiative de l’association locale Qualité-Village-Ferrières situé à côté de l’église Saint-Martin contient plusieurs croix et monuments funéraires en fonte et en calcaire remarquables.
Cette bâtisse en moellons de calcaire avec un toit en ardoise, date du 19è siècle et a été agrandie vers 1915-1917.
La porte centrale est accessible par un perron.
Avant la fusion, ce bâtiment comprenait également l’école communale.
Ce monument est dédié aux morts de la première guerre mondiale.
Ce monument est dédié aux personnes fusillées le 7 septembre 1944 à Grand Trixhe.
Ce monument est dédié à la mémoire de personnes du village tuées en septembre 1944.
Ce groupe de résistance fut créé fin 1941 par Armand Collard de Harre (alias commandant BYL).
Ferrières est jumelé avec Chablis en Bourgogne-Franche-Comté (France) depuis le 28 juin 1964. Ce monument a été placé à l’occasion du cinquantième anniversaire du jumelage. La petite place de Ferrières porte d’ailleurs son nom.
Ce monument où s’élève une grande statue de Jésus a été élevé en 1922 par la paroisse de Ferrières, en reconnaissance de ce qui a été épargné durant la première guerre mondiale.
Monument commémoratif en pierre avec plaque de cuivre et inscription "A Marcel LAUNOY qu’a tchanté nosse payis 1881-1944".
Ce moulin dont la date de construction demeure inconnue était déjà considéré comme très ancien en 1826 !
Ce musée est établi dans un hôtel de maître datant du début du 20è siècle.
Il possède une collection de plus de 1000 jouets datant de la fin du 19è aux années 50.
Une table de pique-nique au cœur du petit village.
Une table de pique-nique près d’une petite rotonde au pied d’un beau point de vue sur Ferrrières.
La Place s’appelait, jadis « Li Pieri ». En 1823, elle porte le nom de « Li Bâti », pour être actuellement Place de Chablis.
Ce très ancien poteau indicateur en fonte datant de la fin du 19è siècle. Il est juché sur une haute base octogonale et couronné d’une pomme de pin.
Anciennes prairies humides de fauche au milieu d’une zone essentiellement forestière.
Un bas-marais à jonc épars et à sphaignes occupent les zones les plus marécageuses.
La flore, très hygrophile,
Cette source minérale connue depuis des siècles était considérée comme une des meilleures du pays, tant pour son goût que pour ses qualités digestives. Cela fut attesté dans un ouvrage du Docteur R.Courtois publié en 1828.