Cet ancien château fort féodal en trapèze, avec 3 autres tours circulaires, parti d’une simple tour de défense, s’est développé à partir de 1255, à l’initiative de Raoul de Latour, fils cadet du seigneur de Latour, du comté de Chiny.
Les défenses connaissent un grand développement dans le cadre des guerres franco-bourguignonnes.
La famille de Suys, seigneur de Montquintin, modernise le château en une bâtisse à trois corps plus confortable. Les défenses sont conservées.
Le château devient lieu de retraite de Monseigneur Jean-Nicolas de Hontheim, l’évêque de Trèves, qui le rachète au comte Jean-Baptiste de Baillet-Latour.
Le château est brûlé par les révolutionnaires français.
Le château est reconstruit par le neveu de l’évêque, Jean-Jacques de Hontheim.
Un incendie détruit le château.
Une ferme-épicerie prend place dans une aile du château.
Les vestiges du château sont en cours de restauration. Plusieurs projets ont été élaborés autour de celui-ci mais n’ont pas encore abouti.
Cet ensemble du 17è siècle, qui a autrefois fusionné avec les Forges Hautes, a été reconverti en lieu de detente : VTT, pêche, promenades, ski de fond...
L’existence de ce fourneau est déjà mentionnée en 1602. Ses propriétaires n’étaient autres que ceux du Pont d’Oye ou des Epioux. Ses activités cessèrent en 1829.
Cette tour découverte lors des travaux d’extension du Home faisait partie de l’enceinte d’Arlon au 4è siècle. On peut la voir lors des visites guidées qui nt lieu le jeudi à 16:30.
Ce domaine agricole de 3 ha a été occupé de l’an 0 à environ 350. Le Groupe d’archéologie de Habay (ASBL ARC-HAB) fouille le site depuis 1984, étudie et met en valeur ses découvertes.
Ce calvaire élevé en 1832 à l’initiative de Jean-Baptiste Lhommel, a servi plus tard de sépulture à deux artilleurs francais, tués entre Couvreux et Montquintin durant la 1è guerre mondiale. La croix de bois a été remplacée en 1978.
Ce calvaire du 18è siècle a vraisemblablement été érigé par Etienne Danloup et Odile Genin, la fille du meunier de Radru, en remerciement d’une grâce accomplie : l’arrivée d’un enfant. C’étaient des tenanciers de cabaret au village.
Cette église, construite en 1860, a permis aux paroissiens d’éviter de se rendre à la messe à Rouvroy, le lieu étant souvent inondé.
Cette église romane date du 10è siècle. Ses principales caractéristiques sont sa tour sans clocher orientée vers le village et un cimetière avec point de vue sur la campagne gaumaise.
Habitée autrefois par la famille de Franque, on raconte que cette maison aurait dû accueillir le roi de France Louis XVI lors de sa fuite après la Révolution française, mais avant, celui-ci fut arrêté le 20 juin 1791 à Varennes-en-Argonne.
Cette ferme tricellulaire (corps de logis, grange, étable) en grès calcaire et chaulée, est liée à l’ancien château féodal. Elle se caractérise par son toit en pente légère recouvert de tuiles "canal" à la romaine.
Une table de pique-nique proche de l’intersection de la Rue du Château-Fort et du chemin vicinal vers Couvreux, à l’abri de la circulation, dans le chemin en question.
Large point de vue sur la crête frontalière belgo-française.