Cette colonne dont ne subsiste que le socle comporte des inscriptions en français et en allemand. Elle est constituée d’un bloc cubique de calcaire (classé).
Elle fut élevée par Bartholomeus Hauptmann en 1566.
Bartholomeus Hauptmann était un échevin de Trèves converti au calvinisme (ou Hooftman).
Il est le beau-père de Pierre Panhaus, qui lui aussi a fait édifier une colonne.
Elle a certainement servi probablement de point de repère aux réformés en fuite.
Cette colonne de 4.50 m érigée en 1566 par les famille Hauptmann-Panhaus est surmontée d’une pomme de pin et d’une petite croix.
Cette butte en moellons a été érigée en 1923 à l’initiative du Baron Baltia (lieutenant-général), commissaire royal aux Cantons de l’Est. Sa hauteur de 6 m permet d’atteindre 700 m d’altitude par rapport au niveau de la mer à son sommet.
Sur cette haute stèle en bas-relief de bronze figure Albert Bonjean (1858-1939), avocat et écrivain verviétois, chantre fagnard très connu.
Cette stèle a été édifiée à la mémoire de 4 amis de la Fagne : A. Libert (1782-1805), A. Bonjean (1858-19, J. Bastin (1870-1935), E. Toussaint (1882-1954).
Un abri en bois situé à l’est de la Fagne Walonne, le long d’un chemin forestier reliant Sourbrodt à Ternell.
Cette auberge a été fondée en 1813 par le tailleur allemand Michel-Henri Schmitz. Elle a servi de point de repère au milieu des vastes tourbières environnantes où souvent, des voyageurs s’égaraient.
Aussi appelée Pierre Quarrée, cette borne qui marquait autrefois la frontière Belgique - Prusse, établie lors du Congrès de Vienne, se situe à la Baraque Michel, côté est de la N68 Eupen - Malmedy. Elle est une réplique de la pierre originale.
Cette obélisque en pierre marquant l’ancienne limite entre la Prusse et la Belgique se situe entre la Baraque Michel et la Fontaine Périgny, près de la Croix du Prieur. Dégradée, elle a été encadrée de métal pour la renforcer.
Cette colonne de 4.50 m érigée en 1566 par les famille Hauptmann-Panhaus est surmontée d’une pomme de pin et d’une petite croix.
Cette butte en moellons a été érigée en 1923 à l’initiative du Baron Baltia (lieutenant-général), commissaire royal aux Cantons de l’Est. Sa hauteur de 6 m permet d’atteindre 700 m d’altitude par rapport au niveau de la mer à son sommet.
Cette chapelle dédiée à Notre-Dame de Bon Secours a été construite en 1830-1831, à l’initiative du chevalier Henri-Toussaint Fischbach, un industriel de Malmedy, en remerciement du sauvetage de son beau-père égaré dans la Fagne.
La croix des Américains a été plantée en 1962, à la mémoire de l’équipage d’un avion américain tombé à cet endroit en 1945.
Cette croix a été élevée à la mémoire de L. Christiane, tué par la foudre le 15 juillet 1839, après avoir été fauché du foin sur sa parcelle en Fagne Wallonne, où les habitants de Champagne avaient le droit d’en récolter.
Cette croix a été érigée à la mémoire de J.Joseph Dideberg, de Longfaye, tué à cet endroit par la foudre, le 18 juin 1913.
Cette croix lorraine à 2 branches horizontales date de 1974. On l’appelle également la Croix Unica ou Croix de Lorraine. On peut lire sur la 1ère branche : 1974 et sur la seconde : CRUX AVE. SPES UNICA.
Cette croix située à 200 m du Mont Rigi, du côté nord de la N68 Eupen - Malmedy, a été érigée en mémoire de Jean-Joseph Gazon de Sourbrodt, mort subitement à cet endroit le 22 décembre 1856.
Cette croix, située près de la Pierre à Trois Coins à Botrange, a été érigée à la mémoire d’Olivier Gazon de Sourbrodt, mort dans les neiges de Warôneux le 23 février 1822. Elle a été remplacée en 1952.
Cette fagne de 54 ha est utilisée comme réserve naturelle éducative et expérimentale par le Centre de recherche de l’Université de Liège.
Elle est parcourue par un sentier didactique de 2,5 km.
Ce toponyme wallon signifie "Lieu noir". Selon l’abbé Bastin, C’est dû à l’aspect foncé de la bruyère quaternée qui y abonde. Le Bayehon prend sa source à l’ouest de cette tourbière de près de 250 ha, le Setai attenant compris.
Cette tourbière située au sud-est du Haut Plateau a une superficie de 660,86 ha. Sa pointe sud jouxtant Botrange à 691 m d’altitude, il s’agit de la fagne la plus élevée de Belgique.
Ce centre a pour vocation de vous faire découvrir les richesses naturelles du milieu fagnard à travers une multitude d’activités basées sur certains thèmes comme l’eau, la flore et la faune.
Sur cette haute stèle en bas-relief de bronze figure Albert Bonjean (1858-1939), avocat et écrivain verviétois, chantre fagnard très connu.
Un parcours santé le long d’un ruisseau fagnard : le Ghaster. Proche du village de Sourbrodt et du complexe d’hébergement du Domaine des Hautes Fagnes.
Une table de pique-nique située aux abords du parking de départ devant la Baraque Michel.
Une table de pique-nique le long du ruisseau fagnard du Ghaster, non loin de sa source.
Cette petite table de pique-nique est située à quelques pas du célèbre arbre multiséculaire.
Un renfoncement pour admirer la magnifique étendue tourbeuse de cette fagne de près de 660 hectares.
Ces arbres vénérables servaient autrefois de lieu de repos (prandjlahe) aux herdiers de Sourbrodt et à leurs troupeaux.
La Polleur (ou Poleûr) est le nom originel de la Hoëgne. Elle conserve cette appellation depuis sa source jusqu’à la confluence avec le Ruisseau d’Herbôfaye.
Cet affluent de la Warche prend naissance dans un vaste amphithéâtre sur le flanc sud du sètchamps de Botrange. Il passe par le Vieux Chêne, jaillit dans une cascade. Il est rejoint par le Ruisseau du Ghaster et se jette dans la Warche.
Cette stèle a été édifiée à la mémoire de 4 amis de la Fagne : A. Libert (1782-1805), A. Bonjean (1858-19, J. Bastin (1870-1935), E. Toussaint (1882-1954).
Cet arbre multiséculaire est classé par la Commission Royale des Monuments et des Sites (A.R. du 25/1/1935). Il s’agit d’un ancien point de repère sur la "Voie du Fer", menant de Hockai à Sourbrodt et continuant vers Schleiden.
Cette tour observatoire haute de 24 m s’élève au point culminant de la Belgique (694 m). Elle comporte un musée appartenant à l’Université de Liège depuis 1948 ainsi qu’un restaurant.
Il s’agit d’une étendue fagnarde dont la toponymie provient du mot "gué". De nombreux gués franchissaient en effet la Helle dans les parages.