Cette tourbière située au sud-est du Haut Plateau a une superficie de 660,86 ha. Sa pointe sud jouxtant Botrange à 691 m d’altitude, il s’agit de la fagne la plus élevée de Belgique.
Cette fagne de 54 ha est utilisée comme réserve naturelle éducative et expérimentale par le Centre de recherche de l’Université de Liège.
Elle est parcourue par un sentier didactique de 2,5 km.
Ce toponyme wallon signifie "Lieu noir". Selon l’abbé Bastin, C’est dû à l’aspect foncé de la bruyère quaternée qui y abonde. Le Bayehon prend sa source à l’ouest de cette tourbière de près de 250 ha, le Setai attenant compris.
Cette étendue fagnarde se situe au nord de la Baraque Michel.
On désigne par le mot "Potale" un trou rempli d’eau. Il s’agit d’une ancienne fosse d’extraction de tourbe. Elle était autrefois exploitée intensément par les habitants de Jalhay.
Il s’agit d’une étendue fagnarde dont la toponymie provient du mot "gué". De nombreux gués franchissaient en effet la Helle dans les parages.
Un abri en bois situé à l’est de la Fagne Walonne, le long d’un chemin forestier reliant Sourbrodt à Ternell.
Cette borne porte les inscriptions F comme Forêt, I comme Impériale, C comme Commune et I comme Jalhay. Mais cette interprétation est présumée car aucune étude n’a pu démontrer ce fait.
Cet obélisque en pierre au dessus pyramidal et qui marquait autrefois la frontière entre la Belgique et la Prusse après le traité des limites de 1816, est située près de la Fontaine Périgny.
Ces bornes marquent l’ancienne frontière entre la Belgique et la Prusse décidée lors du Traîté des Limites signé le 26 mai 1816 à Aix-la-Chapelle.
Ce bouquet d’arbres isolé en plein milieu des tourbières de la réserve domaniale est formé par des saules. Ils ont servi de point de repère au milieu de la vaste étendue du Haut Plateau.
Cette butte en moellons a été érigée en 1923 à l’initiative du Baron Baltia (lieutenant-général), commissaire royal aux Cantons de l’Est. Sa hauteur de 6 m permet d’atteindre 700 m d’altitude par rapport au niveau de la mer à son sommet.
Cette colonne dont ne subsiste que le socle comporte des inscriptions en français et en allemand. Elle est constituée d’un bloc cubique de calcaire (classé).
Elle fut élevée par Bartholomeus Hauptmann en 1566.
La croix des Américains a été plantée en 1962, à la mémoire de l’équipage d’un avion américain tombé à cet endroit en 1945.
Cette croix a été élevée à la mémoire de L. Christiane, tué par la foudre le 15 juillet 1839, après avoir été fauché du foin sur sa parcelle en Fagne Wallonne, où les habitants de Champagne avaient le droit d’en récolter.
Cette croix a été érigée à la mémoire des prisonniers soviétiques de la seconde guerre mondiale. Deux prisonniers sont enterrés au cimetière de Nidrum, à côté de leurs compatriotes décédés au Camp d’Elsenborn (28 tombes au total).
Cette croix lorraine à 2 branches horizontales date de 1974. On l’appelle également la Croix Unica ou Croix de Lorraine. On peut lire sur la 1ère branche : 1974 et sur la seconde : CRUX AVE. SPES UNICA.
Cette croix située à 200 m du Mont Rigi, du côté nord de la N68 Eupen - Malmedy, a été érigée en mémoire de Jean-Joseph Gazon de Sourbrodt, mort subitement à cet endroit le 22 décembre 1856.
Cette croix, située près de la Pierre à Trois Coins à Botrange, a été érigée à la mémoire d’Olivier Gazon de Sourbrodt, mort dans les neiges de Warôneux le 23 février 1822. Elle a été remplacée en 1952.
Fagne d’orientation nord-sud située entre le Bois de Cléfaye et ceux d’Eckel, du Bovel, du Grand Hardt, de Leger, de Kalteborn et de La Béole se présentant sous la forme d’un polygone irrégulier, sert
Ce toponyme wallon signifie "Lieu noir". Selon l’abbé Bastin, C’est dû à l’aspect foncé de la bruyère quaternée qui y abonde. Le Bayehon prend sa source à l’ouest de cette tourbière de près de 250 ha, le Setai attenant compris.
Cette source située au sud-est de Brochepierre est connue depuis des siècles.
Selon J. Feller, auteur du livre "Toponymie de la commune de Jalhay" son nom pourrait signifier Fontaine au pieu (pal), sans doute signalée autrefois par un poteau.
L’une des sources de la Helle.
Elle est restée anonyme jusqu’au 19è siècle.
Son nom provient du comte de Périgny, sous-préfet de Malmedy.
Ce centre a pour vocation de vous faire découvrir les richesses naturelles du milieu fagnard à travers une multitude d’activités basées sur certains thèmes comme l’eau, la flore et la faune.
Cette pinède aux arbres tourmentés a été plantée en 1852. Elle est également appelée "les crolés sapés" en wallon, soit, les sapins frisés. Elle a été gravement touchée par l’incendie de 2011 mais ce n’est pas le seul qu’elle ait subi.
Un renfoncement pour admirer la magnifique étendue tourbeuse de cette fagne de près de 660 hectares.
Ces arbres vénérables servaient autrefois de lieu de repos (prandjlahe) aux herdiers de Sourbrodt et à leurs troupeaux.
Cette rivière fagnarde est située dans un cirque formé par la colline du Leykoul et la crête de Kalterherberg. Il rejoint la Rur en rive gauche au pied du Geisberg. Son antique appellation était la Kal signifiant sombre et humide.
Cette tour observatoire haute de 24 m s’élève au point culminant de la Belgique (694 m). Elle comporte un musée appartenant à l’Université de Liège depuis 1948 ainsi qu’un restaurant.
Il s’agit d’une étendue fagnarde dont la toponymie provient du mot "gué". De nombreux gués franchissaient en effet la Helle dans les parages.