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; "Château de Laclaireau")
Ce château de style classique français, d’allure néo-renaissance, en pierre de France, a été construit entre 1852 et 1855 par le comte Camille Louis Hyacinthe de Briey, baron de Landres, sur les plans d’un architecte parisien A. Decloux.
Il trône au milieu d’un parc de 6 ha.
Il fut Ministre des Finances, Ministre des Affaires étrangères puis Ministre plénipotentiaire de la Belgique auprès du Tsar de Russie.
Il avait pris possession du domaine en 1833.
Les 2 ailes ont été ajoutées en 1877.
Il remplace une bâtisse plus ancienne datant de 1640, un château résidentiel entouré de douves, qui fut détruit par un incendie lors de la révolution française en 1794.
Laclaireau, avec Sainte-Ode et Pont d’Oye, sont les seuls sites métallurgiques qui ont donné leur nom à une seigneurie.
L’origine de celle-ci remonte au début du 15è.
Laclaireau devint forge en 1666, sous l’égide de Jean Poschet.
La production, d’abord à destination locale, servit aussi à la manufacture d’armes de Charleville entre 1776 et 1786.
L’activité métallurgique a cessé en 1822.
Aujourd’hui, la famille Di Baggi occupe le château, entretenu par la fondation Demeure et Châteaux.
Wikipedia
Ce bâtiment fortifié datant du 13è siècle est appelé également la Grosse Tour.
Cette ancienne maison de maître fut pendant près de douze siècle, la demeure de la famille Prouvy.
Château, ancienne propriété de la Seigneurie de Villemont fondée en 1270, à l’emplacement d’une ancienne villa gallo-romaine.
Cette église a été construite entre 1862 et 1867.
Elle porte encore les stigmates de la première guerre mondiale. Les murs extérieurs rougis par le feu en sont les témoins encore visibles.
Ce monument est dédié aux soldats français tombés au combat en août 1914. Il est situé à la N82, à proximité de l’entrée du Cimetière militaire français.
Cette table de pique-nique se situe sur le Ravel de l’ancienne ligne 155, à la lisière nord du village de Ethe.
Une table de pique-nique sous abri le long du Ravel de l’ancienne ligne 155.
Ce carrefour a été renommé en l’honneur de Joseph Jordant, garde forestier.
Il était membre de l’armée secrète. Fait prisonnier durant la guerre, il est décédé le 28 décembre à Buchenwald.
Fermé lundi, mardi, mercredi (sauf jours fériés ou groupes)
Ouvert samedi soir et dimanche midi.
Autres jours sur réservation pour groupes minimum 12 personnes.
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