Ce dolmen a été signalé pour la 1è fois dans un article datant de 1879 mais il était vraisemblablement déjà connu. On y retrouva des ossements, des tessons de poterie, des silex taillés, un grattoir, des percuteurs et des pointes de flèche.
il est composé d’une chambre sépulcrale collective rectangulaire, enfermée entre quatre piliers sur lesquels sont posées deux dalles de couverture.
Trois menhirs retrouvés aux alentours ont été redressés.
Date probable de la connaissance de l’existence du dolmen.
Le dolmen est signalé officiellement pour la première fois dans "Les Antiquités du village de Wéris", un article du Major Auguste Daufresne de la Chevalerie, qui croit avoir affaire à la tombe d’un chef de tribu gaulois.
L’Etat belge acquiert le dolmen ainsi que le terrain où il se situe, suite à un rapport d’Emile Tandel.
Le dolmen subit une première restauration. Il est ceintré d’un soubassement et d’une grille de protection.
Des fouilles sont menées aux alentours du dolmen.
Nouvelles fouilles autour du dolmen.
Le site est classé.
Une nouvelle campagne de fouilles est menée cette fois de manière plus moderne et scientifique par l’ex-Service national des Fouilles.
Le dolmen est restauré une nouvelle fois. Les 3 menhirs retrouvés couchés devant le monument sont redressés. La grille de protection est ôtée.
Le site est inscrit sur la liste des sites archéologiques de caractère exceptionnel de Wallonie.
Une seconde campagne de fouilles scientifiques est menée par la Direction de l’Archéologie de la Région wallonne et l’Association wallonne d’Etudes mégalithiques.
Le dolmen est cédé à la Région wallonne.
Ce dolmen composé d’une chambre sépulcrale collective rectangulaire enfermée entre quatre piliers sur lesquels sont posées deux dalles de couverture.
Ce menhir de 3,6 m de haut pèse environ 8 tonnes. Il est érigé le long de la grand route Barvaux - Erezée.
Le poids de cette pierre est d’environ 6,5 tonnes.
Ce menhir a été mis à jour lors de fouilles effectuées en 1999.
Ces trois menhirs ont été restaurés et redressés. Ils ont été découverts en 1888 par Monsieur Moreels.
Le terme "pouhon" provient du wallon "pouhî" signifiant "puiser". Le pouhon est une source d’eau minérale pouvant être ferrugineuse ou saline ou bien encore alcaline ou sulfureuse.
Cette source, se
Cette chapelle blanche, citée en 1973 et 1992, contient une statue de Notre-Dame de Beauraing. Mention en fer forgé peint en blanc sur toute la largeur de l’ouverture.
Ce sanctuaire en pierre de tailles protégé par une haie date de 1931. Il a été cité en 1943.
Ce dolmen composé d’une chambre sépulcrale collective rectangulaire enfermée entre quatre piliers sur lesquels sont posées deux dalles de couverture.
Ce centre d’exposition présente 50 bioramas en 7 thèmes pédagogiques notamment sur la campagne, le bois, le bord de l’eau, la migration, la gestion du patrimoine naturel, l’incidence humaine, flore et faune, etc.
Cette église de style néogothique a été édifiée de 1876 à 1878.
Cette église romane date de 1050. Les 3 nefs se terminent par un chœur semi-circulaire flanqué d’une chapelle gothique (16è) et de la sacristie (20è).
Ce point d’arrêt est situé sur la ligne 43 qui relie Liège à Jemelle.
Ce bloc de poudingue forme vaguement un lit.
Il est à l’origine d’une légende qui raconte la rencontre d’un meunier avec le diable.
Ce menhir de 3,6 m de haut pèse environ 8 tonnes. Il est érigé le long de la grand route Barvaux - Erezée.
Monument dédié aux morts des deux guerres mondiales.
Il est construit en poudingue local, matériau naturel, comme les pierres mégaltihiques, qui combine le grès, le quartzite et le silex.
Musée illustrant la vie quotidienne et les pratiques funéraires des sociétés néolithiques d’agriculteurs éleveurs, bâtisseurs des mégalithes en Europe occidentale.
Ce centre d’attraction du Syndicat d’Initiative de Barvaux offre un éventail d’activités des plus vastes.
Ce parc en accès libre à l’anglaise est réservé aux promenade pédestres. Il est doté d’une flore et d’une faune protégées par le programme Natura 2000.
Il est également possible d’y visiter une exposition didactique.
Ce long bloc de poudingue dressé et blanchi est appelé aussi "Pierre des Ancêtres" ou "Menhir Blanc", au sommet de la colline dominant le paysage.
Autrefois situé dans un paysage ouvert mais à présent couvert de végétation, ce gros bloc émergeant d’un banc de poudingue constituait un point de repère de choix.
Une table de pique-nique proche du dolmen nord de Wéris, située juste de l’autre côté de la route.
Des tables de pique-nique en retrait de la N876 qui traverse le hameau d’Eveux
Ces trois menhirs ont été restaurés et redressés. Ils ont été découverts en 1888 par Monsieur Moreels.