Ce menhir de 3,6 m de haut pèse environ 8 tonnes. Il est érigé le long de la grand route Barvaux - Erezée.
En 1983, 2 autres menhirs ont été dégagés à 50 m du précédent et transplantés sur la parcelle du domaine de Wéris.
L’un d’eux avait été brisé et basculé dans une fosse d’enfouissement : sa base est toujours en place. Il a une hauteur de 2,15 m après reconstitution.
L’autre menhir, érigé à 1 m au sud du précédent, dans une fosse délimitée sur trois côtés par des blocs de calage et sur le 4ème par une dalle. Dressé, il mesure 2,34 m.
Ces deux menhirs ne peuvent être redressés à leur emplacement originel. Ils sont entreposés dans la parcelle du dolmen de Wéris, derrière le monument.
Les deux menhirs sont ramenés à Wéris I.
D’autres blocs sont également répertoriés par le géologue Xavier Stainier mais certains ont disparus, pour des besoins plus pragmatiques liés à l’agriculture.
Plusieurs menhirs dont celui-ci sont culbutés et enfouis par les paysans car ils gênent l’exploitation agricole.
Une note écrite quelque temps auparavant par le juge Geubel décrit la pierre et leur enfouissement. Il s’agit de renseignements donnés par le bourgmestre de Wéris : Monsieur Pironet.
Le menhir est découvert. Il mesure 3,60 m de haut et pèse environ 8 tonnes.
Il est placé le long de la route Barvaux - Erezée par l’archéologue Hélène Danthine, à 130 m au sud-ouest de son emplacement initial.
Ce dolmen a été signalé pour la 1è fois dans un article datant de 1879 mais il était vraisemblablement déjà connu. On y retrouva des ossements, des tessons de poterie, des silex taillés, un grattoir, des percuteurs et des pointes de flèche.
Ce dolmen composé d’une chambre sépulcrale collective rectangulaire enfermée entre quatre piliers sur lesquels sont posées deux dalles de couverture.
Le poids de cette pierre est d’environ 6,5 tonnes.
Ce menhir a été mis à jour lors de fouilles effectuées en 1999.
Ces trois menhirs ont été restaurés et redressés. Ils ont été découverts en 1888 par Monsieur Moreels.
Le terme "pouhon" provient du wallon "pouhî" signifiant "puiser". Le pouhon est une source d’eau minérale pouvant être ferrugineuse ou saline ou bien encore alcaline ou sulfureuse.
Cette source, se
Ce château en briques et en pierres de taille a été construit en 1908 pour le Baron et la Baronne Ignace de Viron.
Ce dolmen a été signalé pour la 1è fois dans un article datant de 1879 mais il était vraisemblablement déjà connu. On y retrouva des ossements, des tessons de poterie, des silex taillés, un grattoir, des percuteurs et des pointes de flèche.
Ce dolmen composé d’une chambre sépulcrale collective rectangulaire enfermée entre quatre piliers sur lesquels sont posées deux dalles de couverture.
Cette église remarquable de style néo-gothique, en briques et en pierre, a été bâtie en 1861.
Cette église de style classique en briques et en pierre bleue a été construite en 1874 à la place d’un bâtiment plus ancien.
Cette église romane date de 1050. Les 3 nefs se terminent par un chœur semi-circulaire flanqué d’une chapelle gothique (16è) et de la sacristie (20è).
Ce bloc de poudingue forme vaguement un lit.
Il est à l’origine d’une légende qui raconte la rencontre d’un meunier avec le diable.
Monument dédié aux morts des deux guerres mondiales.
Il est construit en poudingue local, matériau naturel, comme les pierres mégaltihiques, qui combine le grès, le quartzite et le silex.
Musée illustrant la vie quotidienne et les pratiques funéraires des sociétés néolithiques d’agriculteurs éleveurs, bâtisseurs des mégalithes en Europe occidentale.
Ce long bloc de poudingue dressé et blanchi est appelé aussi "Pierre des Ancêtres" ou "Menhir Blanc", au sommet de la colline dominant le paysage.
Autrefois situé dans un paysage ouvert mais à présent couvert de végétation, ce gros bloc émergeant d’un banc de poudingue constituait un point de repère de choix.
Une table de pique-nique proche du dolmen nord de Wéris, située juste de l’autre côté de la route.
Ces trois menhirs ont été restaurés et redressés. Ils ont été découverts en 1888 par Monsieur Moreels.