Cette croix en plein chêne située à la rencontre de la N672 venant de Jalhay avec la N68 Eupen - Malmedy porte un Christ en bois sculpté de 2 m de hauteur. On l’appelle aussi Croix du Souvenir. Elle a une hauteur totale de 5.50 m.
Le socle conique en béton est orné de trois broches solides symboliques au pied dans lequel la croix est scellée.
De chaque côté, un bas relief logé dans un pan de mur continu gravé dans du calcaire de la Moselle française, rappelant les deux anciennes constructions disparues du sabotier.
Côté gauche : la première cabane en bois datant de 1875
Côté droit : l’auberge plus récente datant de 1877.
Le pan de mur supportant les bas reliefs est irrégulier et sans doute voulu afin de rappeler le construction primitive du sabotier François.
Lors de sa construction, un inconnu vient écrire sur la porte de la hutte voisine du lieu où dorment les maçons : "Mon Dieu, si je vous ai offensé, pardonnez-moi" et il dépose sur le seuil un beau crucifix en bois. Ce Christ apposé sur la façade a donné son nom au bâtiment : l’Auberge de la Belle Croix.
Sur le montant vertical de la croix, au pied du Christ, inscription du mystérieux donateur de 1877 :
Mon Dieu, si je vous ai offensé, pardonnez-moi.
La Maison du Sabotier est construite à l’emplacement de la croix. Elle devient ensuite l’Auberge de la Belle Croix après un événement insolite.
Lors de l’operation Stösser, le carrefour de la belle-croix était désigné comme point de rassemblement pour les parachutistes allemands. Cette opération est rapidmeent tombé à l’echec.
La Croix actuelle est placée et bénie. Elle est l’œuvre de l’artiste Léon Mennicken de Raeren, à qui il a fallu 5 ans de travail, pour sculpter le corps du Christ dans un bloc de chêne, long de 2 mètres. Il s’agit du point culminant de sa carrière.
Cette croix a été érigée par la Jeunesse Ouvrière Chrétienne après un congrès à Rome en 1967.
Cette célèbre croix a été érigée à la mémoire de deux fiancés disparus tragiquement dans la fagne le 21 janvier 1871. La première croix érigée à leur mémoire date de 1893.
Cette croix se situe sur le chemin des Arsins à la Haie Henquinet, à hauteur où la Statte le franchit.
Cette croix en chêne porte un Christ en bois sculpté. Elle remplace depuis novembre 1950 une croix datant de 1566 qui avait été placée pour marquer des limites territoriales (Franchimont et Stavelot).
Cette croix située à 200 m du Mont Rigi, du côté nord de la N68 Eupen - Malmedy, a été érigée en mémoire de Jean-Joseph Gazon de Sourbrodt, mort subitement à cet endroit le 22 décembre 1856.
Cette croix en bois a été posée en bordure de chemin, en hommage au bûcheron Bruno Mayeres, décédé le 26/11/1990.
Cette croix en pierre, repère d’anciennes cartes, a été érigée à la mémoire de Jacob Mockel, forestier Limbourgeois, assassiné à cet endroit en 1626.
Cette stèle a été érigée à la mémoire de Henri Noël, décédé inopinément à cet endroit le 1 août 1892, le long de la N68 Eupen - Baraque Michel - Malmedy.
Croix érigée à la mémoire de Pierre Pikray, de Solwaster, retrouvé enlisé dans une tourbière en 1882.
Cette croix située 300 m en contrebas de la Croix Mockel a été érigée en mémoire de Réné Hauglustaine, un fagnard passionné provenant de Limbourg.
Ce long chemin fagnard de près de 6 km s’étend de Brochepierre, au niveau des sources du Noir Ru à l’ouest et Porfays à l’Est.
Cette auberge a été fondée en 1813 par le tailleur allemand Michel-Henri Schmitz. Elle a servi de point de repère au milieu des vastes tourbières environnantes où souvent, des voyageurs s’égaraient.
Cette borne porte les inscriptions F comme Forêt, I comme Impériale, C comme Commune et I comme Jalhay. Mais cette interprétation est présumée car aucune étude n’a pu démontrer ce fait.
Elle est située sur une ancienne frontière entre la Belgique et la Prusse, créée par le « Traité des limites » signé le 26 mai 1816 à Aix-la-Chapelle entre la Prusse et les Pays-Bas.
Aussi appelée Pierre Quarrée, cette borne qui marquait autrefois la frontière Belgique - Prusse, établie lors du Congrès de Vienne, se situe à la Baraque Michel, côté est de la N68 Eupen - Malmedy. Elle est une réplique de la pierre originale.
Cette obélisque en pierre marquant l’ancienne limite entre la Prusse et la Belgique se situe entre la Baraque Michel et la Fontaine Périgny, près de la Croix du Prieur. Dégradée, elle a été encadrée de métal pour la renforcer.
Cet obélisque en pierre au dessus pyramidal et qui marquait autrefois la frontière entre la Belgique et la Prusse après le traité des limites de 1816, est située près de la Fontaine Périgny.
Cette colonne de 4.50 m érigée en 1566 par les famille Hauptmann-Panhaus est surmontée d’une pomme de pin et d’une petite croix.
Ce bouquet d’arbres isolé en plein milieu des tourbières de la réserve domaniale est formé par des saules. Ils ont servi de point de repère au milieu de la vaste étendue du Haut Plateau.
Cette zone très connue des fagnards se trouve à environ 1 Km au nord-est de la Baraque Michel. C’était durant l’ancien régime, le point de rencontre des frontières de l’Evêché de Liège, du Duché de Limbourg et de la Principauté de Stavelot
Cette chapelle dédiée à Notre-Dame de Bon Secours a été construite en 1830-1831, à l’initiative du chevalier Henri-Toussaint Fischbach, un industriel de Malmedy, en remerciement du sauvetage de son beau-père égaré dans la Fagne.
Cette colonne fut érigée en 1566 afin de servir de point de repère à travers la fagne.
Cette croix en chêne porte un Christ en bois sculpté. Elle remplace depuis novembre 1950 une croix datant de 1566 qui avait été placée pour marquer des limites territoriales (Franchimont et Stavelot).
Cette croix en pierre, repère d’anciennes cartes, a été érigée à la mémoire de Jacob Mockel, forestier Limbourgeois, assassiné à cet endroit en 1626.
Cette stèle a été érigée à la mémoire de Henri Noël, décédé inopinément à cet endroit le 1 août 1892, le long de la N68 Eupen - Baraque Michel - Malmedy.
Croix érigée à la mémoire de Pierre Pikray, de Solwaster, retrouvé enlisé dans une tourbière en 1882.
Cette croix située 300 m en contrebas de la Croix Mockel a été érigée en mémoire de Réné Hauglustaine, un fagnard passionné provenant de Limbourg.
Ce secteur du Hertogenwald est situé à l’est du Fossé d’Eupen, entre la Robinette au nord et le chemin de Porfays au sud.
En français, la "Fontaine au Saule" servait jadis à l’abreuvage des troupeaux des habitants de Jalhay. Elle est située dans la Fagne Leveau, à la source du Ruisseau de Pièce è Trô, un affluent de la Gileppe.
Cette source située au sud-est de Brochepierre est connue depuis des siècles.
Selon J. Feller, auteur du livre "Toponymie de la commune de Jalhay" son nom pourrait signifier Fontaine au pieu (pal), sans doute signalée autrefois par un poteau.
L’une des sources de la Helle.
Elle est restée anonyme jusqu’au 19è siècle.
Son nom provient du comte de Périgny, sous-préfet de Malmedy.
Cette vaste tourbière s’étend de la Baraque Michel aux sources de la Sawe.
Elle fait partie de la commune de Jalhay et de la Réserve naturelle domaniale des Hautes Fagnes depuis 1957.
Il s’agit d’un ancien arbre repère célèbre dont le souvenir est perpétué par quelques jeunes hètres plantés en 1970 par " les Amis de la Fagne" et les Forestiers.
Cette étendue fagnarde se situe au nord de la Baraque Michel.
On désigne par le mot "Potale" un trou rempli d’eau. Il s’agit d’une ancienne fosse d’extraction de tourbe. Elle était autrefois exploitée intensément par les habitants de Jalhay.
Sur cette haute stèle en bas-relief de bronze figure Albert Bonjean (1858-1939), avocat et écrivain verviétois, chantre fagnard très connu.
Il s’agit d’un bloc de quartzite supportant une hélice d’avion à 3 pales tordues, aménagé en 1947. Il commémore la mort de 8 aviateurs américains de deux C-47 perdus dans la brume et qui se sont percutés. Evénement survenu le 6 avril 1945.
Cette plaque en bronze scellée dans un bloc de quartzite a été érigée en 1946 en mémoire de ce sergent aviateur de la RAF tombé le 30 mai 1943.
Ce bloc de quartzite a été érigé en 1928 à la mémoire de Joseph Parotte, décédé d’épuisement en Fagnes dans les neiges le 6 décembre 1925.
Il s’agit d’un antique axe de communication très important à l’époque romaine qui reliait Maastricht à Coblence. Son nom authentique serait la Via Transuerisca et non Mansuerisca comme signalée, qui elle serait une voie secondaire.
Une table de pique-nique située aux abords du parking de départ devant la Baraque Michel.
Ce pont surplombe le Fossé d’Eupen au niveau de la route forestière de Porfays, partant de la N68 Eupen - Baraque Michel - Malmedy, au sud de Drossart.
Ce pont de la N68 Eupen - Baraque Michel - Malmedy enjambe le Noir Ru à l’est de la Fagne Leveau.
Ce pont se situe sur le Noir Ru, au niveau du chemin forestier qui longe la vallée de la Gileppe entre Drossart et le lac. C’est environ 500 m en aval que ce ruisseau est rejoint par la Gileppe, en provenance de Drossart.
Ou Sart Lerho. Lèrô ou Leroi. Il s’agit d’un patronyme assez répandu dans la région de Malmedy. Cette zone de tourbières se trouve au nord de la Croix des Fiancés.
La Gileppe qui alimente pour une bonne part le lac de retenue du barrage prend sa source non loin du pont de la Genêtre, sous lequel coule le Fossé d’Eupen. Elle conflue avec le Noir Ru environ 500 m en aval du Pont Noir.
Ce ruisseau au cours châtoyant prend sa source dans la Grande Fange, près des Fermes en Fagne et rejoint la Statte aux Terres Tasse en contrebas de Solwaster.
Ce drain a été creusé au 18è siècle pour les industriels eupenois, pour amener l’eau d’une partie du bassin hydrographique de la Gileppe vers la Soor.
Cet affluent de la Gileppe prend sa source à la pointe nord de Brochepierre et rejoint la Gileppe envron 500 m en aval du Pont Noir.
Petit affluent de la Gileppe.
Prenant sa source aux Wèyais, il poursuit son cours à travers La Bourgeoise jusqu’à sa confluence avec le Ruisseau de Bolimpont, puis ils deviennent tous les deux le Ruisseau de Dison.
Elle est située dans la Grande Fagne, très proche de la N68 Eupen - Baraque Michel - Malmedy.
Cette stèle a été édifiée à la mémoire de 4 amis de la Fagne : A. Libert (1782-1805), A. Bonjean (1858-19, J. Bastin (1870-1935), E. Toussaint (1882-1954).
Il s’agit d’une zone de la Grande Fagne située 1 km à l’ouest de la Baraque Michel. Ce lieu faisait autrefois l’objet d’une intense exploitation de la tourbe par les habitants de Jalhay. On peut encore y voir des traces d’extraction.
Il s’agit d’une étendue fagnarde dont la toponymie provient du mot "gué". De nombreux gués franchissaient en effet la Helle dans les parages.