Ce presbytère est daté de 1778. Large et haut, il est construit en briques et en calcaire sous un toit d’ardoises.
Répartis autour du cloître au sud de l’église, ils furent ravagés par les troupes calvinistes en 1574 et relevés au début du 17è siècle. Puis pillés à nouveau en 1684 par les Français.
Cet imposant bâtiment en briques et en calcaire, sur un soubassement en moellons de calcaire date de 1686. Il comprend une tour-porche à l’entrée.
Cette ferme en briques sur un soubassement en moellons date de 1707, millésimée par une pierre au-dessus de la porte. Elle était déjà citée au 12è siècle. Seul le corps du logis comporte des fenêtres.
Cette ferme carrée date des 17è et 18è siècles. Diverses ailes en briques ont été remaniées, dont certaines sur soubassement en moellons.
Il s’agit d’une ancienne ferme en briques et en calcaire sur un soubassement en moellons millésimée 1746.
Cette imposante ferme en moellons de grès date de 1725. Elle comporte des étables sous un fenil à côté d’un vaste logis.
Cette importante ferme quadrilatère en briques et en calcaire est millésimée 1721.
Vaste ferme en quadrilatère du 18è.
Cette ferme datant du 18è siècle a conservé un logis et une grange en colombage.
Cette belle exploitation clôturée du 17è siècle, en moellons de grès, a été rebâtie en briques en 1760 sous l’abbé Jacques Lovegné (1759-1778).
Jadis, elle fut un bien de l’abbaye du Val-Dieu.
Cette basse-cour a été installée dans les trois ailes opposées à la cour d’honneur. Elles datent du 17è siècle.
Le logis de cette ferme en quadrilatère, en moellons de grès truffés de calcaire, date de la fin du 17è siècle ou du début du 18è.
Cette ferme en briques et calcaire datant du 18è siècle possède un portail millésimé 1772.
Cette ferme du 18è siècle aux bâtiments dispersés dans une grande cour carrée est en briques et en calcaire. Le pignon mélange briques et colombages.
Cette petite exploitation en briques et en calcaire sur un soubassement en moellons de grès date de 1707.
Cette ferme construite aux environs de 1724 possède logis en double corps. Elle a été transformée en hôtel et gîtes.
Cette ferme en briques et en calcaire sur un soubassement de grès date du 18è siècle. Elle s’élève sur 2 niveaux et comporte 2 travées. La grange possède un portail en briques de calcaire.
Avant la fusion des communes, ce bâtiment était le siège de l'administration communale.
Il est devenu à présent le siège du Centre Public d'Aide Sociale.
Maison datant de 1669
Cette maison au cœur du village date de 1721.
Le moulin appartient à une grosse ferme, construit en 1636 pour moudre le grain.
Moulin à grains sur la Berwine construit en 1819.
Ce moulin est en partie une ferme qui a été mentionnée au 17è siècle.
Il y a actuellement dans cette bâtisse une chambre d’hôtes (Ferme du Ru d’Asse).
Ce moulin est dit "Tise le Moulin". Il a été cédé à l’abbaye par Renard de Bombaye en 1354.
Il est toujours en activité.
Le long du bief d’alimentation, le bâtiment actuel a été réédifié en moellons
Moulin construit avant 180 et restauré dans les années 1990. Il est aussi dénommé Moulin Dumoulin. Il prennait l'eau de la Berwinne toute proche.
Cette maison en briques et en calcaire sur un soubassement cimenté date de la seconde moitié du 18è siècle. Elle s’élève sur 2 niveaux avec 5 travées et elle est précédée d’un petit jardin clôturé par une grille.
Cette habitation en double corps, avec un petit jardin, a été construite vers 1775. La maçonnerie en briques est en moellons de grès.
Les façades intérieures de ce quartier situé à l’ouest du cloître et au nord du jardin intérieur datent de la fin du 17è siècle,
Egalement appelé Logis des hôtes ou encore "le château", ce bâtiment fut construit en 1739 sous l’abbatiat de Jean Dubois (1711-1749) dont les armes ornent la façade Sud.
Chapelle en brique ouverte. Fond de la chapelle blanchi et Christ en croix.
Christ en croix sur socle de moellon avec inscription IHS.
Cette église en briques et en calcaire dotée de 3 nefs de 4 travées terminées par un chœur à 3 pans a été construite entre 1789 et 1791 sur les plans de I’architecte J.F. Wincqz de Bruxelles.