Ce dolmen composé d’une chambre sépulcrale collective rectangulaire enfermée entre quatre piliers sur lesquels sont posées deux dalles de couverture.
Le plan du dolmen d’Oppagne ou Wéris sud (Wéris II) est similaire à celui du dolmen de Wéris ou Wéris nord (Wéris I), dont il est distant de 1500 m. Un vestibule ou antichambre, une chambre sépulcrale, une grande dalle postérieure posée à plat. Sa particularité est d’être édifié dans une tranchée creusée transversalement par rapport à la pente du terrain. Cette tranchée d’implantation a été clairement reconnue lors des fouilles. Elle était de 1 à 1,5 m plus large que le noyau du monument.
La chambre, longue de 5 m, large de 1 m près du chevet et de 1,80 m à l’entrée, et haute de 70 à 90 cm, est composée de piliers à droite et à gauche, soutenant trois dalles de couverture (contre deux à Wéris I) et de la dalle de fermeture du chevet .
Les intervalles entre les piliers devaient être bouchés par un remplissage de blocailles.
Derrière l’allée, la fonction de la grande dalle posée sur le sol n’a pas été résolue.
Le dolmen a été découvert en 1888 par un paysan qui labourait son champ à 300 m environ, en face du menhie Danthinne. Il s’agit probablement de Félix Lambert, fils d’Antoine Lambert, cultivateur à Wéris. Il buttait constamment avec sa charrue en labourant sur des pierres enterrées profondément. Le dolmen a été édifié dans une tranchée et recouvert d’un tertre.
Félix et son frère décident alors d’éliminer ces obstacles. Ils commencent à dégager les pierres supérieures. Félix constate alors la similitude avec la disposition du dolmen de Wéris, découvert quelques temps auparavant. Il comprend qu’il vient de mettre à jour le dolmen Sud : le Dolmen d’Oppagne.
Le commissaire-voyer de Barvaux Charneux continue le dégagement du monument.
Des morceaux d’un vase sont également retrouvés. Ils sont datés entre 2870 et 2300 avant JC, à l’âge du néolithique.
On y retrouve également un grattoir, un racloir et un percuteur, une pointe de flèche à pédoncule, et des tessons de poterie typiques de la "Civilisation des Gobelets", trace possible de la réutilisation ultérieure du site par rapport à l’origine.
Le dolmen est restauré dans la mesure du possible dans sa configuration originelle. Il est mis en valeur et il est sécurisé.
Le dolmen est découvert par un paysan qui labourait son champ à 300 m environ, en face du menhie Danthinne. Il s’agit probablement de Félix Lambert, fils d’Antoine Lambert, cultivateur à Wéris.
Orban vide la chambre sépulchrale emplie de sédiments. L’Etat belge acquiert le monument et sa parcelle. On mène alors plusieurs campagnes de fouilles.
Une nouvelle campagne de fouilles se déroule sur le site par de Loë et Rahir.
De nouveaux sondages sont menés par le Service national des Fouilles.
Un chemin dallé de plaquettes de grès-psammite et de calcaire est découvert. Ce chemin faisait probablement le tour de l’édifice.
Il est conservé une portion d’un peu plus d’un mètre carré, le long du côté gauche, et deux dalles en place sont repérées de l’autre côté (le dallage est endommagé, certainement par les fouilleurs du 19è) On lui attribue un rôle rituel.
La Direction de l’Archéologie de la Région wallonne mène de nouvelles fouilles. 4 menhirs sont redressés sur base d’infos fournies par des fouilles. Des ossements sont découverts. Ils indiquent que 9 personnes au moins y ont été inhumées.
Ce dolmen a été signalé pour la 1è fois dans un article datant de 1879 mais il était vraisemblablement déjà connu. On y retrouva des ossements, des tessons de poterie, des silex taillés, un grattoir, des percuteurs et des pointes de flèche.
Ce menhir de 3,6 m de haut pèse environ 8 tonnes. Il est érigé le long de la grand route Barvaux - Erezée.
Le poids de cette pierre est d’environ 6,5 tonnes.
Ce menhir a été mis à jour lors de fouilles effectuées en 1999.
Ces trois menhirs ont été restaurés et redressés. Ils ont été découverts en 1888 par Monsieur Moreels.
Le terme "pouhon" provient du wallon "pouhî" signifiant "puiser". Le pouhon est une source d’eau minérale pouvant être ferrugineuse ou saline ou bien encore alcaline ou sulfureuse.
Cette source, se
Ce château en briques et en pierres de taille a été construit en 1908 pour le Baron et la Baronne Ignace de Viron.
Ce dolmen a été signalé pour la 1è fois dans un article datant de 1879 mais il était vraisemblablement déjà connu. On y retrouva des ossements, des tessons de poterie, des silex taillés, un grattoir, des percuteurs et des pointes de flèche.
Cette église remarquable de style néo-gothique, en briques et en pierre, a été bâtie en 1861.
Cette église de style classique en briques et en pierre bleue a été construite en 1874 à la place d’un bâtiment plus ancien.
Cette église romane date de 1050. Les 3 nefs se terminent par un chœur semi-circulaire flanqué d’une chapelle gothique (16è) et de la sacristie (20è).
Ce bloc de poudingue forme vaguement un lit.
Il est à l’origine d’une légende qui raconte la rencontre d’un meunier avec le diable.
Ce menhir de 3,6 m de haut pèse environ 8 tonnes. Il est érigé le long de la grand route Barvaux - Erezée.
Monument dédié aux morts des deux guerres mondiales.
Il est construit en poudingue local, matériau naturel, comme les pierres mégaltihiques, qui combine le grès, le quartzite et le silex.
Musée illustrant la vie quotidienne et les pratiques funéraires des sociétés néolithiques d’agriculteurs éleveurs, bâtisseurs des mégalithes en Europe occidentale.
Ce long bloc de poudingue dressé et blanchi est appelé aussi "Pierre des Ancêtres" ou "Menhir Blanc", au sommet de la colline dominant le paysage.
Autrefois situé dans un paysage ouvert mais à présent couvert de végétation, ce gros bloc émergeant d’un banc de poudingue constituait un point de repère de choix.
Une table de pique-nique proche du dolmen nord de Wéris, située juste de l’autre côté de la route.
Ces trois menhirs ont été restaurés et redressés. Ils ont été découverts en 1888 par Monsieur Moreels.