Cette imposante maison de maître entourée d’une cour comportant de haut murs percés d’une porte cochère. Un pigeonnier la surplombe.
En 1711, Jean-Charles de Hugo s’installe à Bellefontaine après son mariage. Il est le fils d’un officier féodal de la Seigneurie de Florenville.
Jean-Charles de Hugo s’installe à Bellefontaine après son mariage. Il est le fils d’un officier féodal de la Seigneurie de Florenville.
Jean-Charles de Hugo, devenu officier féodal des Seigneuries de Bologne, Sainte-Marie et Villemont fait construire la maison.
Jean-Charles de Hugo est anobli par l’Empereur Charles VI.
Jean-Charles de Hugo décède et est enterré dans l’église de Tintigny.
La maison est vendue à la famille d’Avelaing.
La famille d’Avelaing vendent à leur tour à Henri Maîtrejean.
La commune de Bellefontaine devient propriétaire et y installe sa mairie.
Bellefontaine est fusionné avec Tintigny. La maison devient une école.
Appelée aussi la Manoir de Villers-devant-Orval, cet ensemble de bâtiments autour d’une cour est millésimé 1595.
Ce bâtiment atypique en pierre de France était au départ le lavoir d’Izel. Il a ensuite appartenu à l’harmonie Caecilia.
Ancien fourneau du 17è.
En 1633, Henry le Comte est propriétaire du fourneau et de la forge de Buzenol-Montauban.
Cette gare était située sur l’ancienne ligne de chemin de fer 155 qui reliait Marbehan à Ecouviez (F) en passant par Virton.
Elle a été désaffectée en 1938. La suppression de la ligne a suivi une bonne dizaine d’années plus tard, en 1951.
Hôtel de Ville en calcaire bajocien édifié en 1859.
Il est orné d’un perron comportant une double volée de marches et d’une balustrade.
Un monument aux morts des deux guerres est adossé à ce perron.
Ce bâtiment rectangulaire percé de plusieurs meurtrières est appelé aussi "La Poivrière" et faisait partie d’une ligne de surveillance et de fortification érigée par Louis XIV le long de la Semois.
Bâtiment carré (fin 19è) ouvert sur un côté surmonté d’un toit à 4 pans.
2 abreuvoirs extérieurs se situent sur le côté du bâtiment.
Il s’agit d’une imposante croix en fer forgé.
Petite chapelle à l’orée du bois en souvenir des victimes de l’épidémie de peste de 1636. Elle fait l’objet d’un culte à la Vierge, consolatrice des affligés.
2 maisons habitées subsistent à Saint-Vi
Ce cimetière franco-allemand a été édifié par les Allemands en mai 1917. Il regroupe 527 militaires français et 298 militaires allemands.
Cette croix en bois a une hauteur de 3 mètres et comporte un Christ en fonte.
Cette croix en pierre est également appelée Croix Moufan. Elle est située à Maidgibois et entourée par 7 épicéas remarquables (8 à l’origine).
Eglise de style néo-classique, édifiée en 1842, typique de la 1è moitié du 19è.
Sa tour est à deux cloches. Une Pierre de France millésimée est scellée au-dessus de la porte murée de l’ancienne sacri
Une église de style néo-classique du 19è siècle.
Elle se caractérise par 2 autels latéraux de style baroque (13è), des stalles en chêne (13è), une statue en bois de Saint-Donat (17è) et une peinture de Frère Abraham Gilson d’Orval.
Eglise dédiée à Saint-Roch construite sur bas d’une ancienne chapelle du début du 16è.
A l’intérieur, on peut y trouver des statues en bois dont Sainte Scholastique, Saint Etienne et Saint Raymond.
Ce bâtiment classé et fermé en pierre sinémurienne (une strate du Jurassique inférieur) est surmonté d’un toit à 2 pans.
Il date de 1873.
Bâtiment carré (fin 19è) ouvert sur un côté surmonté d’un toit à 4 pans.
2 abreuvoirs extérieurs se situent sur le côté du bâtiment.
Bâtiment carré de la fin du 19è, ouvert sur un côté surmonté d’un toit à 4 pans. Pour diminuer le poids de la charpente, les murs forment un retour.
Une table de pique-nique à l’est du village, à l’entrée du bois.
Une table de pique-nique située à côté du cimetière militaire du Radan.