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Maison seigneuriale de Bellefontaine

Maison seigneuriale de Bellefontaine
CC BY-SA 4.0 mini-ardenne
Rue de Virton
Bellefontaine
Bièvre
Cette imposante maison de maître entourée d’une cour comportant de haut murs percés d’une porte cochère. Un pigeonnier la surplombe.
En 1711, Jean-Charles de Hugo s’installe à Bellefontaine après son mariage. Il est le fils d’un officier féodal de la Seigneurie de Florenville.
Préhistoire : avant -3000 (premières écritures)
Antiquité : -3000 à 476 (chute de l'empire romain d'occident)
Moyen-Age : 476 à 1453 (chute de l'empire romain d'orient)
Temps modernes : 1453 à 1789 (Révolution française)
Epoque contemporaine : 1789 à 1945 (Fin de la seconde guerre mondiale)
Histoire récente : 1945 à nos jours
1711
Jean-Charles de Hugo s’installe à Bellefontaine après son mariage. Il est le fils d’un officier féodal de la Seigneurie de Florenville.
1714
Jean-Charles de Hugo, devenu officier féodal des Seigneuries de Bologne, Sainte-Marie et Villemont fait construire la maison.
1733
Jean-Charles de Hugo est anobli par l’Empereur Charles VI.
1762
Jean-Charles de Hugo décède et est enterré dans l’église de Tintigny.
1773
La maison est vendue à la famille d’Avelaing.
1809
La famille d’Avelaing vendent à leur tour à Henri Maîtrejean.
1975
La commune de Bellefontaine devient propriétaire et y installe sa mairie.
1978
Bellefontaine est fusionné avec Tintigny. La maison devient une école.
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Ancien fourneau du 17è.
En 1633, Henry le Comte est propriétaire du fourneau et de la forge de Buzenol-Montauban.
CC BY-SA 4.0 mini-ardenne
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Elle a été désaffectée en 1938. La suppression de la ligne a suivi une bonne dizaine d’années plus tard, en 1951.
CC BY-SA 4.0 mini-ardenne
Hôtel de Ville en calcaire bajocien édifié en 1859.
Il est orné d’un perron comportant une double volée de marches et d’une balustrade.
Un monument aux morts des deux guerres est adossé à ce perron.
Ce bâtiment rectangulaire percé de plusieurs meurtrières est appelé aussi "La Poivrière" et faisait partie d’une ligne de surveillance et de fortification érigée par Louis XIV le long de la Semois.
Bâtiment carré (fin 19è) ouvert sur un côté surmonté d’un toit à 4 pans.
2 abreuvoirs extérieurs se situent sur le côté du bâtiment.

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2 maisons habitées subsistent à Saint-Vi
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CC BY-SA 4.0 mini-ardenne
Cette croix en bois a une hauteur de 3 mètres et comporte un Christ en fonte.
CC BY-SA 4.0 mini-ardenne
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Eglise de style néo-classique, édifiée en 1842, typique de la 1è moitié du 19è.
Sa tour est à deux cloches. Une Pierre de France millésimée est scellée au-dessus de la porte murée de l’ancienne sacri
CC BY-SA 4.0 mini-ardenne
Une église de style néo-classique du 19è siècle.
Elle se caractérise par 2 autels latéraux de style baroque (13è), des stalles en chêne (13è), une statue en bois de Saint-Donat (17è) et une peinture de Frère Abraham Gilson d’Orval.
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CC BY-SA 4.0 mini-ardenne
Ce bâtiment classé et fermé en pierre sinémurienne (une strate du Jurassique inférieur) est surmonté d’un toit à 2 pans.
Il date de 1873.
Bâtiment carré (fin 19è) ouvert sur un côté surmonté d’un toit à 4 pans.
2 abreuvoirs extérieurs se situent sur le côté du bâtiment.

Bâtiment carré de la fin du 19è, ouvert sur un côté surmonté d’un toit à 4 pans. Pour diminuer le poids de la charpente, les murs forment un retour.
CC BY-SA 4.0 mini-ardenne
Une table de pique-nique à l’est du village, à l’entrée du bois.
Une table de pique-nique située à côté du cimetière militaire du Radan.