Six médecins avaient été dépêchés lors de l’élaboration des plans de l’architecte E. Remouchamps
Une galerie avait été aménagée afin que les curistes y prennent l’air deux fois par jour, été comme hiver.
Cette maison fut le siège de l’administration jusqu’en 1977, année de fusion des communes, où Harzé fit dès lors partie de la commune d’Aywaille.
Il y avait en sus les écoles pour filles et garçons e
Ce passage sous une maison permet de rejoindre l’église du village depuis un chemin venant de la grand’route (Route du Maquisard).
L’ouverture du casino remonte à 1908.
Il fut bâti sur les fondations d’une maison de jeux plus ancienne appelée La Redoute, qui elle, remonte à 1762 et considérée comme l’une des premières au monde.
Le nom proviendrait d’un habitant de cette cour. Au fond de la ruelle on aperçoit une maison dite « Château de Sprimont » Elle était la demeure du représentant du Duc de Limbourg ; Elle est de type es
Cette demeure en briques et calcaire devant laquelle s’étend un jardinet date de la seconde moitié du 18è siècle. Elle a été agrandie en 1880 vers l’arrière. On y a adjoint une annexe et une tour.
Il s’agit de l’actuelle école communale de Remouchamps.
Cette maison remarquable du centre du village est à l’origine d’une légende locale.
Ce bâtiment historique fut conçu par l’architecte Léon Suys en 1868.
Ce dernier fut également l’architecte de la Bourse de Bruxelles.
Il est resté fonctionnel jusqu’en 2004.
Actuellement salle de banquets, de réceptions, ce bâtiment en moellons de grès et calcaire a été construit au 19è.
Cette ferme date du 18è siècle.
Château construit en 1660 par Noël Poncelet, meunier de Theux.
Le millésime figure sur la clé de voûte du porche d’entrée.
Cet imposant quadrilatère fortifié date du début du 17è siècle. Il a été transformé en manoir-ferme de style Renaissance liégeoise en 1623 par Nicolas de Limbourg. Il est à présent devenu une salle de réceptions (soirées, mariages...)
Cette ferme en moellons de grès et calcaire date de 1652.
Cette ferme en briques et calcaire a été bâtie en 1880.
Cette ferme en moellons calcaires sise près de l'église d'Aywaille est un ancien prieuré.
La construction de cette forge date de 1525. Elle est citée pour la première fois en 1554.
Cet ancien four date du 18è siècle. Il a été restauré dans les années 1970.
Ce vaste bâtiment se prolonge dans une bonne partie du Parc de 7 Heures, sur une longueur de 130 m.
Elle comporte un promenoir couvert dont la toiture repose sur plus de 100 petites colonnes en fonte
L’une des rares constructions du genre bâties dans nos régions (Renaissance mosane, début 17è).
La façade principale est en moellons de grès assisés et calcaire, ouverte sur une cour pavée.
Cet édifice a été construit en 1901 grâce à un don de Jules Steinbach, un puissant industriel papetier.
Cet établissement était jadis prospère car durant les beaux jours les liégeois venaient en train jusqu’ici pour être dans les Ardennes et profiter en plus de la cuisine renommée de cet hôtel.
Ce bâtiment a été construit par la famille de Theux de Monjardin, en 1879.
Avant 1907, était implantée l’école catholique des "Soeurs de Dieupart ".
Ce kiosque à musique rustique a été construit en 1892.
Les colonnes et le garde-corps sont en béton imitation branchages et troncs d’arbre.
Il s’agit du bâtiment de l’ancienne école communale de Ernonheid, avant janvier 1977.
Il a été reconverti en salle équipée pouvant accueillir 100 personnes.
Cet important bâtiment néo-classique a été construit de 1912 à 1914 (époque prussienne) sur les plans de l’architecte allemand Schultze. Il est le siège actuel du Ministère des Finances.
Il s’agit d’un imposant immeuble bourgeois du 18è siècle en briques rouges.
A l’intérieur subsistent des colombages et des caves voûtées.
La maison communale est installée dans les bâtiments d’une ancienne ferme construite par N. Mignolet en 1870.
Cette ferme fut achetée en 1894 par la famille d’Arbrefontaine qui lui donna son style ac
Logis en double corpd dont le rez de chaussée surélevé, est percé d'une porte à linteau bombé à clé portant les dates de 1789 et 1887.
Il y a quelques années c'était le restaurant "Vieux Harzé".
Cette maison est millésimée 1646.
Elle était proche de la forge sidérurgique proche de l’Amblève.
Elle travaillait le magnésium en provenance de Rahier et Bierleux.
Cette usine avait été créée en 1
Cette habitation en moellons blanchis en calcaire faisait autrefois partie du prieuré d'Aywaille.
Elle a été reconstruite après un grave incendie qui a eu lieu en 1691.
Fermette en pierres (début 19è).
Elle a abrité clandestinement le Prince Charles de Belgique, recherché par les Allemands, frère du Roi Léopold III, sous le pseudonyme de Monsieur Richard, de juin à
Cette maison appartenait au Notaire Royal Aldringen. Il résida à Aywaille à partir de 1769, après s’être marié avec Anne-Catherine Hubin, originaire de Sur-la-Heid.
Cette maisonnette du début du 18è siècle est construite en pierre calcaire et colombage.
La façade vers l’Amblève est entièrement réalisée en calcaire appareillé et percée de deux petites baies.
La
Cette construction médiévale en moellons de grès et calcaire de plan carré, dotée d’une toiture à 4 versants a été classée le 5 mars 1986. Elle date du 15è siècle et était autrefois entourée d’eau.
Cette maison classée date de 1616. A cette époque, la place comportait plusieurs maisons de style gothique. Sur la place avait lieu un marché tous les samedis et deux foires l’année.
Cette construction en charpente de chêne avec colombages, considérée comme la plus ancienne des Cantons de l’Est, a été classée le 22/2/1951.
Une élégante maison en briques datant du 19è siècle. Actuel Office du Tourisme.
La balance communale sur le pignon est avec laquelle était pesé le bétail autrefois (placé en 1980 dans le cadre de la Fête des Vieux Métiers).
Cette maison constitue le seul exemple malmédien de l’architecture patricienne du premier quart du 18è siècle. Il s’agit d’une construction en briques enduites et pierres pour les soubassements.
Cet ensemble de constructions en moellons de grès et calcaire date des 18è et 19è siècles.
Cet ancien monastère fondé en 1708 abrite notamment les bureaux de l’Office communal du Tourisme depuis 1985.
Monastère fondé en 1950 où l’on vit selon les règles de Saint-Benoît.
Elle comporte depuis 1968 un atelier de fabrication de peintures et produits pour la protection des arbres (société SEMA VINYL).
Cet ancien moulin à grains, en pierre, date du 17è siècle.
Cet ensemble de bâtiments agricoles a été classé.
Les noms des rues tchinâ, tronleû, vôye di lêwe… des centres al tour, li mostî, et autres lieudits tchèfosse, â batch, tchafor… évoquent la vie au village autrefois.
En 860, l’Empereur Lothaire II d
Louveigné, terre abbatiale liée à l'Abbaye de Stavelot-Malmedy, disposait de sa propre cour de justice.
De 1795 à 1815, sous le régime français, Louveigné était une commune et un canton judiciaire du
Ce bâtiment en pierre et taille de France a été construit en 1901 à la demande de Jules Steinbach en l’honneur de sa fille Juliette. Il est orné de bas-reliefs. Il abrite la justice de paix et certains services communaux.
Ce bâtiment prestigieux de style classique abrite 2 musées communaux : le Musée spadois du Cheval et le Musée de la Ville d’Eaux.
Il est composé de 3 corps de logis en briques peintes.
Cette bâtisse remarquable aux tons rosés s’inspire directement du plan symétrique des "Maisons de Plaisance" du 18è siècle. Il s’agit d’une ancienne maison de jeux et d’assemblées.