Ce banc de quartzites réviniens est incliné à près de 80° sur une hauteur de plus de 20 mètres.
Ils enserrent des phyllades, qui, ayant été davantage sujets à l’érosion, créent des couloirs étroits entre les lames de quartzite, plus dures.
Bouleau et myrtilles parsèment la roche. Le tout dans un cadre de feuillus, qui n’a vraisemblablement pas changé depuis des siècles.
Sur les flancs du rocher, on trouve des lichens crustacés jaunes brunâtres appelés en wallon : mossê d’pîre (mousse de pierre). On s’en servait pour teindre de la laine ou encore pour colorer les oeufs de Pâques.
Ce gros bloc rocheux était, selon la légende, la table où les paysans déposaient le panier de nourriture qu’ils offraient aux sotês, en échange des travaux que ceux-ci réalisaient.
Ce rocher sur le Sentier des Crêtes surplombe la Warche de 100 m de haut.
Roche dont un Lancaster fut le témoin de son atterrissage catastrophique la nuit du 30 au 31 mars 1944.
Une stèle est élevée un peu plus en avant.
Ce rocher situé à la rencontre du Ruisseau du Fond de Creppe avec le Ruisseau de l’Eau Rouge est constitué de schiste.
Ces amas de roches de quartzite s’élèvent en rive gauche du Targnon, 500 m avant sa confluence avec le Ruisseau d’Ezès Tchôdîres qui ensemble font former l’Eau Rouge, un affluent de la Warche passant par Francorchamps.
Ce rocher situé le long de la Sawe, est composée de blocs de quartzite.