Borne ancienne limite territoriale à 570 m d’altitude.

Un vestige de l’ancienne frontière Prusse-Belgique qui jouxte la croix des Fiancés. Cette frontière a été créée par le «Traité des limites» signé le 26 mai 1816 à Aix-la-Chapelle entre le royaume des Pays-Bas et le royaume de Prusse.

Elle est située sur une ancienne frontière entre la Belgique et la Prusse, créée par le « Traité des limites » signé le 26 mai 1816 à Aix-la-Chapelle entre la Prusse et les Pays-Bas.

Aussi appelée Pierre Quarrée, cette borne qui marquait autrefois la frontière Belgique - Prusse, établie lors du Congrès de Vienne, se situe à la Baraque Michel, côté est de la N68 Eupen - Malmedy. Elle est une réplique de la pierre originale.

Cette obélisque en pierre marquant l’ancienne limite entre la Prusse et la Belgique se situe entre la Baraque Michel et la Fontaine Périgny, près de la Croix du Prieur. Dégradée, elle a été encadrée de métal pour la renforcer.

Cet obélisque en pierre au dessus pyramidal et qui marquait autrefois la frontière entre la Belgique et la Prusse après le traité des limites de 1816, est située près de la Fontaine Périgny.

Ces bornes marquent l’ancienne frontière entre la Belgique et la Prusse décidée lors du Traîté des Limites signé le 26 mai 1816 à Aix-la-Chapelle.

Un petit abri en bois le long du Ravel de la ligne 44.

Ce belvédère est en fait une rotonde ouverte en bois, située sur les hauteurs de la Hoëgne.

Borne ancienne limite territoriale à 570 m d’altitude.

Un vestige de l’ancienne frontière Prusse-Belgique qui jouxte la croix des Fiancés. Cette frontière a été créée par le «Traité des limites» signé le 26 mai 1816 à Aix-la-Chapelle entre le royaume des Pays-Bas et le royaume de Prusse.

Cette demeure de caractère est devenue un gîte pour 20 personnes : Le Castel.

Une croix érigée à la mémoire de René Delvoie (1892-1958), un randonneur fagnard, par un groupe de ses amis.

Une croix en bois d’intersection de chemins située au sud de Solwaster, sur l’ancien chemin de Sart à Xhoffraix.

Cette célèbre croix a été érigée à la mémoire de deux fiancés disparus tragiquement dans la fagne le 21 janvier 1871. La première croix érigée à leur mémoire date de 1893.

Cette croix se situe sur le chemin des Arsins à la Haie Henquinet, à hauteur où la Statte le franchit.

Le Christ en bois sculpté (1850) de cette croix fagnarde a été dérobé vers 1965.

Cette croix en bois a été érigée en 1957 à la mémoire de 2 pilotes de la Force aérienne belge, J. Janssens (23 ans) et J. Pairoux (27 ans), tombés le 5 décembre 1956.

Cette croix en bois a été posée en bordure de chemin, en hommage au bûcheron Bruno Mayeres, décédé le 26/11/1990.

Cette croix a été érigée en août 1965 à la mémoire de Grégoire t’Serstevens, créateur de la propriété, décédé en 1951, et de Louis Marquet, son collaborateur.

Ce monolithe de quartzite révinien (roche très dure datant de 500 millions d’années) est appelé aussi "Li grosse pîre dè Hoûssé" du nom du flanc de cette vallée.

Cette église construite par l’entreprise Dessaucy de Theux sur les plans de l’architecte Charles-Etienne Soubre a été consacrée en 1888.

Cette importante accumulation de blocs de quartzite réviniens, composée de grès tertiaire arrondis, de silex secondaires et de débris de phyllade, s’étend sur plus de 700 m. L’altitude passe de 510 à 540 m.

Un vénérable hêtre au milieu de la Vêcquée, à peu près à mi-chemin entre la Baraque Michel et la Passerelle du Centenaire.

Une série de petites cascades formées par les blocs rocheux qui parsèment le lit de la Hoëgne.

Li Paveïe di Diale est un tronçon de route allant de la Vecquée vers l’Hôpital de Cockaifagne.

Ce bloc de quartzite commémoratif comportant 2 plaques en bronze a été placé en 1954. Il rappelle l’explosion d’un avion de 7 parachutistes lors de l’offensive allemande le 29 juin 1943. Les corps déchiquetés sont rassemblés à cet endroit.

Il s’agit d’un bloc de quartzite supportant une hélice d’avion à 3 pales tordues, aménagé en 1947. Il commémore la mort de 8 aviateurs américains de deux C-47 perdus dans la brume et qui se sont percutés. Evénement survenu le 6 avril 1945.

Cette stèle et bas-relief en hommage à Léon Rinquet, dit le Negus et Docteur en Sciences physiques et mathématiques, a été réalisé par G. Leven en 1984.

Ce pont de bois enjambe la Hoëgne jusqu’au 3/4 de sa largeur et sert de simple balcon panoramique.

Ce ponceau pédestre a été construit en 1930 à l’occasion du 100è anniversaire de l’indépendance. Il enjambe la Hoëgne et est orné d’une typique balustrade de bois enchevêtrés.

Ces deux tables de pique-nique sont situées à un point de départ névralgique vers les Hautes Fagnes, Belleheid ou la Vêcquée, en bordure d’un crochet de la Hoëgne.

Une passerelle en bois qui enjambe la Hoëgne pour passer d’une rive à l’autre, en contrebas du belvédère de la Hoëgne.

Une passerelle en bois enjambant la Hoëgne entre Hockai-Centenaire et Belleheid. Elle permet de remonter vers Sart-Station.

Cette passerelle en bois sur la Hoëgne est prolongée de caillebottis.

Ou Sart Lerho. Lèrô ou Leroi. Il s’agit d’un patronyme assez répandu dans la région de Malmedy. Cette zone de tourbières se trouve au nord de la Croix des Fiancés.

Ces hêtres en fin de vie, vieux d’environ 250 ans ont été classés en 1936.
Jadis, les bergers et leurs troupeaux utilisaient cet endroit comme prandj’lohe (lieu de repos). Des jeunes hêtres ont été replantés par les Amis de la Fagne en 1993.

Ce ruisseau dont le cours est particulièrement intéressant à suivre prend sa source côté Haie Henquinet près du Haut Plateau et se jette dans la Hoëgne à Parfondbois.

Cet affluent de la Hoëgne prend sa source dans la tourbière de Wihonfagne. Il se jette dans la Hoëgne un peu en aval des Cascatelles, entre la passerelle du Centenaire et le Pont de Belleheid.

Cette stèle a été posée par les Amis de la Fagne à la mémoire de Henri Angenot, une personnalité verviétoise. (1861-1943).

Ces arbres ont été replantés en 2005 (d’origine en 1943 à 1953) à la mémoire de trois fagnards intimes bien connus, inséparables compagnons de randonnées : Alphonse Petit († 1942), Louis Pirard († 1948) et Jean Wisimus († 1953).

Il s’agit d’une zone de la Grande Fagne située 1 km à l’ouest de la Baraque Michel. Ce lieu faisait autrefois l’objet d’une intense exploitation de la tourbe par les habitants de Jalhay. On peut encore y voir des traces d’extraction.

Il s’agit de la plus importante tourbière subsistant sur le territoire de Sart-Jalhay. Elle est entourée de pessières.
Sa superficie a un total de près de 30 ha, les 5/6è en territoire public.