Renseigné comme "Pavillon de chasse" cet abri est le bienvenu pour quelques moments de détente.
Un abri en bois situé à l’est de la Fagne Walonne, le long d’un chemin forestier reliant Sourbrodt à Ternell.
Une rotonde en bois, aire de repos munie d’un banc, un peu en amont de la Cascade du Bayehon.
Cette petite rotonde en bois est munie d’un banc de repos.
Un petit abri en bois le long du Ravel de la ligne 44.
Cet abri situé le long de la Hoëgne, muni d’un banc, a pris son nom au premier promoteur des promenades de la Hoëgne, originaire de Sart.
Cette auberge a été fondée en 1813 par le tailleur allemand Michel-Henri Schmitz. Elle a servi de point de repère au milieu des vastes tourbières environnantes où souvent, des voyageurs s’égaraient.
Un vestige de l’ancienne frontière Prusse-Belgique qui jouxte la croix des Fiancés. Cette frontière a été créée par le «Traité des limites» signé le 26 mai 1816 à Aix-la-Chapelle entre le royaume des Pays-Bas et le royaume de Prusse.
Elle est située sur une ancienne frontière entre la Belgique et la Prusse, créée par le « Traité des limites » signé le 26 mai 1816 à Aix-la-Chapelle entre la Prusse et les Pays-Bas.
Aussi appelée Pierre Quarrée, cette borne qui marquait autrefois la frontière Belgique - Prusse, établie lors du Congrès de Vienne, se situe à la Baraque Michel, côté est de la N68 Eupen - Malmedy. Elle est une réplique de la pierre originale.
Cette obélisque en pierre marquant l’ancienne limite entre la Prusse et la Belgique se situe entre la Baraque Michel et la Fontaine Périgny, près de la Croix du Prieur. Dégradée, elle a été encadrée de métal pour la renforcer.
Cette colonne de 4.50 m érigée en 1566 par les famille Hauptmann-Panhaus est surmontée d’une pomme de pin et d’une petite croix.
Cette chapelle dédiée à Notre-Dame de Bon Secours a été construite en 1830-1831, à l’initiative du chevalier Henri-Toussaint Fischbach, un industriel de Malmedy, en remerciement du sauvetage de son beau-père égaré dans la Fagne.
Cette croix est en mémoire d’Albert Briamont (1902-1971) qui est mort à cet endroit en luttant contre un incendie de forêt.
Cette croix a été érigée par la Jeunesse Ouvrière Chrétienne après un congrès à Rome en 1967.
Cette célèbre croix a été érigée à la mémoire de deux fiancés disparus tragiquement dans la fagne le 21 janvier 1871. La première croix érigée à leur mémoire date de 1893.
Cette croix a été érigée à la mémoire de J.Joseph Dideberg, de Longfaye, tué à cet endroit par la foudre, le 18 juin 1913.
Cette croix en chêne porte un Christ en bois sculpté. Elle remplace depuis novembre 1950 une croix datant de 1566 qui avait été placée pour marquer des limites territoriales (Franchimont et Stavelot).
Cette croix située à 200 m du Mont Rigi, du côté nord de la N68 Eupen - Malmedy, a été érigée en mémoire de Jean-Joseph Gazon de Sourbrodt, mort subitement à cet endroit le 22 décembre 1856.
Cette croix, située près de la Pierre à Trois Coins à Botrange, a été érigée à la mémoire d’Olivier Gazon de Sourbrodt, mort dans les neiges de Warôneux le 23 février 1822. Elle a été remplacée en 1952.
Cette fagne de 54 ha est utilisée comme réserve naturelle éducative et expérimentale par le Centre de recherche de l’Université de Liège.
Elle est parcourue par un sentier didactique de 2,5 km.
Ce toponyme wallon signifie "Lieu noir". Selon l’abbé Bastin, C’est dû à l’aspect foncé de la bruyère quaternée qui y abonde. Le Bayehon prend sa source à l’ouest de cette tourbière de près de 250 ha, le Setai attenant compris.
Dans cette tourbière située au sud-ouest de la Baraque Michel prend naissance le ruisseau du même nom. Sa toponymie signifie "La Fagne (ou la Hêtraie) de Herbold" (nom germanique).
Un vénérable hêtre au milieu de la Vêcquée, à peu près à mi-chemin entre la Baraque Michel et la Passerelle du Centenaire.
Sur cette haute stèle en bas-relief de bronze figure Albert Bonjean (1858-1939), avocat et écrivain verviétois, chantre fagnard très connu.
Il s’agit d’un bloc de quartzite supportant une hélice d’avion à 3 pales tordues, aménagé en 1947. Il commémore la mort de 8 aviateurs américains de deux C-47 perdus dans la brume et qui se sont percutés. Evénement survenu le 6 avril 1945.
Une table de pique-nique située aux abords du parking de départ devant la Baraque Michel.
Une table de pique-nique située en retrait sur les hauteurs sud du cours de la Poleûr.
Cette petite table de pique-nique est située à quelques pas du célèbre arbre multiséculaire.
Ou Sart Lerho. Lèrô ou Leroi. Il s’agit d’un patronyme assez répandu dans la région de Malmedy. Cette zone de tourbières se trouve au nord de la Croix des Fiancés.
Ces hêtres en fin de vie, vieux d’environ 250 ans ont été classés en 1936.
Jadis, les bergers et leurs troupeaux utilisaient cet endroit comme prandj’lohe (lieu de repos). Des jeunes hêtres ont été replantés par les Amis de la Fagne en 1993.
La Polleur (ou Poleûr) est le nom originel de la Hoëgne. Elle conserve cette appellation depuis sa source jusqu’à la confluence avec le Ruisseau d’Herbôfaye.
Ce ruisseau dont le cours est particulièrement intéressant à suivre prend sa source côté Haie Henquinet près du Haut Plateau et se jette dans la Hoëgne à Parfondbois.
Cet affluent de la Warche prend naissance dans un vaste amphithéâtre sur le flanc sud du sètchamps de Botrange. Il passe par le Vieux Chêne, jaillit dans une cascade. Il est rejoint par le Ruisseau du Ghaster et se jette dans la Warche.
Ce ruisseau prend sa source près de la Baraque Michel et se jette dans la Poleûr au niveau du lieu-dit "Les Mousseux".
Cette stèle a été posée par les Amis de la Fagne à la mémoire de Henri Angenot, une personnalité verviétoise. (1861-1943).
Cette stèle a été édifiée à la mémoire de 4 amis de la Fagne : A. Libert (1782-1805), A. Bonjean (1858-19, J. Bastin (1870-1935), E. Toussaint (1882-1954).
Cet arbre multiséculaire est classé par la Commission Royale des Monuments et des Sites (A.R. du 25/1/1935). Il s’agit d’un ancien point de repère sur la "Voie du Fer", menant de Hockai à Sourbrodt et continuant vers Schleiden.
Il s’agit d’une zone de la Grande Fagne située 1 km à l’ouest de la Baraque Michel. Ce lieu faisait autrefois l’objet d’une intense exploitation de la tourbe par les habitants de Jalhay. On peut encore y voir des traces d’extraction.
Il s’agit d’une étendue fagnarde dont la toponymie provient du mot "gué". De nombreux gués franchissaient en effet la Helle dans les parages.