Cette entrée de la ville date du 17è siècle. On l’appelle également la Porte Sibert ou Salmier (ancien bourgmestre). Un chronogramme gravé sur une plaque de marbre noir est millésimé 1637.
Cette cavité calcaire s’ouvre tel un labyrinthe sur la rive droite de la Meuse. Son entrée inférieure se trouve à 138 m d’altitude.
Cette table de pique-nique se situe derrière le parking de la maison Leffe, un complexe avec musée hôtel et restaurant.
Dans la chapelle de l’ancien couvent de Bethléem, ce musée de la bière Leffe vous propose une visite avec des expériences interactives, des écrans tactiles et des dégustations.
Une plaine de jeux derrière le parking de l’entrée des grottes.
Il s’agit de grottes touristiques situées sur la rive gauche de l’Eau Noire. Elles ont été creusées dans les calcaires du Dévonien moyen et supérieur (Frasnien, Givétien) dans le massif de la Calestienne.
Il s’agit d’un récif coralien fossile, témoin d’une ère où la mer couvrait la région. On appelle ce type de récif un BIOHERME. Il s’étend sur environ 47 ha. Des plantes rares ont colonisé l’endroit, telles que le lin à feuilles étroite
Cette église mononef avec des éléments de style Louis XV a été bâtie en 1826. Elle a été réaménagée entre 1969 et 1971.
Ce quadrilatère en moellons de calcaire construit dans la seconde moitié du 17è siècle témoigne de la présence de la seigneurie de la Motte et de la présence d’un important centre métallurgique qui a fonctionné durant tous les temps modernes.
Cette zone de bivouac est disponible sur réservation du 1 juillet au 30 septembre inclus et uniquement en ligne. Ces aires sont destinées aux randonneurs, cyclistes et cavaliers et non aux campeurs de longue durée.
Ce château de style néo-gothique a été remanié sur les plans de l’architecte Suys.
Cette église de style néo-gothique a été bâtie en 1855. Elle possède des dalles funéraires datant des 17 et 18è siècles.
Cette église de style néo-roman à 3 nefs a été construite en 1870 sur les plans de l’architecte Ladislas Degreny.
Cet arboretum a été planté au 20è siècle par l’ingénieur forestier Blondeau pour déterminer les essences les plus adaptées au reboisement de cette région calcaire.