Ce pont relie actuellement les deux rives de la Meuse à hauteur de la cité de Droixhe.
Cette rotonde en rondins se situe au Pont Guerrier et comporte une zone de bivouac.
Cette croix a été érigée à la mémoire de Clément Zimmermann, décédé subitement à cet endroit en 1886.
Ce fort est destiné à couvrir, avec les forts de Fléron et d’Évegnée, le plateau de Herve.
Par sa position, il semble donc devoir attirer les premiers efforts de l’ennemi.
Une petite silexière dont l’entrée connaît quelques problèmes de stabilité. Un renfort a dû être ajouté sur une montée de voûte.
Ce parc de 10 ha situé en pleine nature vous propose d’observer les habitants de nos forêts ainsi que leurs proches parents de la ferme.
Cette réserve naturelle, qui fait partie de la Montagne Saint-Pierre, a été créée en 1973. Il s’agit du plus ancien site protégé de cette zone de Meuse. Une dizaine d’autres ont été créées par la suite.
Ce bloc situé à l’extérieur du fort d’Eben Emael lui est relié par un souterrain. Il était équipé de projecteurs et de canons 60 mm.
Cette casemate est armée de 3 canons de 75 mm, tout comme celle de Visé II et celle de Maastricht.
Ce bloc du côté ouest du fort fait partie d’un ensemble de 8, muni de canons anti-chars de 60 mm, de mitrailleuses, de projecteurs ainsi que d’une petite cloche d’observation.
Il s’agit de très anciennes silexières protégées en site Natagora. Pas moins de 13 entrées de grottes se succèdent le long du sentier. Elles ne sont pas profondes et longent le coteau. La craie y a aussi été exploitée.
Une vue spectaculaire sur la Meuse, le Canal Albert et l’écluse de Petit-Lanaye, ainsi que sur toute la région située à l’est du sillon.
Ces bunkers de mitrailleuses servaient à défendre la superstructure.
Il s’agit d’un bloc d’artillerie avec une coupole armée de 2 canons de 75mm.
Il est équipé d’une porte prévue pour envoyer des patrouilles mais elle constitue un point faible dont profiteront les Allemands.
Cette tour en gros moellons de silex, d’une hauteur de 33 m sur 7 étages, a été construite sur les plans de l’architecte Robert Garcet. Le plus spectaculaire est sa couronne des quatre Chérubins de l’Apocalypse. C’est aussi un musée du silex.
Les premiers puits verticaux ont été creusés par l’homme dès le néolithique, entre -4500 et -1800 afin de retrouver une pierre qui leur était précieuse : le silex.
Une vaste carrière de marne au sud-est du village d’Emael, aux abords de la Montagne Saint-Pierre.